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Compte rendu de lecture: Le journal d’Anne Frank

Le journal d’Anne Frank

  1. Anne, si vous deviez décrire votre vie avant de devoir vous cacher, quels seraient les adjectifs utilisés pour vous ?

Selon moi, les adjectifs parfaits pour décrire mon ancienne vie seraient paisible, heureuse et tranquille.

2. Lorsque vous avez appris devoir quitter votre vie paisible, quelles ont été vos émotions ?

Mes premières émotions après cette nouvelle ont été la surprise, mais à la fois pas vraiment car je savais bien qu’il faudrait partir un jour ; je pensais juste que c’était pour plus tard.

3.Comment décririez-vous la vie à l’annexe ?

Je dirais qu’à l’annexe, les conditions de vie ont été compliquées, on ne pouvait pas se laver comme on le voulait, la nourriture n’était pas toujours à nos goûts, nous cohabitions avec des personnes que nous n’apprécions pas énormément non plus.

4.En quelques sortes, ce journal vous a permis de vous « libérer » pendant ces temps de cache ?

Effectivement ! Il est vrai qu’écrire mon journal me libérait, je pouvait parler de tout ce que je ne disais à personne ; toutes mes émotions, mes peines, mes moments de joie,…

5.Dans votre journal vous racontez être proche de votre père ; quelles étaient vos relations avec lui ?

Il est vrai que j’appréciais beaucoup mon père ; je me confiais beaucoup à  lui et j’adorais parler avec lui.

6.Entre votre mère, votre sœur et vous en revanche les relations étaient plus compliquées ?

En réalité, je n’appréciais pas vraiment ma mère. Je la trouvais indifférente envers moi, lorsqu’elle me parlait c’était seulement pour me faire des remarques ou me reprocher un geste ou fait. Quant à ma sœur, je n’aimais pas ses façons, ses manières.

7.Votre caractère vous a beaucoup été reproché durant votre cache ; pourquoi à votre avis ?

Mon caractère m’était reproché car il est vrai que je n’avais pas les bonnes manières, on me trouvait mal élevée parce que je répondais aux adultes, dès que quelque chose ne me plaisait pas je le disais, mais bon j’ai toujours été comme ça ; je suis franche et je le resterai.

8.Lorsque vous avez appris que tout était terminé, l’enfer était fini ; quelles ont été vos premières émotions ?

Mes premières émotions ont été une immense joie évidemment ! C’était comme une libération, une renaissance depuis le temps que nous nous cachions, que nous vivions dans la peur, tout était fini ! Nous avions échappé à la mort, alors que des milliers de personnes, elles, sont décédées.

Finalement contre toutes attentes Anne Franck se fait arrêter en 1944 et meurt d’une maladie dans les camps avec sa sœur.

Son journal reste un témoignage.

Jamais sans ma fille, Betty Mahmoudi

Récit à la 1ère personne

Je me présente, je m’appelle Betty, je suis d’origine Américaine et j’habite au Etat Unis avec ma petite famille dont ma fille, Mathob et mon mari Moody d’origine Iranienne. Nous vivons une vie paisible et très heureuse, je n’ai pas de travail, je m’occupe de ma fille tandis que mon mari est docteur. La famille de Moody habite en Iran ,on les voit très peu et je vois bien qu’elle lui manque énormément, alors on a eu une discussion et on va partir quelques jours leur rendre visite !

En arrivant dans la famille, nous sommes très bien accueillis et partageons de bons moments avec tout le monde. Et puis au fil des jours je me rends compte que le comportement de Moody change et devient agressif et s’énerve pour un rien. Je lui fais comprendre qu’il est différent et bizarre mais il ne veut rien entendre et fait le sourd quand je lui parle, il passe du mari et père aimant à un homme terrifiant, autoritaire et froid.

Au départ la famille de Moody était accueillante, gentille et chaleureuse mais elle est devenue méchante et terrifiante et nous force ma fille et moi à respecter la culture et les règles Iranienne. Moody décide de prolonger notre séjour de deux semaines en un séjour de durée indéterminée et il pense à trouver un travail à Téréhan et inscrire Mathob dans une école Iranienne.

Je commence à paniquer et je comprends vite que Moody est devenu un extrémiste, je vois dans le regard de ma fille qu’elle aussi commence à avoir peur… Nous qui étions habituées à notre liberté chez nous au Etat Unis, maintenant en Iran je dois rendre des comptes à chaque fois que je sors et même parfois je reçois des coups de la part de Moody ! Il est donc compliqué de prévoir une fuite…

Un beau jour je demande de l’aide à l’ambassade des Etat Unis pour trouver un moyen de partir de ce pays ma fille et moi, au départ c’est compliqué car ils n’écoutent pas mon histoire. Mais un jour on rencontre des gens extraordinaires qui sont touchés par notre histoire et comprennent notre souffrance. Ils décident ensemble de nous aider à trouver un moyen pour partir de cet enfer.

Après diverses stratégies et beaucoup de difficultés il nous avertit qu’ils ont peut-être trouvés une solution, partir à chevaux ! Nous pouvons enfin souffler, une nouvelle vie approche pour Mathob et moi, nous allons enfin pouvoir reconstruire une nouvelle vie au Etat Unis, je vois déjà le sourire de Mathob revenir et c’est à ce moment que je me dis que l’enfer et enfin terminé.

 

Eliza ALAIN

Compte rendu du film  »Couleur de peau miel »

Dimanche 6 octobre à 16H00  (sur le canapé du salon)

Il est 16H00 est je commence à regarder les 10 premières minutes du film. Cela nous raconte la vie d’un jeune garçon nommé Yung, qui vivait dans un orphelinat avec plein d’autres enfants de son âge, qui ont été abandonnés pendant la guerre de Corée. Le 11 mai 1951 Yung a été adopté par une famille belge : Sa mère adoptive, qui n’est pas patiente et ses nouveaux frères et sœurs Cédric, Catherine, Coralie, Gaelle.

Il est 16H34 et je continue à regarder  une autre partie du film.

Yung a bien été  intégré parmi ses frères et sœur. Pour le diner Bonne maman vient manger, elle oublie toujours qu’ils sont cinq enfants à  présent. (Le film fait un bon en arrière pour nous montrer un passage où Yung a été trouvé sans parents dans une petite rue en Corée par un gendarme.) Il dit qu’il y a un avantage à ne pas connaitre sa mère car il peut l’imaginer comme il veut. Lui il l’imagine célibataire ,qui l’aime fort et il dit qu’il ne lui en veut pas de l’avoir abandonné . Son père, il n’y pense pas trop mais il l’imagine soldat Américain d’origine Irlandaise qui joue de la cornemuse.

Il est 17H05 et je regarde la suite du film…..

La famille s’agrandit, il sont 6 à présent. Ils ont adopté  une Coréenne , âgée  de 11 mois, qui est très malade et qu’ils ont rebaptisée  Valérie. Jung ne l’aime pas car elle lui renvoie son image et il n’est pas encore prêt!  Jung demande à Coralie si pour elle, il est vraiment son frère. Celle-ci lui répond que oui et qu’ elle- même se pose cette question des fois. Coralie et Yung vont à  l’école ensemble et Yung demande à  Coralie si  ils peuvent s’embrasser pour voir ce que cela fait . Dans les vestiaires après le sport Yung vole les tickets repas d’une de ses  camarades , sa mère énervée  vient les chercher, lui et ses frères et sœurs à l’école, et dans la voiture elle dit à  Yung « Tu es une pomme pourrie et une  pomme pourrie dans un seau de pommes mûres ça pourrit  toutes  les autres, alors maintenant je veux que tu restes loin de mes enfants ! ».

Il est 17H42 et je regarde la suite de Couleur de peau miel 

Jung à modifié ses notes de bulletin, ses parents  sont donc convoqués  à l’école par la professeur de Jung. Son père très en colère le punit en le tapant (c’était comme ça que les parents  punissaient  avant). Yung adore dessiner, tout ce qui n’aime pas dans la réalité il l’enlève de ses dessins.  Il ne veut pas être Coréen ,il veut être Japonais. Jung et Cédric, tirent  avec un pistolet à billes sur des canards et des poules, ils volent de l’argent dans un porte monnaie et lancent des pétards sur le prof de sport, ils se font punir par leur père. Le père de Yung décide de lui faire couper  les cheveux à cause de toutes ces bêtises.

Il est 18H00 et je continue le film 

On voit Jung adulte qui est à l’orphelinat où il était avant d’être adopté. Là-bas,  il apprend que son nom est Jung Sik et il nous raconte qu’ après la guerre de Corée les enfants ont  été abandonnés  pour des raisons de grande pauvreté et des raisons raciales. Beaucoup d’enfants sont nés de femmes coréennes et de  soldats Américains ou Européens et en Corée on n’aime pas les enfants illégitimes.

Il est 18H46 et  je regarde la fin du film

Yung grandi il a 17ans et il passe le plus clair de son temps avec Kim, une coréenne. Cette dernière lui présente une famille Coréenne qui vit à Bruxelles.  Il décide de partir de sa famille adoptive et il  trouve refuge chez l’Abbé Paul son prof de religion de lycée, mais il n’est pas le seul, il y aussi Min. La plupart du temps Yung mange seul et il mange toujours du riz blanc tabasco, cela lui donne des crampes d’estomac mais il aime ça. Jung  vomit toute la nuit, l’Abbé appelle la mère de Jung pour qu’elle l’amène à  l’hôpital. Jung pense qu’il voulait  peut être en finir comme plein d’autres coréens  adoptés  qui ont mis fin à leur vie et comme sa sœur Valérie qui est morte  à 25 ans dans un curieux accident de voiture. Il raconte que quand il était petit, il laissait  des lettres d’amour sous l’oreiller de leur mère adoptive ( comme  un espoir) pour qu’elle les aime  un peu plus. Quand Yung rentre chez lui, il est triste, sa mère va donc le réconforter et lui confie un secret qu’ elle  n’a dit à  personne, elle lui dit qu’ elle a perdu son enfant à  la naissance et qu’elle croit qu’elle a donné sa place à Jung.

A la fin Jung dit  « alors maman quand quelqu’un te demandera d’où  je viens, tu diras  que je viens d’ici mais aussi d’ailleurs, j’ai une partie occidentale et une autre orientale, je suis européen et aussi asiatique, je ne suis ni blanc ni noir , la couleur de ma peau est miel. « 

Pour moi cette phrase est la phrase de  conclusion du film.

mon avis 

je trouve ce film très beau, je l’ai bien aimé  car on voit  plusieurs périodes de la  vie d’un coréen adopté, avec toutes les difficultés rencontrées pendant la guerre de Corée.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’ami retrouvé de Fred Uhlman

Je rédige un récit à la première personne

Je m’appelle Hans SCHWARZ, j’ai 16 ans et je suis juif allemand. J’habite à Stuttgart en Allemagne. Je suis fier de mes origines. Je suis cultivé, curieux et intelligent mais solitaire, j’attends un ami parfait. Mon père est médecin et ma mère femme au foyer. Je vis dans un quartier bourgeois mais dans des conditions de vie modestes. J’étudie au lycée Karl Alexander Gymnasium mais je m’y ennuie car je ne suis pas spécialement apprécié par mes camarades car presque tous n’aiment pas les juifs. Un jour un nouvel  élève est arrivé, il s’appelle Conrad, il fait partie d’une famille d’aristocrates. Je suis étonné de voir comme il est bien habillé et souhaite faire sa connaissance car il me semble très différent des autres. Je me suis rapproché de lui et finalement j’ai découvert que nous avions de nombreuses passions communes comme les pièces de monnaie que je collectionne.

Conrad  vient souvent chez moi et mes parents l’accueil chaleureusement. Mais Conrad ne m’a encore jamais invité chez lui, moi je trouve cela bizarre, je me demande s’il me considère comme son ami. Finalement Conrad m’invite chez lui, mais toujours en l’absence de ses parents. Un jour à l’opéra  je l’ai rencontré avec ses parents mais il a fait comme s’il ne me connaissait pas.  Je lui ai demandé pourquoi il m’avait ignoré et il m’a avoué que sa mère détestait les Juifs et qu’elle en avait peur. Un jour un nouveau professeur d’histoire est arrivé au lycée. Il disait du mal sur les juifs ce qui incita les élèves à m’insulter et à me frapper. Conrad n’a rien dit, il n’est  même pas venu m’aider, pire il m’a évité comme si nous n’étions plus amis.

C’est alors que mes parents ont décidé de m’envoyer  à New-York quand des conflits politiques ont éclaté dans le pays, dirigé par Hitler. Ils se sont suicidés peu après. Avant mon départ, j’ai reçu une lettre de Conrad qui me disait qu’il admirait Hitler et qu’il regrettait mon départ et espérait que nous nous retrouverions.

Aux Etats Unis j’ai grandi, étudié pour devenir avocat et fait ma vie. C’est alors que j’ai appris la mort de plusieurs de mes anciens camarades, presque avec joie tellement je me souviens de toutes ces paroles racistes qu’ils disaient sur moi. Mais j’apprends surtout la mort de Conrad, celui avec qui j’ai partagé mes passions et mes peurs pendant plusieurs mois. Je ne me sens pas trahi par mon ami car je découvre qu’il est mort exécuté après avoir participé à un complot contre Hitler, celui qu’il admirait, celui qui est à l’origine de la fuite d’un grand nombre de juifs allemands.

J’ai alors l’impression, trente ans après, d’avoir retrouvé un ami.

Noa OLIVIER

Mon compte-rendu sur La Rafle, un film de Roselyne Bosch

Je rédige un récit à la 1ère personne pour montrer ma compréhension de l’oeuvre.

J’assistais à un cour sur les poilus avec les autres infirmières, quand la directrice arriva avec deux jeunes femmes juives, infirmières comme moi. Elle nous demanda de les aider à s’enfuir par la petite cour si les allemands venaient à se présenter.
La vie était de plus en plus dure pour les juifs depuis que les allemands s’étaient emparés de la France le 22 juin 1940. Désormais, en cette été 1942, ils ont pour obligation de porter l’étoile jaune et n’ont plus le droit de fréquenter les endroits publics. Je trouve ça injuste et préférais comme c’était avant.

C’est le chaos à Paris mais lors de la remise de mon diplôme d’infirmière je me sens heureuse et légère comme une enfant.
Lorsque je me suis réveillée ce matin-là, je ne savais pas encore que ma journée serait un enfer. Cette nuit de 16-17 juillet, la police française, sous l’influence des allemands, a raflé à leurs domiciles 13000 personnes fichées comme juives. Ils les ont déportées, comme des personnes nuisibles, au vélodrome d’hiver.

J’ai était désignée, seule, pour aider le médecin qui essayait de s’occuper des milliers de personnes dans le besoin, entassées dans le vélodrome d’hiver, alors que 60 volontaires attendent dehors, mais ils ne veulent pas de témoins. Quand je suis rentrée dans ce vélodrome, 13 000 personnes étaient entassés comme des animaux, même pire, c’était horrible. Une odeur nauséabonde d’excréments et d’urine m’envahissait. Ils devaient faire leurs besoins là où il y avait de la place. Toute cette foule n’avait rien, pas de sanitaire, pas de quoi se laver, pas d’eau, pas de nourriture…

Ils ont même raflés dans les asiles, dans les hôpitaux. Les enfants étaient déshydratés, les bébés manquaient de lait…
Une infirmière m’expliqua que c’était le chaos, il y avait toutes sortes de maladies infantiles, des fous, ils n’ont pas tous le matériel pour faire des soins adaptés…

Tout à coup, un petit garçon entra dans la tente, et avec toute son innocence me demanda ce qu’il faisait là, pourquoi il n’avait pas le droit de sortir. Moi, ne sachant pas quoi répondre et ayant de la peine pour lui, lui dis que j’étais comme lui, que je ne savais pas non plus. Il m’a dit qu’il s’appelait Nono, que son frère l’attendait en dehors de la tente et que sa maman était à l’hôpital. Lorsque quelques minutes plus tard, une infirmière m’informa que sa maman était morte le matin même, un pincement au cœur me toucha pour ce petit garçon.

Le médecin avec qui je travaille est juif, son dévouement est immense. Je le vois lorsqu’ une jeune femme arrive, sans symptômes, avec seule excuse de vouloir s’enfuir. C’est à ce moment-là qu’il lui conseille d’aller voir le chef plombier qui sera le seul à pouvoir l’aider à s’évader. Et là, je me suis demandée : mais pourquoi lui ne le fais pas ? Alors après lui avoir posé la question, il me répondit : mais que feraient tous ces gens sans moi ?

Par sécurité, j’ai tenu à accompagner cette femme jusqu’à la sortie. Par chance elle réussit à s’évader. Si seulement ça aurait pu se passer comme ça pour tout le monde…
Je suis protestante et malgré tout je crois encore. Je n’imaginais rien de ce qui pouvait se passer dans ce vélodrome. Mais j’avais quand même reçu des instructions :
-garder le silence sur ce que je verrais ici ;
-de ne pas me lier avec les internés ;
-de garder mes distances ;

Après quelques jours passés au vélodrome d’hiver, tous les juifs ont été déportés au camps de Beaune-La-Rolande. J’ai pu les accompagner.
Je ne comprends pas ce que les allemands vont faire des juifs.

Nono me touche réellement, j’essaye de toujours lui donner de l’espoir.
J’ai écrit au préfet du Loiret, car ils n’ont presque rien à manger. Je me suis donc mis au même régime qu’eux, c’est le seul moyen de leur prouver que c’est insuffisant. Je lui décris la situation : la population incarcérée vit dans des conditions de mal nutrition et de manque de soin indigne de nos institutions, en 3 semaines en me mettant au régime des détenus j’ai perdu plus de 8 kilos, presque tout le monde est malade.

Je suis partie à la préfecture. Lorsque j’ai vu le préfet, pour qu’il me croie, j’ai fait un petit malaise et lui ai expliqué qu’il n’avait jamais répondu à mes lettres.
Grâce à ça nous avons reçu des madeleines, ce qui a redonné le sourire à tout le monde. Une joie collective s’est installée. On dansait, riait, pendant ce court moment la vie reprenait.
Un matin, brusquement, les policiers font lever tout le monde car ils vont partir du camp mais personne ne sait encore où, si ce n’est que c’est à l’est.
Je vois Nono qui vient vers moi, qui veut rentrer chez lui, qui me demande de venir avec lui, qui me montre le bijoux de sa maman qu’il ne veut pas que les policiers lui prennent. Je me sens perdue, j’ai tellement envie de l’aider, de le suivre et de lui donner l’amour qu’une mère ne pourra plus lui donner.

David, le médecin, cette personne à qui je tiens, me dit que c’est la fin, que j’ai fait tout ce que je pouvais et qu’il est temps de leur dire au revoir. Mais je ne veux pas les abandonner. Je regrette de ne pas avoir pu aider David à s’enfuir. Je me suis tellement attachée à eux.
Ils ont séparés les enfants des parents. C’est une séparation inhumaine. Ce que j’ai vu à ce moment-là, ces mères qui ressentent comme un arrachement au cœur, ces enfants qui pleurent, et ces pères qui crient contre cette injustice, restera à jamais gravé dans ma mémoire.

Au camp il n’y a plus rien, tous ces enfants sont dévastés. C’est déchirant de voir ça alors qu’ils n’ont rien fait pour mériter cela.
Ça fait 5 jours qu’ils sont partis en Pologne et nous n’avons aucune nouvelle.

Ce matin-là, un policier nous réveilla avec Nono et me demanda de préparer les enfants car ils s’en allaient. Ce pauvre nono était tots content car il allait retrouver sa maman. À bout, je fis un malaise, ce qui m’empêcha de partir avec eux. Le docteur m’annonça que c’était trop tard, qu’ils partaient pour être gazés, dans des camps d’extermination. La plupart des parents étaient déjà morts et ils ne veulent aucun enfants survivants.

Je n’arrivais pas à y croire, j’étais anéantie. Par espoir d’arriver avant qu’ils partent, je pris mon vélo pour les rattraper. Ils font partie de ma vie, de moi. Quand je suis arrivée c’était trop tard, ils étaient partis. Il ne restait plus que le doudou de Nono à terre, la dernière chose qui me restait de lui.

3 ans après, à Paris, chez moi, j’héberge plein d’enfants sans famille, pour leur offrir un avenir meilleur.
En cette fin de guerre, sont accrochées des milliers de photos identifiant les personnes mortes sous l’horreur d’Hitler.
J’essaie de trouver des personnes que je pouvais connaître, quand tout à coup on me demande C’est Joe, un des petits garçons dont je me suis occupée pendant la rafle. Je suis tellement surprise et heureuse de le voir vivant. Il n’a pas retrouvé ses parents mais par chance il a rencontré une bonne famille qui souhaite l’adopter.
Au loin j’aperçois la photo de la maman de Nono, portée par un enfant caché par cette affiche. Et là je m’approche, et je vois Nono derrière cette photo. Et là je m’effondre en le voyant avec son regard vide sans émotion à cause de la douleur qu’il a dû vivre. Je suis heureuse de le revoir mais je pleure tellement il m’a manquée. C’est une période de ma vie que je n’oublierai jamais, tout restera marqué.

Louane MOURET

Jamais sans ma fille – Compte rendu de lecture

Résumé : Betty, Mahtob, sa fille et son mari Moody vivent en Amérique et décident de partir deux semaines en vacances en Iran pour rendre visite à la famille de Moody. Mais dès leur arrivée, la famille ne se montre pas gentille avec Betty car elle n’a pas les mêmes coutumes et ne parle pas la même langue. Betty est choquée par leur mode de vie. Moody la force à s’adapter en lui faisant faire les prières, porter les habits d’Iran … Quelques jours après, Betty se rend compte que Moody avait manigancé ce voyage pour ensuite y rester. Alors, Betty décide de créer un plan pour s’enfuir avec sa fille. Pendant qu’elle faisait les courses ou qu’elle partait au parc avec Mahtob, son mari ne l’accompagnait pas à chaque fois alors elle profitait de ces moments pour aller à l’ambassade.  Elle se  fit un ami qui tenait une boutique pas très loin et en profitait pour téléphoner à sa famille car Moody le lui interdisait. Mais un jour, sa sœur appela et annonça que son père était gravement malade et qu’il devait se faire opérer et qu’il avait peu de chance de s’en sortir. Moody ne la crut pas et lui répondit que c’était un plan pour s’enfuir. Alors, Betty reçu des violences physiques, des menaces de mort et des périodes de séquestration. Grâce à certaines personnes, Betty et Mahtob vont réussir à partir de l’Iran en atteignant la Turquie à cheval et à pied en passant dans les montagnes du Kurdistan.

Imaginer l’interview d’un personnage :

Journaliste : Est-ce que tu es triste de ne plus voir ton père ?

Mahtob : Oui je suis un petit peu triste mais après ce qu’il a fait à ma maman, je suis fâchée contre lui et je ne veux pas le revoir.

Journaliste : Est-ce que tu as eu peur de ne plus revoir ta mère quand ton père l’a séparée de toi ?

Mahtob : Oui j’ai eu très peur car je me demandais où elle pouvait être.

Journaliste : Comment as-tu vécu les moments en Iran ?

Mahtob : Au début j’étais contente car j’ai rencontré la famille de mon papa. Mais quand j’ai appris que nous allions rester en Iran, j’étais triste.

Journaliste : Que penses-tu de ta famille ?

Mahtob : Je n’apprécie pas beaucoup la famille du côté de mon papa car ils ne nous ont pas aidées à nous faire sortir de ce cauchemar. Au lieu de ça ils  ont aidé mon papa à me séparer de ma maman.

Journaliste : As-tu trouvé dur le trajet pour revenir dans ton pays ?

Mahtob : Je l’ai trouvé dur car on devait  passer dans les montagnes et j’ai eu peur de mourir de froid. Ma maman n’arrêtait pas de tomber. J’avais peur de me retrouver toute seule.

Journaliste : Est-ce que tu as eu  peur de ne pas arriver jusque dans ton pays ?

Mahtob : Oui le trajet a été très long, j’étais épuisée et j’avais peur qu’il nous retrouve.

Journaliste : Comment se passe ta vie maintenant ? Est-ce que tu préférais ta vie avant ?

Mahtob : Je suis revenue dans ma maison avec maman mais papa n’est plus là. Oui je la préfère, j’aurais préféré que nous n’allions jamais voir la famille de mon papa.

Journaliste : Est-ce que ton père à essayé de te contacter ?

Mahtob : Oui, il a essayé de me contacter par téléphone mais je n’ai pas répondu.

Journaliste : Est-ce que tu crois que tu pourras lui pardonner un jour ?

Mahtob : Je ne sais pas pour l’instant je suis trop petite et j’ai eu trop peur.

Journaliste : Qu’est-ce que tu voudrais dire aux autres enfants qui sont dans la même situation que toi ?

Mahtob : De ne jamais perdre espoir.

Récit à la première personne : L’ami retrouvé de Fred Uhlman

Berthier Louis 3°B
Récit à la première personne
L’ami retrouvé de Fred Uhlman
Je m’appelle Hans Schwarz,j’ai 16 ans, je suis d’origine juive, mon père est médecin. Je suis au lycée Alexander Gimnasium à Stuttgart en Allemagne. Je suis un élève moyen, les matières que je préfère le plus ce sont les sciences et les arts.
Un nouvel élève a fait sa rentrée dans ma classe, il s’appelle Conrad Graf et il est aristocrate. J’aimerais beaucoup devenir son ami et pour cela je mets en place tout un nombre de stratagèmes. Je commence par essayer d’attirer son attention en classe grâce à mes performances dans certaines matières, ça n’a pas l’air de fonctionner… Donc je me porte volontaire pour des exercices de gymnastique. Les exercices n’attirent toujours pas son attention. Je tente une dernière fois ma chance : j’amène ma collection de pièce anciennes, malheureusement toutes ces tentatives ne mènent à rien. Conrad m’ignore complètement.
Un jour en rentrant chez moi, je vois Conrad au loin et je décide d’aller lui parler. Une belle conversation démarre. Le lendemain Conrad me reparle, je crois qu’on est devenu amis. Je l’invite chez moi, je le présente à mes parents, à partir de ce moment là on est inséparables.
A force de me demander pourquoi il ne m’invite jamais chez lui, j’ai décidé de lui poser la question et il m’a répondu que ses parents sont antisémites (c’est à dire qu’ils n’aiment pas les juifs, qu’ils sont racistes). Après quelques mois, tous les élèves savent que j’ai des origines juives et commencent à me harceler tous les jours en m’envoyant des lettres de menaces. Mon meilleur ami se sépare de moi. Mes parents m’envoient aux États-Unis pour poursuivre mes études. Je n’arrête pas de penser à Conrad, je ne peux pas l’oublier. Pendant ce temps mes parents continuent à recevoir des lettres de menaces et se suicident… Je suis très triste.
Trente ans plus-tard, j’ai 36 ans j’ai réussi dans le domaine du droit. Mon ancien lycée m’envoie une lettre pour développer la vie des étudiants. Dans la lettre je vois le prénom de mon ami que j’avais presque oublié. Il y a marqué qu’il est parti en mission pour tuer Hitler et sauver les juifs. Et je remarque que lui ne m’avait pas oublié.
Il est parti pour nous sauver, moi et tous les juifs.

Journal de lecture: Moi,Boy Roald Dahl

2 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 11 pages.

Roald (l’auteur) est né de la 2ème épouse de son père, car sa première épouse est morte lors de l’accouchement de sa dernière fille. Roald est né peu après la 2nd guerre mondiale. Il avait 3 sœurs, 1 demi-frère et 1 demi-sœur. Cela fait une grande famille à mon goût. Son père est originaire de Norvège. Il est ensuite allé à Calais, à Paris, à Cardiff et après la mort de sa première et de 2 de ses filles, il est allé à Landaff. Son père a fait un long trajet avec le peu de transports qui existaient à l’époque.

 

3 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 7 pages.

Deux de ses sœurs sont mortes, ainsi que son père qui est mort d’une maladie alors que la mère de Roald était enceinte. Sa mère à donc décidé de déménager dans une maison plus petite. Il raconte le peu de souvenirs qui lui reste de son école qui était dirigée par deux sœurs catholiques.

Je suis un peu déçue qu’il ne parle pas plus de ses souvenirs.

4 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 11 pages.

Il parle des deux seuls souvenirs qui lui reste de sa 2ème école « école de Landaff ». L’un est un garçon avec une bicyclette qui a dévalé une pente sans les mains et il rêvait de faire la même chose. Son autre souvenir est celui de la confiserie dont la serveuse comme, il le décrit, est une vieille serveuse très très sale. Ainsi qu’un garçon qui était un ami de son groupe qui racontait des histoires horribles sur les bonbons que son père médecin lui avait racontées pour le dégoûter des bonbons.

5 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 4 pages.

Roald et ses amis mettent une souris morte qu’ils avaient trouvée sous le plancher de la salle de classe,  dans un bocal à bonbons pour effrayer Mme.Pratchett (la serveuse) quand elle attrapera un bonbon du bocal. Je ne trouve pas cela très gentils car comme c’est une vieille dame ils ne savent pas comment elle peut réagir. Mais c’est assez drôle ! 

6 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 10 pages.

Sur le chemin de l’école, les cinq copains passent devant la confiserie qui était fermée ce qui n’arrive jamais. Cela me paraissait étrange. Et une fois arrivé à l’école, le directeur mit tous les élèves et toutes les classes dans la cours et Mme Pretchett regarda chaque élève pour savoir lesquels venaient tout le temps à la confiserie et lesquels avaient mis la souris morte dans les bonbons.

Madame Pretchett, va bien mais je pense que les cinq copains iront un peu moins bien.

7 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 8 pages.

Les cinq amis sont punis pour la bêtise qu’ils ont faites. Le directeur les frappa à  grands coups de canne sur les fesses. Cela est normal qu’ils soient punis mais je trouve la punition violente. Quand il rentra chez lui sa mère remarqua les traces sur ces fesses. Alors elle alla voir le directeur et décida d’envoyer son fils dans une école anglaise où il serait pensionnaire l’année suivante. Cela me paraît normal que sa mère le change d’école.

8 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 8 pages.

L’auteur raconte ses grandes vacances de 4 à 17 ans. De son long trajet de 3 jours et de la première nuit en Norvège chez les parents de sa mère. Et il parle aussi surtout de l’énorme repas tous les ans chez les parents de sa mère. Ils partaient en vacances à 10 avec six valises ce qui prend beaucoup de place je trouve. Ils partaient tous les ans au même endroit. Cela leur fait un repère mais je trouve cela dommage qu’ils ne changent jamais.

9 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 10 pages.

Il parle de ses vacances quand ils étaient arrivés à l’hôtel. La journée, ils prenaient le bateau pour trouver un endroit où aller se baigner. Leurs vacances étaient répétitives, je trouve cela regrettable pour les enfants.

Chapitre7 :

10 Juillet. J’ai lu dans ma chambre.J’ai lu 5 pages.

A 8 ans quand il était allé chez ses grands-parents pour manger, sa mère l’emmena chez le docteur qui l’opéra de végétation sans l’endormir. Ce qui se faisait régulièrement à l’époque chez les enfants. Cela me parait étrange, la douleur devait quand même être très présente pour des jeunes enfants.

11 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 7 pages.

Il présente un peu son école où il va en pensionnat. Il parle également de comment fonctionne son école. La boite à Nana où il  gardait ce qu’il voulait. Et les mères envoyaient des friandises toutes les semaines. Il dit dans le livre également qu’ils n’étaient pas très bien nourris, c’est pour cela que les mamans devaient envoyer des friandises. Je ne trouve pas cela très respectable surtout qu’ils ne le disaient pas aux mamans.

12 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 7 pages.

Il montre certaines lettres qu’il avait envoyées à sa mère. Il disait que le directeur lisait toutes les lettres pour s’assurer qu’ils ne disait pas de méchanceté sur l’école à ses parents.Cela n’est pas correcte selon moi.

13 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 10 pages.

Il parle de la surveillante de 28 ans, qui avait une énorme poitrine selon lui. Elle était très sévère et méchante. Il raconte aussi comment se déroule le soir juste avant « l’extinction des feux ». Les bêtises des élèves et les punitions qu’ils avaient. Les punitions étaient toutes les même, des coups de cannes. Je ne trouve toujours pas cela correcte et cela me choque.

14 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 8 pages.

Au début il jouait la comédie, il prétendait qu’il avait l’appendicite pour pouvoir rentrer chez lui. Cela n’était pas très bien mais vu comment cela se passait dans son école, je peux le comprendre. Sa sœur l’avait eue, il savait donc les effets.

15 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 11 pages.

Pour Noël il rentra chez lui et sa sœur conduit sa toute première voiture. Lors du trajet elle rentre dans une haie et le nez de Roald fut déchiré. Cela n’était pas très prudent de faire conduire sa sœur sur une grande route pour la première fois.

16 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 19 pages.

Il parle d’un maître qui s’appelait « Capitaine Hardcastle » qui était très sévère. Il parle de la fois où ce capitaine l’a puni parce qu’il croyait qu’il avait triché, alors qu’il avait juste demandé une plume à un camarade parce qu’il avait cassé la sienne, sa punition (les coups de canne par le directeur). La punition est très violente pour la cause. Je trouve que c’est disproportionné.

17 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 5 pages.


Il parle de la fois où il avait une grippe et il est allé à l’infirmerie .Un camarade à côté de lui avait un furoncle et le médecin le lui perça. Il raconte comment s’est déroulé ce moment car il voyait tout contrairement au garçon qui avait le furoncle. Je trouve cela dégouttant et répugnant.

18 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 8 pages.

Sa grande sœur s’était fiancée à un viril amoureux (c’est comme ça qu’il l’appelait). Il fumait la pipe, il ne l’enlevait jamais sauf pour manger et nager même pas pour parler. Il était donc impoli et cela énervait tout le monde saut les amoureux. Un jour lors de leur voyage en Norvège le viril amoureux avait préparé sa pipe et l’avait posée sur le rocher avant d’aller nager. Vint une idée à Roald, que toute sa famille approuva. Il a donc remplacé le tabac qu’il avait mis dans sa pipe par des crottes de chèvres. Car il y avait beaucoup de chèvres sur l’île où ils étaient. Et le viril amoureux n’a pas très bien réagi. Il a fait comme une suffocation. Ce n’est pas gentil de leur part,  il aurait pu avoir une réaction beaucoup plus grave.

19 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 7 pages.

Il parle de la tenue pour son nouveau collège privé qui était très complète selon moi.

20 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 3 pages.

Il parle du boazer (maitre) Williamson, il donnait également des coups de canne. Après les coups de canne l’élève allait dans une autre salle avec d’autre adultes. Il devait baisser son pantalon pour qu’ils puissent « admirer » le travail de M.Williamson.

21 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 4 pages.

Il parle des coups de canne qu’un camarade a lui avait reçu comme punition. Je me rends compte finalement que les coups de cannes étaient comme un « rituel » après chaque bêtise.

22 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 4 pages.

Il parle du fameux livre « Charlie et la chocolaterie » de son histoire et de son rêve de trouver un jour LE chocolat. C’est bien qu’il en parle et que l’on connaisse l’origine de ce livre.

23 Juillet. J’ai lu dans la voiture. J’ai lu 6 pages.

Il parle d’un garçon qui s’appelait Corkers et qui était extrêmement doué en Maths. Et il parle également de ses petits problèmes de digestions. Je ne comprend pas pourquoi il parle de ces deux histoires dans le même chapitre. Je suis un peu perdue.

24 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 8 pages.

Il parle des FAGS qui était les « esclaves » des boazers. Et il raconte certaines taches qu’ils devaient faire et de leur rituel.Comme par exemple le grand nettoyage de la turne (chambre du maître) et de son inspection complète après. Ou encore de la corvée de réchauffer les toilettes avant que le boazer n’y aille. Je trouve tout cela cruel.

25 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 7 pages.

IL parle, des jeux qu’il exerçait comme la pelote ou le squash, de la photographie dont il a gagné un prix à l’âge de 18ans. Ce qui l’a fait sortir du lot, c’est la photo de l’une des 7 merveilles du monde.

26 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 15 pages.

Après le collège, il fut accepté dans le travail qu’il voulait. Il n’y avait que sept postes pour 100 candidats. Son travail consistait à partir à l’étranger pour explorer des pays. Ce travail me paraît très intéressant. Après avoir refusé une demande il part pour l’Afrique pour un voyage de 3 ans. Mais son voyage dura plus longtemps que prévu car lorsqu’il était en Afrique, la 2nd guerre mondiale éclata. Il rentra chez lui après la guerre ce qui fait de lui un survivant de la guerre ,ce que je trouve bien et il en parle dans un autre livre.

Frankenstein, Mary Shelley ( Journal de bord )

Frankenstein ou le Prométhée moderne est un roman publié en 1818 par la jeune Anglaise Mary Shelley, maîtresse et future épouse du poète Shelley.

Journal de bord de l’oeuvre: (structure : récits enchâssés)

Je lu chapitres par chapitre  a chaque fois 30 min environ dans le CDI ou ma chambre.

Lettre I :

Robert Walton, en expédition sur un navire qu’il commande, s’adresse, le cœur plein d’ambition, à sa sœur (qui réprouve ce voyage) : il dévoile son ambition de scientifique, celle de découvrir un nouveau passage maritime. Il est plein d’enthousiasme. Il fait le récit de son histoire personnelle : il a connu un échec poétique puis le désir d’aventure pour laquelle il s’est longuement préparé. Il préfère la gloire plutôt qu’une vif de riche oisif.

Lettre II :

Il a affrété un navire. Il affirme que malgré son caractère solitaire, il a besoin d’avoir un véritable ami ; il est romanesque, peu cultivé. Ses seconds d’équipage sont plein de courage et de noblesse.

Lettre III :

Suite de la navigation.

Lettre IV :

Ils ont aperçu un être gigantesque qui errait sur la banquise puis on recueilli un homme à demi mort qui dérivait sur la mer. C’est Frankenstein. Frankenstein est étrange : parfois fou, parfois illuminé de bienveillance et de douceur. C’est un « être merveilleux rongée par le malheur. » Frankenstein met Walton en garde contre les dangers que son goût de la connaissance représentent. Il va lui raconter son histoire qui doit lui enseigner une « morale ». Robert va retranscrire le récit de son hôte.

Chapitre I :

Frankenstein est suisse, d’une grande famille. L’histoire de ses parents, une enfance heureuse. Ses parents ont adopté une petite orpheline, Elizabeth.

Chapitre II :

Enfance heureuse… à l’école, il se fait un ami, Henry Clerval. Depuis tout jeune, il est à « la poursuite ardente de la science » et c’est l’une des causes de son malheur. Gout pour les sciences naturelles, sa passion pour des auteurs occultistes et alchimistes qu’il croit et admire. Puis, abandon momentané de ces études.

Chapitre III :

À 17 ans, il devient étudiant. Mort de sa mère. Il va à l’université d’Ingolstadt. Il y rencontre Krempe, professeur de sciences physiques qui lui apprend que tout ce qu’il a lu (les alchimistes) est inutile et stupide. Puis un second professeur, Waldmann, chimiste, qui lui tient un discours plus enthousiasmant sur la science et qui le prend sous sa protection

Chapitre IV :

Il étudie beaucoup, ses progrès sont fulgurants. Il s’intéresse alors au corps humain. À l’instar de Mary Shelley, il n’a pas peur du surnaturel [au contraire de Nathanaël] : « Au cours de mon éducation, mon père avait pris le plus grand soin pour que nulle horreur surnaturelle n’impressionnât mon esprit. Je ne me rappelle pas avoir tremblé en entendant un conte superstitieux, ni avoir eu peur de l’apparition d’un fantôme. » Il parvient, après de longues recherches, à animer la matière morte. Nouvelle mise en garde à Walton : « Apprenez […] combien il est dangereux d’acquérir la science, et combien plus heureux est l’homme qui prend sa ville natale pour l’univers, que celui qui aspire à une grandeur supérieure à ce que lui permet sa stature. » Il décide de créer un homme pour le bien de l’humanité. Pour créer la vie, il fouille les charniers, les cimetières etc. et oublie sa famille.

Chapitre V :

Il a fini par créer un monstre qui le dégoûte lui-même. Il fait un rêve prémonitoire avec Elizabeth au cours duquel elle meurt. Le monstre se réveille et Frankenstein s’enfuit, erre dans les rues. Arrivée opportune de Clerval venu voir son ami. À leur retour chez Frankenstein, le monstre a disparu. Frankenstein est victime d’une grave crise et tombe malade, son ami s’occupe de lui.

Chapitre VI :

Lettre d’Elizabeth. Elle exprime son inquiétude et ses souhaits de rétablissement. Elle parle aussi de Justine, une servante si dévouée qu’elle est presque devenue un membre de la famille. La convalescence de Victor. Il ne supporte plus les sciences naturelles. Par Clerval, il s’intéresse en dilettante aux langues et cultures orientales. Peu à peu, il retrouve le bonheur.

Chapitre VII :

Lettre de son père : son petit frère William est mort étranglé au cours d’une excursion, à cause d’un médaillon représentant sa mère qu’il portait et que l’agresseur a voulu dérober. La douleur de Victor. En arrivant chez lui, de nuit, il aperçoit le monstre à la faveur d’un éclair. Il est convaincu que c’est lui l’assassin de son frère. Horreur de Frankenstein : « Je ne voyais, en cet être que j’avais déchaîné au milieu des hommes, doué de la volonté et de la puissance de réaliser des projets horribles, tel que l’acte qu’il venait d’accomplir, que mon propre vampire, mon propre fantôme libéré de la tombe et contraint de détruire tout ce qui m’était cher. » Tristes retrouvailles familiales. Justine est soupçonnée du meurtre et Frankenstein la croit innocente. Malheureusement, s’il racontait tout ce qu’il sait, on le prendrait pour un fou et personne ne le croirait pas.

Chapitre VIII :

Le procès de Justine, elle cherche à se disculper en faisant valoir sa bonne réputation mais il y a trop de coïncidences troublantes contre elle. Étalage de bons sentiments (noblesse de Justine) un peu romantique et larmoyant. Elle va être condamnée à mort car elle a fait des aveux, suite aux pressions de son confesseur. Désespoir et culpabilité de Victor qui se sent le « meurtrier véritable » ; à partir de là, il sait qu’il va connaître éternellement l’enfer. Exécution de Justine. Profonde culpabilité de Frankenstein. Les siens sont « les malheureuses victimes de ses actes sacrilèges. »

Chapitre IX :

Remords douloureux de Frankenstein qui cherche la solitude. Il subi la tentation du suicide. Il hait le démon sans le connaître, désir de vengeance. Elizabeth quant à elle, conçoit une mauvaise image de l’humanité après l’exécution de Justine : « Désormais, la souffrance s’est fait vraiment connaître, et les hommes m’apparaissent comme des monstres assoiffés chacun du sang de l’autre. » C’est Frankenstein le « véritable assassin », il parle du « démon caché dans [son] cœur ». Nouvelle excursion solitaire dans la montagne, ce qui le soulage un peu.

Chapitre X :

Dans la montagne (longues descriptions de la nature suisse magnifique). Réflexion sur la sensibilité humaine qui rend malheureux : « Hélas ! pourquoi l’homme s’enorgueillit-il de posséder une sensibilité supérieure à celle qui se manifeste chez la brute ? Elle ne fait qu’accroître son esclavage. » Il rencontre le monstre et dialogue avec lui. Ce monstre se sent rejeté, haï par les hommes, il est profondément malheureux et accuse Frankenstein de ses maux. Il demande à son créateur d’accomplir son devoir envers lui car il est sa créature : « Souviens-toi ! je suis ta créature ; je devrais être ton Adam ; mais je suis bien plutôt l’ange déchu que tu chasses loin de la joie, bien qu’il n’ait pas fait le mal. Partout je vois le bonheur, et j’en suis irrévocablement privé. J’étais bienveillant et bon ; la misère a fait de moi un démon. Rends-moi la joie, et je redeviendrai vertueux. » En le maudissant, Frankenstein se maudit lui-même : « Maudite (bien que je me maudisse ainsi moi-même), les mains qui t’ont formé ! » Finalement Frankenstein a un peu de pitié et accepte d’écouter le récit du monstre. Il se sent « les devoirs d’un créateur envers sa créature et la nécessité de la rendre heureuse avant de se plaindre de sa méchanceté. »

Chapitre XI :

Récit du monstre qui, après avoir quitté la chambre de Frankenstein, découvre le monde en errant dans la forêt. Il finit par aboutir dans une hutte, mitoyenne d’un chalet, en observe les trois habitants qui ont l’air bon (un vieillard aveugle, deux jeunes gens.)

Chapitre XII :

Description de la vie de ses « hôtes », vertueuse et misérable. Le monstre leur rend en secret de menus services. Il apprend à parler en les écoutant. Il découvre son reflet hideux, pourtant, il croit que la famille va l’accueillir avec bienveillance, lorsque qu’il se présentera au grand jour.

Chapitre XIII :

Une femme arabe survient : grande joie dans la maison. Peu à peu, le monstre s’instruit ce qui le conduit à s’interroger sur l’homme : « L’homme était-il donc à la fois si puissant, si vertueux et magnifique, et, d’autre part, si vicieux et si bas ? Il  me semblait n’être à un moment qu’une branche de l’arbre du Mal, et, à d’autres, tout ce que l’on peut concevoir de noble et de divin. […] Longtemps, je ne pus concevoir qu’un homme pût aller tuer son semblable, ni même pourquoi il existait des lois et des gouvernements ; mais quand j’entendis mentionner des exemples particuliers de vice et de carnage, mon étonnement cessa, et je me détournai avec impatience et dégoût. » Puis il s’interroge sur lui-même, sur sa nature et ses origines. Réflexions sur ses nouvelles connaissances : que lui ont-t-elles apporté sinon de nouvelles souffrances ?

Chapitre XIV :

L’histoire romanesque de ses amis [sans grand intérêt pour le sujet]

Chapitre XV :

Le monstre trouve par hasard des livres romantiques et se reconnaît dans ces personnages (Werther) ou admire les hommes illustres de Plutarque. Il lit Le Paradis perdu et se sent un autre Adam, et d’autres fois comme Satan : « Maintes fois, je considérai Satan comme représentant le plus exactement ma condition ; car souvent, comme lui, en voyant le bonheur de mes protecteurs, je sentis la morsure amère de l’envie. » Il découvre dans la poche de son habit le journal de sa conception écrit par Frankenstein : il prend en horreur son créateur et lui-même. Finalement, il se décide à parler au vieillard aveugle. Tout se passe bien jusqu’à l’arrivée des enfants qui sont horrifiés et le chasse.

Chapitre XVI :

Haine contre le monde auquel il voue une « guerre éternelle » puis décide de retourner au chalet mais ses habitants ont préféré abandonner les lieux. Colère et désir de vengeance nés du sentiment d’abandon. Il décide de retrouver Frankenstein. Tandis qu’il sauve une jeune fille de la noyade, un paysan lui tire dessus d’où sa « fureur démoniaque ». Toujours durant son errance, il rencontre le frère de Frankenstein et l’étrangle, c’est la révolte de la créature contre son créateur. C’est lui qui a volé le portrait et l’a glissé dans la poche de Justine qu’il a trouvé endormie dans une grange. Le monstre réclame une compagne de son espèce à Frankenstein : « je suis seul, et je souffre ; les hommes repoussent ma société ; mais une femme, aussi difforme et horrible que moi, ne se refuserait pas à moi. Il faut que ma compagne soit de la même espèce, ait les mêmes défauts que les miens ! tel est l’être qu’il vous faut créer ! »

Chapitre XVII :

Le monstre argumente et plaide sa propre cause : « Mes crimes ont ma souffrance pour cause » Il a simplement besoin d’amour : « Si un être quelconque éprouvait à mon égard une émotion bienveillante, je la rendrais multipliée au centuple ; pour l’amour de cette seule créature, je ferais la paix avec toute l’espèce humaine ! » Frankenstein hésite, mélange de compassion et de répulsion puis finit par accepter le pacte. Il se sent exactement comme le monstre (hormis la haine) : « […] il me semblait être au ban de l’humanité, n’avoir aucun droit à leur sympathie, ne pouvoir désormais jouir d’aucun rapport avec eux. »

Chapitre XVIII :

Pour créer la femelle, Frankenstein doit se rendre en Angleterre mais il retarde le plus possible son départ. Il promet à Elizabeth de l’épouser mais décide d’achever d’abord sa tâche. Il part avec Clerval. Description de la descente du Rhin, assez romantique et poétique. Hymne à l’amitié et nostalgie de l’ami perdu.

Chapitre XIX :

Séjour à Londres avec toujours son sentiment d’être à l’écart des autres hommes : « J’apercevais un obstacle insurmontable entre moi-même et mes semblables ; cet obstacle était teint du sang de William et de Justine ; et songer aux événements évoqués par leurs noms, accablait mon âme de souffrance. » Clerval représente son « moi d’autrefois » [en le tuant, le monstre tuera définitivement ce que Frankenstein a été] Ils partent pour l’Écosse, voyage. Puis Frankenstein s’isole sur une île, dans une petite maison et se met au travail.

Chapitre XX :

Frankenstein réfléchit à son projet : il ignore quel serait le caractère d’un second monstre femelle. Peut-être refuserait-elle le pacte, peut-être elle est dégoûtée par l’autre monstre ? peut-être deviendront-ils une race de démons qui détruira l’humanité ? Il aperçoit la figure du monstre qui l’observe par la fenêtre et renonce à créer la seconde créature. Le monstre le menace : « Vous êtes mon créateur, mais je suis votre maître, obéissez ! » Frankenstein quitte alors l’île en barque, jette les restes de ses travaux dans la mer et se laisse dériver jusqu’à l’Irlande où il est arrêté, soupçonné d’un meurtre.

Chapitre XXI :

Peu avant l’arrivée de Frankenstein, deux hommes ont découvert un cadavre sur le rivage, il s’agit de Clerval, le choc est tel que Frankenstein tombe malade et délire. Quand il s’éveille, sa fièvre est forte. Bonté du magistrat en charge de son cas. Visite de son père. Procès puis acquittement. Mais désespoir, cauchemars. Retour à Genève.

Chapitre XXII :

Il se sent à nouveau exclu de l’humanité : « La face humaine m’était odieuse. Hélas ! non, pas odieuse, car c’étaient là mes frères, mes semblables, et les plus repoussants d’entre eux m’attiraient comme des êtres d’une nature angélique et l’œuvre d’un ouvrier divin. Mais il me semblait que je n’avais pas droit à leur commerce. » Il veut s’isoler, s’accuse des meurtres et son père le croit fou. Lettre d’Elizabeth qui croit qu’il en aime une autre. Il la retrouve, la rassure, préparatifs du mariage.

Chapitre XXIII :

Il attend le monstre mais c’est Elizabeth qui est attaquée. L’un après l’autre, tous les membres de sa famille disparaissent. Il décide de se venger [comme le monstre, il n’a plus que la haine dans sa vie] les autorités locales ne le soutiennent pas. Contre l’orgueil de la science [Frankenstein au magistrat genevois] : « Ô homme ! m’écriai-je, quelle n’est pas ton ignorance au milieu de l’orgueil de ta science ! Tais-toi, tu ne sais pas ce que tu dis. »

Chapitre XXIV :

Il entame une longue traque du monstre. Décor « gothique » : au cimetière, sur la tombe des siens, il rencontre le monstre. Il part à sa poursuite à travers le monde, toujours plus au nord, jeu du chat et de la souris. Il traverse de nombreuses épreuves. Il demande à Walton de le venger et de ne pas céder à l’éloquence du monstre s’il le rencontre. [fin du récit de Frankenstein, retour aux lettres de Walton à sa sœur] Walton (suite) Frankenstein tire une leçon sur l’erreur de la quête de connaissance en répondant à une question de Walton : « Êtes-vous donc fou ? mon ami, me disait-il ; à quoi donc vous pousse votre curiosité irraisonnée ? Voudriez vous aussi créer au monde et à vous-même un ennemi démoniaque ? Paix, paix ! apprenez mes malheurs, et ne cherchez pas à accroître les vôtres. » L’ambition immense de Frankenstein est cause de ses malheurs. Suite de la lettre au gré des jours Le bateau est en danger. L’équipage veut rebrousser chemin, Frankenstein leur tient un vibrant discours sur l’héroïsme qui les remotive un moment mais bientôt ils refusent d’aller plus loin : c’est l’échec du voyage de Walton. Frankenstein résume toute l’histoire : « Dans un accès de folie enthousiaste, j’ai créé un être rationnel, et j’étais obligé d’assurer, autant qu’il était en mon pouvoir, son bonheur et son bien-être. C’était là mon devoir. Mais il en était un autre, encore supérieur. Mes devoirs envers les êtres de ma propre espèce réclamaient davantage mes soins, puisque qu’ils entraînaient une proportion plus grande de bonheur ou de misère. […] Malheureux lui-même, il faudrait qu’il mourût pour ne causer le malheur d’aucun autre. » Il demande à nouveau à Walton de le venger puis meurt. Walton surprend le monstre auprès du cadavre, remords apparents du monstre qui touchent Walton. Le monstre donne sa version des faits [il parle après Frankenstein : est-ce qu’il a le dernier mot ?] « Le Mal désormais devint mon Bien. » « Dois-je donc passer pour le seul criminel, alors que l’humanité entière a péché contre moi ? » Le monstre se montre éloquent et persuasif, il est animé par un sentiment d’injustice et de dégoût de lui-même : il va mourir puisque son créateur est mort. Il disparaît par la fenêtre du navire.

fin.      : )

 

Rédiger l’interview d’un personnage

Rédiger l’interview d’un personnage : 10 questions minimum

Objectif : montrer votre connaissance et compréhension du livre grâce à un jeu de questions/réponses

Méthode :

1. Choisir le personnage que vous avez préféré dans l’histoire ou celui qui vous semble le plus intéressant.

2. Au brouillon, récapituler ce que vous savez de lui, son caractère, son évolution au fil de l’histoire, les étapes importantes à ne pas oublier. Pensez aux lieux, aux actions.

3. Préparer des questions que vous aimeriez poser à ce personnage / imaginer les réponses qu’il pourrait faire. Les réponses doivent être riches, étoffées et correctement rédigées.

4. Attention : les questions doivent aller de la plus simple à la plus complexe. Ne vous contentez pas de poser des questions comme « quel âge as-tu ? »

Ex : peux-tu nous expliquer ton rôle dans cette histoire ? / pourquoi as-tu réagis ainsi lorsque … ? / que penses-tu de Y ? /…etc

Nos lectures en Troisième

Vous pouvez chroniquer ses lectures sous forme de :

  • journal de lecture (clic ! pour en savoir plus)
  • avis argumenté (une fiche bien faire par ici)
  • vidéo à la manière des booktubers (cf Bulledop)
  • la création et le commentaire d’un nuage de mots (par ici c’est gratuit)
  • interview complète d’un personnage et l’explication de votre choix
  • un support audio avec explication et lecture de certains passages ( en musique pourquoi pas !)
  • une lettre à un(e) ami(e), dans laquelle vous expliquez pourquoi vous lui recommandez ce livre
  • une lettre à l’auteur dans laquelle vous expliquez ce qui vous a plu, surpris, déplu dans son oeuvre
  • un abécédaire étoffé de l’oeuvre
  • le récit, à la première personne, d’un personnage de l’histoire
  • une boite à lire comprenant un passage du livre et un commentaire argumenté

A vous de jouer ! 

Et n’oubliez pas que vous êtes en Troisième ! On attend de vous un écrit riche, construit et correctement rédigé.

Attention : certains supports nécessite que vous choisissiez, avant de lire le livre, la façon dont vous allez rendre compte de votre lecture ( journal de lecture, interview de personnages demandent de prendre des notes en cours de lecture)