Le Cap Ferret, à la manière de JC IZZO

J’ai le Cap Ferret dans la peau

 

Chaque vacances je pars au Cap Ferret. Passer du temps au Cap Ferret n’est jamais un hasard. Depuis quelques années, dès les premières minutes où je franchis l’entrée de ma ville je me sens chez moi. Dans les rues, on retrouve des odeurs familières, le Cap Ferret est familier. Dès le premier regard !

J’aime cette ville pour son accueil, sa familiarité. Quand je me balade près du sable, les vagues, ce vent qui nous emporte, je me sens bien dans cette ville. L’odeur du vent, des feuilles volantes, des vagues qui se projettent sur le sable, cette odeur magique nous fait penser à notre belle nature. Cette ville, ma ville, est belle pour cette sensation qui me fait comprendre que je suis bien entourée. Le Cap Ferret est ma culture du monde, ma première éducation.

Cette ville, ma jolie et grande ville est unique à mes yeux, je me sens bien dans ma ville. Au Cap Ferret, on trouve le respect de l’autre, l’amitié et l’amour qu’elle apporte. Elle n’est pas comme n’importe ville, elle est unique et belle. Cet accueil qu’elle donne et cette envie d’y passer des années me fascine !  J’aime cette ville pour sa fidélité et sa tolérance.  Le Cap Ferret et moi c’est une vraie amitié, un amour inexplicable mais un amour vrai et puissant.

J’aime cette ville pour ce qu’elle est, ce que je ressens quand j’y suis c’est-à-dire de l’amour. Le Cap Ferret est une porte qui est ouverte à toute personne et elle le sera pour toujours.

 

Eliza ALAIN

One thought on “Le Cap Ferret, à la manière de JC IZZO”

  1. j’adore ton texte on ressent se que tu veut nous transmettre et la passion que tu a pour ta ville.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *