Category Archives: ARCHIVES 2016 /2017

Sandro Botticelli

Sandro Botticelli

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Né à Florence (Italie) le 01/03/1445

Mort à Florence (Italie) le 17/05/1510

En vérité il s appelle Alessandro Filipepi, c’ était un peintre italien de la fin du XV°s et du début du XVI°siècle.
Il est issu d’une famille modeste (son père est tanneur*), il a d’abord suivit l’enseignement artistique de son frère aîné .
À l’âge de 20 ans, il suit les cours de Fra Filippo Lipi qui est moine et peintre de Florence .
Sandro Botticelli commence à se passionner pour les théories humanistes des philosophes.
À 25 ans, Sandro Botticelli livre ses premières commandes pour la famille royale des Médicis, comme ce « Julien de Médicis » (1478), l’un de ses plus célèbres portraits.

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Il a réalisé trois grandes fresques pour la chapelle Sixtine au début des années 1480.
C’est un peintre officiel de la famille royale des Médicis.

Sandro Botticelli est un intellectuel contemplatif, connu pour sa proximité avec l’Antiquité gréco-romaine et ses représentations sublimées de la femme hellénique*.

En 1497, l’artiste florentin est victime, comme l’un de ses confrères, d’une violente entreprise de destruction de ses œuvres : la plupart sont brûlées sur un bûcher.

Parmi ses œuvres les plus célèbres, on retient « Le Printemps » (1482) et « La Naissance de Vénus » (1485).

Le Printemps : dimensions 2,03m x 3,14m, peinte vers 1478
Le tableau est constitué de deux plans :
-le premier avec les personnages clairs
-le fond qui semble être là pour mettre les personnages en valeur.
A gauche les trois grâces symbolisant la poésie                                              On peut apercevoir le dieu Mercure tout au fond à gauche, l’ange Cupidon qui tient une flèche tendue, il se trouve au dessus de la figure centrale. Ses yeux bandés représentent quelque chose d’essentiel en amour : L’amour rend aveugle                                                         On peu voir qu’il est détaillé avec de la précision.

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La Naissance de Vénus : dimensions 172.5 × 278.5 cm, peinte vers 1484-1485
-Au premier plan on voit une femme dénudée A l ‘intérieure dans la coque d’un coquillage, la Vénus sort des eaux, on a l’impression qu’ une femme veut l’habiller et on aperçoit aussi un couple qui vole dénudé.
Au deuxième plan on voit la mer                                                                               Sa posture s’appelle « en contrapposto »    ,                                                      Cette posture témoigne que Vénus est très pudique.                                      Les personnages semblent danser,et  Vénus nous regarde sans vraiment nous regarder.

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Définition                                                                                                              Contrapposto: Pause typique des statues grecques antiques.

Sources: L’Internaute, livre : Les grands peintres
Ophélie Boucaud 5°E

Le peintre Raphaël

Raphaël

Selfportrait of Raffaelo, Uffizi Florence.jpg

Né a Urbino (Italie) le 06/04/1483

Mort a Rome (Italie) le 06/04/1520

Il s’appelle Sanzio Raffaello.

Il a fait son apprentissage auprès de son père il était peintre et poète.

Il travaillait à la cour des papes Jules II et Léon X.

En 1508 il est appeler par le pape Jules II après sa mort en 1513 il devient le peintre de Léon X.

Il assemble précision du dessin, harmonie des lignes et une délicatesse du coloris avec une ampleur spaciale.

L’artiste réalise des tapisseries destinées à la Chapelle Sixtine ainsi que de nombreuses peintures et fresques.

Parmi ses chefs-d’œuvre « La Belle Jardinière » et « Le Mariage de la Verge  »

La belle Jardinière en 1508

Dimension : 122 x 80 cm

Ce tableau est actuellement au Louvre à Paris

Au premier plan on voit une femmes avec deux enfants dénuder

Au deuxième plan on voit un champ et a horizon on peut apercevoir un village.

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Le Mariage de la Vierge en 1504

Dimensions : 234 x 236 cm

Au premier plan on voit la vierge qui se marie et l’assembler du mariage

Au deuxième plan on aperçoit un temple

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Sources : Le Larousse et L’internaute

Ophélie Boucaud 5°E

Exposé les peintres espagnols du XVII

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Francisco Pacheco, orphelin très jeune, est élevé par un oncle érudit : le chanoine Pacheco. Après un apprentissage chez le peintre Luis Fernandez, il étudie les œuvres des maniéristes (voir définition en bas de page) de la génération précédente, Pedro de Campana, et surtout Luis de Vargas, sa carrière de peintre débute en 1585 à Séville où il devient très en vue autour de 1600 car il travaille pour les grands couvents de la capitale andalouse. Il est lié à l’aristocratie et à l’élite intellectuelle de son temps, en particulier au duc d’Alcalá, vice-roi de Naples la fin du XVIe siècle, Pacheco est un artiste reconnu parmi les peintres sévillans. En 1598 il est chargé de la décoration des monuments commémoratifs pour les obsèques de Philippe II. Deux ans plus tard il peint pour le couvent de la Merci plusieurs Scènes de la vie de saint Pierre Nolasque. 1611, est une date importante, il se rend en visite à Madrid et à Tolède et rencontre le Greco (vers1541-1614).

Portrait d'homme (Diego Velázquez, 1630).jpg

Diego Rodríguez de Silva y Velázquez en français est né en 1599 à Séville (Andalousie) dans une famille de la petite noblesse. Séville était à cette époque la ville la plus riche d’Espagne car elle bénéficiait du monopole du commerce avec les Amériques. Par suite, l’art s’y développa et de nombreuses écoles y étaient implantées. Vélasquez montra dès l’enfance un don pour la peinture et il fut placé en apprentissage dans l’atelier de Francisco Herrera Le Vieux (1576-1654) puis dans celui de Francisco Pacheco (1564-1644). Il resta très brièvement chez le premier mais demeura six ans chez Pacheco (de 1610 à 1616). Ce peintre, auteur d’un traité intitulé L’Art de la peinture, est considéré comme le maître de Vélasquez.

En 1617, il devient membre de la corporation des peintres de Séville et en 1618 il épouse la fille de Francisco Pacheco prénommée Juana. Deux filles naquirent de cette union, Francisca en 1619 et Ignacia en 1621. Les premières toiles de Vélasquez sont des natures mortes et des scènes de genre dans lesquelles il utilise le clair-obscur sans probablement avoir vu les œuvres de Caravage, l’initiateur de cette technique. Par contre, il n’est pas impossible qu’il ait admiré les œuvres du Gréco (1541-1614) qui utilise souvent le contraste noir-blanc. Vélasquez s’orientera rapidement vers les sujets religieux car les commanditaires sévillans sont principalement des ecclésiastiques.
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Alonso Cano

Alonso Cano est un peintre espagnol qui est né le 19 mars 1601 et mort le 3 octobre 1667

Il est le fils de Miguel Cano. Son père lui a enseigné l’. Il a appris la sculpture avec Juan Martines et la peinture avec Francisco Pacheco

Il obtint la faveur du, duc d’Olivarèz qui le fit nommer en 1638 maître des œuvres royales et peintre de la chambre. Comme sculpteur, il se fit connaître par trois statues de grandeur nature. Ses œuvres les plus célèbres sont la Madone et l’Enfant représentant la Vierge avec l’enfant Jésus de l’église de nebressa ainsi que les colosses San Pedro et San Pablo.

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Claudio Coello (né à madrid en 1642 et mort dans la même ville le 20 avril 1693) est un artiste peintre et un décorateur espanol.

Il s’efforça de réunir le dessin d’Alonso cano, la couleur Bartolomé Estéban Murillo et les brillants effets de diego velazquez, et produisit de beaux ouvrages qui lui valurent le titre de peintre d roi.

C’est l’auteur, entre autres œuvres, des fresques de l’escalier du couvent des décalas réales et de la sacristie du palais de l’Escurial.

le maniérisme est en matière artistique, littéraire. Forme d’art qui s’est développée au XVIe s. en Italie, puis dans divers pays européens.

SALEM Emeric et Angely tom

source internet

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les quatre expéditions de Christophe Colomb

Premier voyage de Christophe Colomb ( 1492 – 1493 ) ;

Le 3 aout 1492, Christophe Colomb fait son premier voyage après avoir convaincu le roi d’Espagne de financier son expédition.  Trente-trois jours plus tard , il arrive sur une île qu’il appelle San Salvador ( cette île appartient aujourd’hui aux îles Bahamas ). Il découvre également Haïti et il l’appelle Hispaniola, puis il découvre  Cuba, mais il ne s’aventure pas à l’intérieur des terres ; il reste sur les cotes. Il repart pour l’Espagne en Novembre 1492 alors que ses équipages sont au bord de la révolte . 

Quelques mois après être rentré en Espagne, il décide de repartir.  Avec 17 bateaux et 1200 hommes. L’expédition arrive à l’île Dominique en Novembre 1493. Il découvrira également les côtes de la Jamaïque et Porto Rico. La première colonie s’installera sur Hispaniola.

Le 30 Mai 1494 débute le troisième voyage avec seulement 6 bateaux. Christophe Colomb va découvrir l’île de la Trinidad. Il rentre en Espagne en 1500.

En 1502, il repart, cette fois avec 4 caravelles et il va a Hispaniola, Cuba et la Jamaïque. Son retour était en 1504.

Christophe Colomb a bien découvert l’Amérique, continent jusqu’alors inconnu des Européens. Pourtant jusqu’à sa mort en 1506, il est persuadé être arrivé aux Indes, but initial de son voyage. C’est pourquoi les peuples d’Amérique seront appelés Indiens .

 

Assia Mehdi

Océane Stolf

5°E 

OLIVIER VAN NORT


Oliver Van NORT né en 1558 à Utrecht et mort le 22 février 1627,  est  un navigateur , flibustier et le premier néerlandais à  accomplir une navigation autour du monde.

Il quitte Rotterdam le 2 juillet 1598 avec quatre navires. Il a pour plan d’attaquer des possessions espagnols et portugaises dans le pacifique et de commercer avec la Chine et les iles aux Epices.

Aux cours de ses nombreuses haltes côtières , il subit des pertes dues aux  attaques d’Indiens.

Il visite Java et Bornéo dans les Indes Néerlandaises puis rejoint le Cap et remonte vers les Pays-Bas. Il est de retour a Rotterdam  le 26 Aout 1601 avec son dernier navire et seulement 45 des 248 marins qui l’accompagnèrent à son départ.

Son aventure inspira cependant d’autres expéditions qui plus tard menèrent à la création de la Compagnie Néerlandaises des Indes Orientales.

Olivier van Noort Fretum Magallanicum in quod Olivier a Noort Generalis

Expose de Cheymae FNINECH

 

 

L’histoire du Batavia

article rédigé par Afan de Rivéra Julien, Laura Roux – 5°E


LE BATAVIA AU XVII°s

La navigation commerciale de la Compagnie Hollandaise des Indes Orientales ( la VOC) en Asie nécessitait des bateaux spécialement conçus pour ses voyages.

Au fil des années sont nés un certain nombre de types de bateaux.

Le Batavia, construit en 1628 à Amsterdam, appartenait aux bateaux dits de retour, destinés spécialement au transport de marchandises et de personnel entre les Pays-Bas et l’Asie.

Il fallait que le bateau soit grand pour transporter d’énormes cargaisons et être aussi capable d’entreprendre de façon autonome un voyage qui durait pratiquement un an.

Avec une longueur de 45,28 m de l’étrave à l’étambot, le Batavia faisait partie des plus grands bateaux de son époque. Pour loger et nourrir un équipage de 200 à 300 hommes, de nombreux équipements étaient nécessaires.

Le Batavia avait 341 passagers à son bord, des soldats ainsi que 38 femmes et enfants.

Toutes ces personnes s’entassaient sur le navire sans aucun confort , le peuple était séparé des officiers et riches passagers. L’élite mangeait et buvait autour d’une table recouverte de nappes en lin dans les cahutes alors que les gens du peuple se disputaient à six une seule écuelle en bois sur le pont inférieur.

Comme le navire devait pouvoir assurer sa propre défense et défendre aussi les intérêts de la VOC, il était équipé à bord d’une artillerie assez lourde. Ces caractéristiques, propres aux bateaux de la VOC, déterminaient la forme, l’agencement et l’équipement du bateau.

Caractéristiques

Longueur Hors-tout 56,60 m
Longueur entre perpendiculaires 45,30 m
Largeur 10,50 m
Tirant d’eau maximum 5,10 m
Hauteur du grand-mât 55 m
Poids lège 650 T
Poids en charge 1200 T
Lest 220 T
Surface de voile 1180 m²
Longueur totale du gréement 21 Km
Artillerie 24 canons
Equipage + passagers (en 1628) 341

Le naufrage

En 1629, le Batavia s’échoua sur un récif des Houtman Abrolhos, un groupe d’îlots de corail situé à quelque quatre-vingts kilomètres au large du continent australien.

Dans la nuit du 3 au 4 juin 1629, le Batavia sous un fort vent arrière s’échoue sur une barrière de récifs. Malheureusement cela s’est produit à marée haute et avec le reflux, le navire ne peut pas être dégagé. Quelques dizaines de passagers se noient en essayant de gagner l’îlot à la nage. À la nuit, il reste encore 120 personnes sur le navire.

Les passagers rescapés seront transportés en chaloupe vers un îlot situé à 2 kilomètres du navire.

Les instruments de navigation et les méthodes de navigation au XVIIème siècle

Plusieurs méthodes de navigation sont connues au XVIIème siècle comme la méthode de navigation côtière dont l’intérêt principal est de contourner le pays pour savoir quelle est sa forme.

Aussi, il existe les méthodes de la navigation hauturière, c’est-à-dire le déplacement d’un bateau en haute mer, lorsque les côtes terrestres ne sont plus visibles. Le navigateur peut se repérer grâce aux étoiles, au soleil ou à des instruments comme l’astrolabe.

Enfin, l’utilisation de la méridienne ne peut être qu’une méthode complémentaire destinée à préciser le système général de navigation.

https://cral.univ-lyon1.fr/labo/fc/navigation/astronavig.htm

Au premier plan nous pouvons voir un homme qui calcule où il se trouve grâce à un astrolabe. Cet instrument de navigation, inventé en -150 avant J-C, est utilisé jusqu’au 18ème siècle par les marins. Ce sont les Grecs qui l’ont mis au point. Il suffit de pointer l’aiguille de l’astrolabe vers l’étoile Polaire pour lire sa hauteur en degrés. Au deuxième plan, nous voyons ces bateaux.

Voici d’autres instruments de navigation :

Le compas :

La boussole :

Le compas, inventé il y a environ 1000 ans par les Chinois, est une boussole car ils ont eu l’idée de placer un morceau de fer magnétisé par une pierre d’aimant sur un cadran, montrant le nord, le sud, l’est, et l’ouest. Son aiguille indique le nord et les navigateurs se servent encore de cet outil précieux. Après son apparition, à partir du 15ème siècle, le compas ne devait plus beaucoup changer pendant plus de 300 ans.

Le sextant :

Les Anglais ont inventé une forme plus évoluée du quadrant. Il était fait d’un miroir et d’un bras mobile et servait à déterminer où était l’étoile polaire ( le soleil).

L’octant :

Cet appareil de mesure est de la même famille que le sextant. Son nom vient de sa taille : le secteur angulaire est de 45°. Il sert à mesurer  la hauteur des corps célestes (le Soleil). Il permet ainsi de déterminer la position du bateau. Cet instrument de navigation a été inventé vers le milieu du XVIIIe siècle.

Le bâton de Jacob :

Le bâton de Jacob (ou arbalète), un des premiers instruments de navigation, sert à mesurer, comme l’astrolabe, la position du bateau. C’est un long bâton carré gradué auquel se rattache une pièce mobile perpendiculaire, le marteau. Le marin porte une des extrémités du bâton à son œil. Il rapproche ou éloigne le marteau de son œil jusqu’à l’alignement de sa partie supérieure sur le soleil ou l’étoile Polaire et sa partie inférieure sur l’horizon.

Lise ROUX 5°E et Angeliki MERKO 5°E

 

 

 

Paulus Potter et Franc Hals, à vos pinceaux!

Mais qui est ce Potter? Un sorcier ou un peintre? Et le maître d’Haarlem? Et quels sont les histoires de ces deux hollandais que vous ne connaissez certainement pas? Ces réponses dans les lignes suivantes!

Paulus Potter, le peintre des animaux  (autoportrait)

Paulus Potter est évidemment un peintre hollandais et non un sorcier, né en 1625 à Enkhuizen en Hollande. Sa famille habitait à Amsterdam, la capitale toujours actuelle, de la Hollande.

Très attiré par la peinture comme son père, Paulus avait un sens très performant à l’observation. Cela a fait ses preuves : à 15 ans, monsieur Potter créa sa première œuvre! Ensuite, son père lui a appris plusieurs techniques pour qu’il soit de plus en plus expérimenté.  Plus tard, grâce à sa réputation, Paulus est admis avec les plus grands peintres de La Haye, ville toujours actuelle du siège du gouvernement hollandais! En 1650, monsieur Potter à l’occasion de dessiner des animaux exotiques (savane : lion, éléphant, zèbre; forêt : cerf, ours)! Mais en 1654, Paulus meurt à 29 ans d’une santé fragile, après une brève carrière…

Pourquoi on le nomme « peintre des animaux »? Paulus avait ce surnom-là, car il dessiné tout le temps dans les près. Il a fait seulement des portraits d’animaux ou de paysages de campagnes dans de nombreux formats. On appelle ça un peintre paysagiste.

Une de ses œuvres les plus connues est « le taureau » de Potter et il n’a que 22 ans, en 1647 qu’il entreprend ce tableau, sur une toile de plus de trois mètres de large et de deux mètres de haut! Paulus est d’ailleurs le premier de véritables « portraits » (de taille réelle) d’animaux. Problème : nous ne savons pas qui a acheté cette toile…

Source : Magazine Petit Léonard (N°084)

Frans Hals, le maître d’Haarlem (autoportrait)

Frans Hals est un peintre hollandais, né entre 1580 et 1585 (nous ne

savons pas exactement la date précise…) à Anvers, dans le Sud du Pays-Bas. Venu au monde d’une famille protestante, Frans doit rapidement fuir avec ses proches sa ville natale, qui fut vite envahie par les espagnols. Il s’installa ensuite avec ses parents à Haarlem, ville où il commença ses apprentissages à l’art et où il devint plus tard célèbre peintre et « maître d’Haarlem »…

Puis, au début de XVII° siècle, Haarlem devint le centre artistique où travailla d’importants peintres, dont Frans Hals! En 1611, Frans commence à être réputé en étant membre de la guilde de Saint-Luc à Haarlem. Il a aussi décidé de rester dans sa ville où on le considère comme « maître » et de ne pas continuer sa carrière à Amsterdam, comme de nombreux peintres hollandais. Il eu aussi deux femmes : la première fut mère de deux enfants et la seconde de huit! Franc peignait seulement des portraits : enfants, bourgeois, régentes, famille… Bref, tout le monde y passait! Enfin, monsieur Hals meurt en 1666…

Une de ces œuvres est « le mulâtre », peint en 1627. Cela représente un homme qui aime rire et boire et qui est vêtu de rouge et de jaune …

C’est fini car, vous savez tout! Merci.

Jules Chanut, 5°E.

 

 

 

Torrès, Mendaña et Queiròs.

Des explorateurs :

Torrès, Mendaña et Queiros.

Torrès :

C’est un portrait de Torrès conservé au museum de Madrid.

L’année et son lieu de naissance sont inconnus. On le suppose né aux alentours de 1565 car il avait la fin de la trentaine, début de la quarantaine en 1606. Sa vie est peu connue avant l’expédition de Queiros. Luis Váez de Torrès est un navigateur espagnol du XVII siècle. Il fut le premier navigateur ayant officiellement navigué dans le détroit qui sépare l’Australie de l’île de Nouvelle-Guinée et qui maintenant porte son nom, le détroit de Torrès.

Mendaña :

C’est un portrait de Mendaña conservé au museum de Madrid.

Álvaro de Mendaña y Neira né le 1er octobre 1542 à Congosto dans la province de Leòn – mort le 18 octobre 1595 dans les   îles Santa Cruz est un navigateur et explorateur espagnol. Il était marié à Isabel Barreto, elle-même navigatrice et exploratrice. Il dirigea deux grandes explorations dans le Pacifique. La première débuta en novembre 1567. Lors de cette exploration, il découvrit les îles Salomons en février 1568. La deuxième débute en avril 1595. Lors de cette exploration il découvrit les îles Marquises en juillet 1595.

Queiròs :

C’est un portrait de Queiròs conservé au museum de Madrid.

 

 

Pedro Fernandes de Queiròs est né à Evora (Portugal) en 1565 et mort en 1614 à Panama. C’était un navigateur et explorateur portugais au service de la royauté espagnol. Il se rend à Rome en 1600 pour obtenir la bénédiction du pape Clément VIII en vue de nouvelles explorations. Il prend la mer en direction du Pérou en 1603 pour organiser une expédition à destination de la Terra australis, la « grande terre mythique du Sud », et en prendre possession au nom de l’Espagne et de l’Église. Son expédition embarque à Callao, le 21 décembre 1605, avec 300 hommes d’équipage et soldats, à bord de trois navires, le Santos Pedro y Pablo, le San Pedro et Los Tres Reyes.

Leurs liens :

Torrès et Queiròs : Luis Váez de Torrès a été nommé second dans l’expédition de Queiròs dans le Pacifique.

Mendaña et Queiròs : En 1595, il participe en qualité de pilote aux explorations d’Alvaro Mendaña au sud-est du Pacifique.

C’est une carte des voyages de ces trois explorateurs.

sources : wikipedia

Corentin et Enzo 5°E

La ville d’Amsterdam au 17ème siècle

La ville d’Amsterdam au 17ème siècle

Dans le roman Le Secret des cartographes de Sophie Marvaud que nous étudions en classe, une partie de l’action se passe à Amsterdam.

L’histoire d’Amsterdam commence au17eme siècle lorsque des familles de pécheurs s’installent sur les rives de l’Amstel (fleuve canalisé qui a donné son nom à Amsterdam).

En 1602, la compagnie hollandaise des Indes orientales est fondée. Amsterdam possède la moitié des ports de cette compagnie, qui deviendra par la suite la toute première multinationale de l’histoire. Il s’en suit alors, tout au long du 17eme siècle une période d’une incroyable prospérité, appelée siècle d’or.

(Port d’Amsterdam 17eme siècle)

Durant cette période, la ville ne cesse de s’étendre. Ces extensions associent fonctionnalité et beauté.

De nos jours, le résultat est encore visible avec la célèbre ceinture de canaux entourant le centre historique et le quartier du Jordann (quartier bourgeois).

(Quartier Jordann)

Les arts aussi connaissent une période extraordinairement florissante. A la moitié du 17 ème siècle, les artiste se développent très vite, comme le commerce d’oeuvres d’arts. En 30 ans Amsterdam devient une capitale culturelle majeure. A cette époque on y retrouve des artistes comme Rembrand, Vermeer et Steen.

(La laitière de Vermeer)

A la fin du 17 ème siècle, l’économie, peine à se renouveler. Suit alors une période de déclin et de pauvreté.

CARRERE Orane & AQUILINA Justine 5 E

Chaine Youtube @EugèneNumérique

Les jeunes journalistes du collège Eugène Le Roy sont fiers de vous présenter leur chaine Youtube : @EugèneNumérique

(cliquez sur l’image)

Vous y trouverez trois rubriques:

  • Reportages sur le terrain ( en ligne l’interview des membres du Lions Club de Bergerac)
  • Sciences à la maison ( des expériences à refaire chez soi)
  • Scoop ! ( parce que parfois le reportage ne se passe pas comme prévu !)

Videos à venir :

  • reportage sur un chantier archéologique
  • un nouvel épisode de Sciences à la maison
  • Le journal télévisé vu par Eugène !

Merci pour les vues et les 

Lettre à Monsieur Eiffel

Vous êtes citoyen parisien et faites partie des détracteurs de la Tour Eiffel. Vous adressez un courrier à Gustave Eiffel afin de lui exposer vos arguments.

Baldo Damien                                                                                         15 mars 1889

Monsieur Gustave Eiffel,

Je me permets de vous envoyer cette lettre à propos de votre tour .

Je trouve que votre construction métallique ne se fond pas dans le décor car tout est en pierre dans Paris ,sauf cette tour . En outre, Il y a un gros risque d’ effondrement à cause du temps (pluie , mais surtout rafales de vents).Elle prend beaucoup de place , rendez vous compte : ses pieds fond 20 mètres de large chacun !Cette tour est vertigineuse et ridicule ,on croirait voir une cheminée d’usine.

Votre tour, M Eiffel, déshonore  Paris . Aussi je vous invite à la déplacer.

Cordialement.

La révolution industrielle par Monet

le tableau illustre La gare Saint lazare de Monet

Le courant est l’impressionnisme.

Dénotation :le tableau est divisé en trois parties :il y a le sol qui reflète les ombres produites par le soleil qui traverse la verriere,la deuxième partie est la ville qui se trouve derrière la fumée produite par le train, en bas à droite la troisième partie où voit des rails qui traversent le sol à l’ infini.

Connotation :Je pense que Monet a voulu mettre en valeur la fumée car elle envahit le paysage et représente la révolution industrielle : le progrés mais aussi comment cela transforme le paysage.

L’ambiance est très triste car les couleurs utilisées par Monet sont très sombres .

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Victor Mathé 4D

Claude Monet : la gare St Lazare.

Nature : peinture

Peintre : Claude Monet

Courant : impressionisme

Dénotation : Ce tableau est divisé en trois parties, la première et la deuxième parties se ressemblent par la forme triangulaire ,elles sont plutôt sombres .

La partie d’en haut est le reflet de la première partie. La deuxième partie est plutôt claire, on voit la ville, les trains, la fumée. La fumée cache les bâtiments. La ville est plutôt au fond. On n’entre pas trop dans les détails, c’est de l’impressionnisme . Les gares de cette époque étaient fabriquées de fer et de verre. Les couleurs sont froides mais appaisantes. Cela vient des touches de couleurs chaudes.

Connotation : j’interprète que le  peintre a voulu mettre beaucoup de fumeé ce qui trouble le regard du spectateur. Cette fumée floute le paysage, derrière mais elle est dû a un progrès technique : La machine à vapeur.

L’ambiance me semble triste parce que les couleurs restent sombre, tout est mélangégalement comme si ce n’était pas net.

 Océane Martyr 4D

Le train de Walden

Ce tableau a été peint au 19°siècle par Walden .On voit des feux de signalisation ,des rails ,au loin des bâtiments sombres .De la fumée s ‘échappe des usines et des machines.A gauche une maison et des wagons complètent ce paysage sombre. On s’aperçoit qu’il pleut avec le reflet au sol.

Nous interprétons qu’un train arrive sur un enchevêtrement des rails .La fumée  du train commence à s’arrêter .Le tableau nous fait ressentir l’assombrissement du tableau, la ville noire comme le charbon . Le charbon est un symbole du XIXEME  avec la machine à vapeur.

Damien Baldo 4 D

Les peintures de train au XIX°siècle

Nature : C’est une peinture

Peintre : Jean Louis Paguenaud (1876-1952) peintre français

Courant : peintre officiel de la marine

Dénotation : On voit un train en action avec des pylônes de chaque coté du chemin de fer. On aperçoit la ville au loin, le ciel est très sombre, la vapeur du train est blanche par rapport au nuage. Le train est mise en avant grâce à sa couleur noire et une plaque rouge.

Connotation : Je pense que le peintre a essayé de représenter la vitesse, la grosseur du train par rapport aux pylônes qui paraissent petits. Il a voulu montré la pollution sur le paysage.

Nature : C’est une peinture

Peintre : William Turner (1775-1851) peintre britannique

Courant : Ses spécialités sont aquarelliste et graveur

Dénotation : La peinture est très floue et on imagine un pont à l’horizon. On aperçoit un train et on devine la trajectoire du train qui arrive vers nous. Les couleurs sont jaunes, oranges et bleus. Le train se fond dans dans les couleurs chaudes du paysage.

Connotation : Je pense que le peintre à voulu représenter l’allure, le progrès et la modernisation. Le train donne de la vie, de la nouveauté aux paysage.

 

Loup Baudry 4°D

 

Peinture, Monet, La gare St Lazare

 

 

 

 

 

 

  • C’est une peinture de Monet, la tableau a été réalisé sur commande, pour illustrer les progrès techniques.
  •  Cette peinture du 19 ème siècle est de Monet.
  •  Il est du courant impressionniste.
  • Dénotation : – Le train de droite est mise en valeur, il y a beaucoup de fumée au-dessus.

                          –  En haut au milieu, il y a beaucoup de fumée également.

                               -A gauche,  une autre locomotive.

  – Il y a une personne au premier plan, et d’autres derrière.

-Au fond, on aperçoit une ville.

-En bas, des rails.

-Le haut est en forme de triangle, le plafond est  en verre et en fer.

-Le tableau est lumineux, et les couleurs sont plutot froides.

  • Connotation : 

On devine une possible troisième locomotive, derrière la fumée au milieu. La fumée floute la ville et  vient des progrès techniques, qui dénaturent le paysage. L’impressionnisme est important pour montrer une ambiance, ça fonctionne par touche. C’est la révolution industrielle. Les rails montrent que la machine va traverser la ville.

  • Le message est négatif, il est contre ce progrès technique. Il montre le paysage dénaturé à cause de ce progrès, car il y a beaucoup de fumée et que les rails traversent la ville, la coupent.
  • Dans d’autres tableaux de Monet sur ce thème,  on a une impression d’harmonie et de douceur. Mais pas ici

Manon Marrot

Deux artistes pour un train

Premiere oeuvre

La nature de cette œuvre est une peinture. Le tableau illustre les progrès techniques du XIXEME.

L’artiste est Vincent van Gogh, Il est née au 19e  siècle .

Son œuvre est inspirée de l’expressionnisme.

En bas, du tableau, on voit un chemin. Le train se situe au milieu de l’œuvre avec des fils électriques juste au dessus de celui-ci. Le chemin et le train mènent le regard à un même point grâce à la perspective. Le tableau est lumineux avec des couleurs très colorées et chaudes.

Le regard mène peut-être à une gare. Le train est sans doute en train d’avancer.

Le peintre nous montre une image positive du train car le train se fond bien dans le décor et l’œuvre a des couleurs chaudes.

Vincent van Gogh, Railway Carriages,, 1888

Deuxième oeuvre

La nature de cette œuvre est une peinture, elle illustre les progrès techniques.

L’artiste est Camille Pissarro, il est née au 19e siècle.

Son œuvre est inspirée de l’impressionnisme.

Au milieu du tableau, on voit deux train. Il y a des bâtiments à droite du tableau. La fumée des deux trains se mêle avec le ciel. Les rails mènent à la gare. Au fond du tableau, on voit la ville. Il y a de la verdure autour des rails., un rappel de vert sur le train, cela rappelle la nature. L’œuvre est faite avec des couleurs  froides et légèrement chaudes par endroit.

Le peintre a voulu montrer qu’il n’y a pas de pollution. Le message est positif, le tableau nous montre l’apaisement. Le train se mélange bien avec la nature. Il en fait partie et ne la dénature pas.

Camille Pissarro, The train, 1897

Le train vu par Auguste Chabaud

Ce tableau a été peint par Auguste Chabaud au 19ème siècle. On aperçoit  un train qui projette de la fumée noire, il y a une grille en haut de la gare au second plan,  un train qui semble venir vers nous et qui fait de la fumée bleue. L’intérieur de la gare est très sombre alors que dehors c’est très lumineux.

L’intérieur de la gare est tout noir et dehors tout est très lumineux, clair . C’est surement pour nous dire qu’une gare est un endroit hostile et pas très accueillant. Ici on perçoit l’en fermement.

Yoni Russac

Train en peinture au XIXème siècle

Nature : Peinture huile sur isorel

Peintre : Jean Louis Paguenaud

Dénotation : Je vois un train noir et rouge sur des rails. Le train lâche beaucoup de vapeurs, de la fumée blanche qui devient grise foncée. Au fond on voit la ville qui est lumineuse avec le viaduc de Limoges puis sur les cotés des poteaux électriques et de la verdure. Le ciel est plutôt obscurci par les fumées.

Connotation : J’interprète ce tableau comme une représentation de la vitesse et du mouvement. On a l’impression que le train va nous foncer dessus.

Message d’ambiance : C’est sombre, le train est un peu effrayant,mais en arrière plan c’est lumineux le peintre a peut être voulu jouer sur le contraste du foncé en avant avec la fumée et claire en arrière plan avec la ville.

Rim Lamtalsi 4°D