La vie a bord de la goélette Tara

-Comment le bateau est-il fait?

Le pont arrière sert aux scientifiques pour analyser l’eau de mer et les organismes qu’elle contient.On stocke dans la cale avant du matériel comme des échantillons mais aussi les doubles de toutes les pièces du bateau.La coque du bateau est faite en aluminium.

-Les conditions alimentaires

Les habitants de la goélette mangent  des produits frais et font des escales pour se réapprovisionner en nourriture. La cuisinière se nomme Marion.Ils mangent dans la pièce nommée le carré.

 

Alice et Axel

Des questions, on s’en pose encore …

Nous avons posé des questions à Daniel Cron mais il reste encore plein de choses que nous aimerions savoir. Voici nos questions :

– Les premières expéditions se sont-elles toujours déroulées comme prévu ?

– Pensez-vous convaincre le monde de devenir un peu plus écologique ?

– Pensez-vous découvrir de nouvelle espèces ?

– Qu’étudiez-vous en particulier ? Parce que Tara est quand même un sujet d’étude très vaste.

– Avez-vous déjà rencontré des phénomènes météorologiques dangereux ou en avez-vous déjà capté ?

– Avez-vous des sonars sur le navire ?

– Avez-vous des alarmes pour vous prévenir d’un quelconque danger ?

 

Laura et Pierre

 

 

Questions/réponses avec Daniel Cron

Voici les questions qui ont été posées à Daniel Cron, chef mécanicien à bord du Tara:

Avez-vous déjà vécu une situation dangereuse?

Oui, le bateau a déjà était piégé dans la glace. C’était lors de l’expédition en Antarctique. Nous essayions de fuir la glace qui se rapprochait  petit à petit du bateau. Cela nous faisait peur, je croyais vraiment qu’on allait y rester. Mais nous nous en sommes sortis. Cela a permis de tester la solidité du bateau et d’explorer.

Avez-vous déjà plongé avec les scientifiques pour faire des expériences?

Oui, j’ai déjà plongé avec les scientifiques pour faire des expériences. La nouveauté de cette expédition dans le Pacifique est que tout le monde a le droit de plonger, cela va être fantastique !

Quentin Penaud

Un peu plus sur la vie de Daniel CRON

PART.2

Quand Daniel Cron était petit, il voulait être commandant d’un bateau de croisière. S’il a voulu voyager, c’est grâce à son père. Il a commencé sur un ferry dont le parcours était France – Angleterre. Un jour, il est tombé sur une annonce pour faire une expédition d’un an en Antarctique. Il a navigué sur un bateau à trois mats : le Bel Espoir. Il a remonté l’ Amazone, vu les Indiens. Il a encore été embarqué pour une aventure polaire au Groenland. Il y a fait de la plongée sous glace, au milieu des icebergs.

C’est un aventurier !

Corentin et Malak

 

questions /réponses avec Daniel Cron (2° partie)

Voici quelques questions qui ont été posées à Daniel CRON

Comment faites-vous pour manger à bord ?

« Je mange comme vous à la maison car j’ai la chance d’avoir un cuisinier. J’ai besoin de bien manger pour être bien à bord.On pense souvent que les marins mangent des sachets dans les expéditions mais pas du tout. Nous on mange des produits frais et des conserves »

Est-ce que le bateau pollue ?

« Le bateau pollue un peu, on ne peut pas faire autrement, mais ils essayent de moins polluer en mettant les voiles. Il fonctionne avec une sorte de pétrole mais ils ont changé les moteurs pour essayer de diminuer la pollution. C’est important dans une telle expédition. »

Voici quelques données sur Tara :

  • Propulsion à moteurs Diesel : 2 × 350 chevaux
  • Énergie : 2 × 22 kW, panneaux solaires et éoliennes
  • Autonomie : 5 000 milles

Combien de pièces y a -t- il sur le bateau ?

« Il y a huit chambres de deux personnes (cabine) plus le reste , 15 pièces environ. »

Julien Afan de Rivera et Samantha Di Meo

Tara Arctic et Tara Pacifique

Tara Arctic

De septembre 2006 à Janvier 2008

Durant cette aventure, l’équipage a étudié l’ atmosphère, la banquise et l’océan. L’idée était de voir les changements qui se passent sur la mer, les océans, la glace.Pendant 507 jours Tara a dérivé sur la glace du Pole Nord (la banquise). Le bateau n’en sortira que 2 ans plus tard ,après une dérive de près de 1800 km . C’est grâce a sa coque ronde et plate conçue pour résister aux extrêmes dangers que le bateau a été protégé. Ce programme est ambitieux et éducatif il s’appuie sur la haute technologie. L’expédition Tara Arctic s’est déroulée dans le cadre de l’année polaire internationale. Cet événement a lieu tout les 50 ans. C’est une occasion unique de communiquer sur la recherche polaire pour comprendre le rôle des régions polaires dans le climat.

Timbre commémoratif bulgarede l’année polaire international 2007/2008

Ophélie Boucaud

Tara Pacific

De 2016 à 2018

Tara part étudier les récif coralliens dans le Pacifique où diverses espèces marines sont menacées. Tara a quitté son port d’attache de LOrient le 28 mai 2016 pour aller explorer l’océan Pacifique. L’expédition fait près de 100 000 km elle va durer pendant plus de deux ans. L’objectif est de comprendre l’évolution de la biodiversité des récifs coralliens. Face au changement climatique. On peut déjà voir l’action de la pollution sur le corail et la pollution dans les océans avec les déchets plastiques.

Lise Bachèlerie

La vie à bord de la goélette Tara

Les pièces à bord du bateau (Justine)

Sur le bateau il y a plusieurs pièces :le carré, c’est la pièce de vie du bateau,le plus grand espace. On y mange,travaille, discute, rigole et on s’y rejoint pour se détendre. Après il y a des toilettes et des douches. Pour ne pas polluer l’océan, ils se douchent avec un savon et un shampoing écologiques, le papier toilette est biodégradable , il est jeté dans une poubelle. On trouve aussi dans le bateau, la salle des machines. Quand il n’y a pas de vent il faut mettre en route les deux gros moteurs. La salle des machines devient la pièce la plus bruyante et la plus chaude du bateau. Dans la cale avant on stocke du matériel,l’ancre de secours du bateau, les échantillons de planctons , d’eau de mer ou corail. On y trouve aussi la cambuse, c’est là ou on entrepose la nourriture. L’endroit où on prélève l’eau de mer et les organismes qu’elle contient s’appelle le pont arrière. Grâce à de nombreuses machines qu’on trouve dans le laboratoire sec, les scientifiques photographient le plancton . Ils peuvent aussi connaitre, durant le trajet ,la température de l’eau et sa salinité. Mais aussi son PH . Le capitaine du bateau se trouve dans la timonerie. C’est ici qu’il dirige la goélette.On peut dire également que le bateau a un désalinisateur, pour obtenir de l’eau potable en mer.Et enfin on trouve aussi les cabines; il y a deux lits par cabines.

L’équipage de la goélette Tara se concerte avant le départ du port de Lorient, le 28 mai 2016 / AFP

L’équipage sur bateau.(Tom)

Sur le bateau le capitaine est Sam, c’est le chef de la navigation et de l’entretien de la goélette mais il n’est pas seul il se relaie avec Martin.

Anna et Spencer sont les correspondants :  ils écrivent,ils photographient,ils dessinent la vie sur le bateau.

Il y a aussi le directeur scientifique avec le médiateur c’est eux qui choisissent l’endroit idéal avec  l’aide du chef mécanicien : Daniel CRON . Ils s’occupent de la technologie , le moteur et bien sur du bateau.

Pour survivre il faut bien sur une cuisinière ,Marion elle doit satisfaire tout  l’équipage. Dans un autre articles nos camarades vous expliquerons qu’à bord on mange des produits frais.

Le directeur général: Romain ,n’est pas sur bateau . Il s’assure que les opérations se déroulent comme prévu.

Et puis la responsable pédagogique : Brigitte, doit partager avec le plus d’enfants le travail et les découvertes de l’équipage

 Tom ANGELY Justine AQUILINA

la visio-conférence avec Daniel Cron

Mercredi 5 octobre 2016 

Nous sommes allés à 10h dans l’amphithéâtre .On a  commencé à rédiger des questions pour Daniel Cron. Avant de commencer la visio-conférence il y a eut un petit problème de vidéo projecteur.Nous n’avons pas pu le voir sur écran géant mais nous l’avons quand même vu sur l’ordinateur et nous l’avons entendu.

A 11h Daniel Cron s’est connecté et il a raconté pendant 20 minutes sa passion pour les bateaux. Après qu’il ait fini de parler, nous avons pu commencer à poser des questions.

Pour pouvoir poser des questions il fallait appuyer sur une main verte (comme quand on lève la main en classe) et c’est Pascaline qui disait qui pouvait parler au micro. Une collègue de Daniel Cron  voyait sur un ordinateur .Dès  qu’elle nous interrogeait,  soit on parlait avec un micro ou on écrivait les questions dans un petit cadre.

NOUS, les 5°E, lui avons posé une question mais il n’a pas eu le temps de nous répondre. La question a été enregistrée et il va nous répondre sous une autre forme bientôt quand il sera à bord de Tara.

.Lou-Ann , Mathieu et Cheaymae.

 

Les études de Daniel Cron

PARTIE 1

Assia et Lise

Daniel Cron a fait un bac scientifique, pourtant il  n’était pas spécialement  fort en sciences et aurais voulu faire des études littéraires, mais il a plus de facilité dans d’autre matières comme l’histoire et les mathématiques . Il dut redoubler sa Terminale parce qu’il ne savait quoi faire. Il ne connaissait pas la marine marchande mais cela lui a plu, comme une révélation. Après son  bac scientifique,  il a fait 5 ans d’études. Il trouva enfin sa voie 

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Les questions qu’on se pose encore !

Lorsque nous avons rencontré Daniel CRON, nous avons pu lui poser quelques questions. Suite à cette visioconférence, d’autres questions nous sont venues. Les voici :

  • Combien d’espèces sont recensés dans les colonies de coraux ?
  • Est- ce que les tempêtes peuvent tuer les coraux ?
  • Le journal de l’expédition Tara dit que les océans glacials sont remplis de plastique , mais est-ce que les icebergs en contiennent ?
  • La coque du bateau s’est-elle déjà brisée ?
  • votre famille a-t-elle déjà  » visité  » le bateau Tara ?
  • Êtes vous déjà passé par le triangle des Bermudes et le parcours de la goélette est-il fait pour l’éviter ?

 

Enzo Padoan / Océane Stolf

 

 

La marine marchande

                                                  Travail EPI sur TARA.

Daniel CRON qui est à bord de Tara nous a présenté son métier.

Internet vous en parle :

1- Pour être dans la marine de commerce il  faut d’abord avoir un diplôme de la marine marchande, mais ce n’est pas simple! La retraite est à 55 ans.

On étudie cela dans des écoles spéciales:

-Lycées profesionnels

-Écoles nationales de la Marine Marchande

Le code disciplinaire et Pénal de la marine marchande a des règles définies.

La marine est protégée socialement par l’ENIM (Établissement National des Invalides de la Marine).

2- Conditions d’exercices:

Trois conditions d’exercices sont données par le décret relatif au conditions d’exercices de la profession de marin:

– Obligation d’état civil et de moralité.

– Contraintes physiques pour l’aptitude médical.

– Obligation de formation maritime.

Daniel CRON nous en parle:

Ce marin a fait 5 ans de stages dans un férie, après avoir eu un Bac scientifique. Il a redoublé la Terminale. Il nous dit que pour être diplômé dans la marine marchande,il est difficile d’obtenir le diplôme ! Daniel CRON nous conseille ce métier, car il est très intéressant, mais physique et fatigant.

Ce plongeur professionnel, a un grand rôle éducatif dans la goélette TARA: il est le chef mécanicien mais il touche aussi à l’informatique et partage ses connaissances avec l’équipe. A bord il est responsable du bon fonctionnement de tous les appareils et ne doit pas hésiter à intervenir en pleine nuit. Il a expliqué qu’il suit aussi les opérations commerciales.

Il explique que lui a eu la chance de partir sur des voiliers, pour des expéditions autour du monde, mais que certains de ses camarades d’études restent sur des pote-conteneurs toute leur carrière.

 Écrits par: Jules, Orane et Jonas.

Le 6 ème sens des animaux

Nous savons tous que les animaux on cinq sens mais saviez -vous qu’ils en ont en fait six ?

Chien et Chat : Un chien ou un chat est capable de savoir à la seconde près où leur maître va rentrer, avant même qu’il ouvre la porte. L’animal est lié à son maître.                               Le chien et le chat ressentent aussi quand s’est passé quelque chose de grave comme un accident ou un décès, mais aussi quand son maître est triste.Un jour alors que je pleurais , mon chat est venu se frotter contre moi pour me consoler ( et ça marche !).De plus, (comme les pigeons voyageurs ) ils peuvent retrouver le chemin de leur maison à des kilomètres. La preuve : le jour de mon déménagement mon chat n’était plus là, on l’a cherché partout. Peu de temps après mon père a eu l’idée de retourner à notre ancienne maison et le chat y était. Et le lendemain le chat avait à nouveau disparu. Certains chats sont très perturbés par un déménagement et peuvent,par exemple, rester sous un lit pendant trois jours, ce qu’a fait mon autre chat.

Pour revenir au chien, ils ont un odorat mille fois plus développé que celui des humains.

Les chevaux : Les chevaux ont 5 sens comme nous mais ils en ont aussi un 6 ème : le sens des phéromones. C’est pour lui une sorte d’odorat qui lui permet de capter des phéromones *. Ces substances chimiques sont émises par un individ et jouent sur une émotion. Voilà pourquoi le cheval peut ressentir la peur de son cavalier. Quand un étalon sent la présence d’une jument en chaleur ou d’un poulain venant de naître, il fait une grimace nommée le  » Flemment  » : la lèvre supérieur est retroussée, le cheval fait une inspiration et reste en apnée en hennissant pour ensuite reprendre son souffle.

phéromones * : n. f. substance chimique sécrétée par un organisme, qui provoque chez un congénère une réaction spécifique.

Les oiseaux : D’après des chercheurs des oiseaux auraientt quitté une zone de reproduction  quelque jours plus tôt pour parcourir 1500 km en cinq jours dans le but de fuir une terrible tempête qui a fait 35 morts. En effet les oiseaux seraient capable d’entendre ces sons à très basse fréquence. Tout comme les oies sauvages qui migrent vers les pays chaud avant l’arrivée du froid.                                 Je ne sais pas comment fond les oiseaux. Ça reste un mystère !

Lise Bachèlerie

 

Mon journal de lecture

                                             Journal de lecture

  Le 18 Septembre 2016

De 18h à 20h 52min :

De la page 9 à page 10

J’avais crus que Stella était la sœur de Michael, mais non, c’est sa chienne ! C’est marrant le surnom de Michael : « Bille de singe » et le nom du club de foot « les Mudlarks ».

De la page 12 à la page 43

Après que la lettre soit arrivée, les parents de Michael et sa chienne doivent partir car la Briqueterie ferme (le père et la mère de Michael travaillaient là-bas). Ils ne savent pas où aller, mais un jour, le père de Michael part sans rien lui dire.

Quelques jours plus tard, il appelle sa femme et leur dit de venir le rejoindre à la mer. Quand ils sont arrivés à destination, le père de Michael dit : « Je veux vous présenter quelqu’un, une bonne amie à moi : elle s’appelle Peggy Sue »

Le père de Michael leur explique qu’ils vont faire le tour du monde . J’adore son idée ! La mère de Michael est le « chef » . Elle doit donc travailler sur les cartes nuit et jour . Elle a du courage ! Michael est « en train d’écrire dans son journal de bord »   et moi dans mon journal de lecture !

De la page 44 à la page 57

J’espère que Michael ne va pas se noyer ! J’espère qu’il trouvera une île proche de lui !

Le lendemain matin : « J’étais sur une plage, une vaste étendue de sable blanc ».

Soudain, il se dit qu’aujourd’hui c’était son anniversaire !

Même moi, je l’avais oublié.

Tout à coup, ma mère m’a dit d’aller manger.

Le 20 Septembre 2016

De la page 58 à la page 148 (à la fin du livre)

De 17 Heures à 18 Heures

De la page 58 à la page 148 (à la fin du livre)

Michael est ami avec Kensuké qui lui a sauvé deux fois la vie : quand la méduse l’a piqué et lorsqu’il est passé par-dessus bord de son bateau. Quand Michael se rend compte que la Peggy-Sue est là, il saute de joie, mais Kensuké doit lui avouer la vérité : il ne partira pas avec lui.

Michael pleure toutes les larmes de son corps parce qu’il retrouve ses parents (il est content) et car il ne verra plus jamais Kensuké (c’est son meilleur ami) et il est très triste.

J’ai adoré ce livre. J’aime bien la façon de vivre à Kensuké (sa maison, ses étagères ). Je peut le recommander au moyen lecteur (comme moi ).

Lise roux