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Ma ville »Ares », à la manière de J C IZZO

Au moment de préparer les vacances d’été, mes parents me demandent où je veux aller. Je leur demande toujours d’aller à Ares. A Ares j’ai l’impression d’être chez moi. Lorsque l’on arrive à Ares, on se sent libéré de tout. Tout le monde peut aller dans cette ville, pour se libérer des problèmes,  se détendre.

Dans cette ville, j’ai un sentiment de liberté, d’évasion. J’aime marcher dans le sable chaud l’été pour aller me baigner. Allongée sur la plage, j’entends le bruit de l’océan, le bruit des vagues qui m’apaise. J’aime l’odeur du marché le matin. Aller chercher son repas du midi au marché évoque une sensation de satisfaction. J’aime, le soir du 14 Juillet, pouvoir m’asseoir sur le sable en attendant le feu d’artifice. Les autres soirs, je marche dans les rues de ma ville en mangeant une glace, m’arrêtant dans les boutiques. Quand j’arrive à Ares, j’ai l’impression de ne plus avoir aucun problème. J’aime voir l’eau et les vagues au loin. Lorsque je m’éloigne de cette ville, elle me manque. J’ai hâte de pouvoir y retourner l’année suivante.

J’aime cette ville car elle est serviable, accueillante, fidèle et respectueuse. Cette ville est comme un meilleur ami. Un ami en qui on peut avoir confiance.

Ares est une confidente qui nous aide à oublier tout le mauvais qui nous entoure.

 

Lafforgue Lucie

Texte à la manière d’A. Duperey

Oh ! Une réminiscence ! Un très vague souvenir d’une sensation de mon enfance : le bruit… Le bruit qui était finalement plus un silence. Il ne faut pas parler fort. Pour ne pas réveiller ma cousine qui dort. J’entends la voix de mes parents. Mes parents qui me disent de sourire pour la photo. La photo qui a été prise plusieurs fois, pour qu’elle puisse être belle. Mon tonton et ma tatie essayent de nous faire rire. Mais je suis tellement heureuse d’être avec ma cousine, je souris quand même.

 

Elle dort paisiblement. Quand elle bouge, on a l’impression qu’elle va se réveiller. A chaque fois qu’elle se déplace dans son landau, je suis impatiente qu’elle se réveille pour la prendre dans mes bras. Ce sentiment d’avoir envie de la prendre dans mes bras est très fort. Cela me provoque de la joie.  Mon frère qui est assis à côté de moi a la même envie. Mes parents également avaient envie de la bercer. Je pense finalement que tout le monde voulait cela.

 

Après la photo, je pense que mon tonton et ma tatie ont dû essayer de réveiller ma cousine. Elle s’est probablement réveillée en pleurant comme le font tous les bébés. Tout le monde a certainement dû la porter. Elle a peut-être pleuré à force d’être dans les bras d’inconnus, comme beaucoup de bébés. Et ma tatie a dû lui donner à manger. Elle a dû la reposer dans son berceau. Elle s’est sûrement rendormie ,car c’est un bébé qui ne fait que manger et dormir. Mes parents, mon frère et moi avons dû dire au revoir à mon oncle et ma tante. Et on est probablement rentré chez nous après un long moment en voiture.

 

Lafforgue Lucie

Journal de lecture: Moi,Boy Roald Dahl

2 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 11 pages.

Roald (l’auteur) est né de la 2ème épouse de son père, car sa première épouse est morte lors de l’accouchement de sa dernière fille. Roald est né peu après la 2nd guerre mondiale. Il avait 3 sœurs, 1 demi-frère et 1 demi-sœur. Cela fait une grande famille à mon goût. Son père est originaire de Norvège. Il est ensuite allé à Calais, à Paris, à Cardiff et après la mort de sa première et de 2 de ses filles, il est allé à Landaff. Son père a fait un long trajet avec le peu de transports qui existaient à l’époque.

 

3 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 7 pages.

Deux de ses sœurs sont mortes, ainsi que son père qui est mort d’une maladie alors que la mère de Roald était enceinte. Sa mère à donc décidé de déménager dans une maison plus petite. Il raconte le peu de souvenirs qui lui reste de son école qui était dirigée par deux sœurs catholiques.

Je suis un peu déçue qu’il ne parle pas plus de ses souvenirs.

4 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 11 pages.

Il parle des deux seuls souvenirs qui lui reste de sa 2ème école « école de Landaff ». L’un est un garçon avec une bicyclette qui a dévalé une pente sans les mains et il rêvait de faire la même chose. Son autre souvenir est celui de la confiserie dont la serveuse comme, il le décrit, est une vieille serveuse très très sale. Ainsi qu’un garçon qui était un ami de son groupe qui racontait des histoires horribles sur les bonbons que son père médecin lui avait racontées pour le dégoûter des bonbons.

5 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 4 pages.

Roald et ses amis mettent une souris morte qu’ils avaient trouvée sous le plancher de la salle de classe,  dans un bocal à bonbons pour effrayer Mme.Pratchett (la serveuse) quand elle attrapera un bonbon du bocal. Je ne trouve pas cela très gentils car comme c’est une vieille dame ils ne savent pas comment elle peut réagir. Mais c’est assez drôle ! 

6 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 10 pages.

Sur le chemin de l’école, les cinq copains passent devant la confiserie qui était fermée ce qui n’arrive jamais. Cela me paraissait étrange. Et une fois arrivé à l’école, le directeur mit tous les élèves et toutes les classes dans la cours et Mme Pretchett regarda chaque élève pour savoir lesquels venaient tout le temps à la confiserie et lesquels avaient mis la souris morte dans les bonbons.

Madame Pretchett, va bien mais je pense que les cinq copains iront un peu moins bien.

7 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 8 pages.

Les cinq amis sont punis pour la bêtise qu’ils ont faites. Le directeur les frappa à  grands coups de canne sur les fesses. Cela est normal qu’ils soient punis mais je trouve la punition violente. Quand il rentra chez lui sa mère remarqua les traces sur ces fesses. Alors elle alla voir le directeur et décida d’envoyer son fils dans une école anglaise où il serait pensionnaire l’année suivante. Cela me paraît normal que sa mère le change d’école.

8 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 8 pages.

L’auteur raconte ses grandes vacances de 4 à 17 ans. De son long trajet de 3 jours et de la première nuit en Norvège chez les parents de sa mère. Et il parle aussi surtout de l’énorme repas tous les ans chez les parents de sa mère. Ils partaient en vacances à 10 avec six valises ce qui prend beaucoup de place je trouve. Ils partaient tous les ans au même endroit. Cela leur fait un repère mais je trouve cela dommage qu’ils ne changent jamais.

9 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 10 pages.

Il parle de ses vacances quand ils étaient arrivés à l’hôtel. La journée, ils prenaient le bateau pour trouver un endroit où aller se baigner. Leurs vacances étaient répétitives, je trouve cela regrettable pour les enfants.

Chapitre7 :

10 Juillet. J’ai lu dans ma chambre.J’ai lu 5 pages.

A 8 ans quand il était allé chez ses grands-parents pour manger, sa mère l’emmena chez le docteur qui l’opéra de végétation sans l’endormir. Ce qui se faisait régulièrement à l’époque chez les enfants. Cela me parait étrange, la douleur devait quand même être très présente pour des jeunes enfants.

11 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 7 pages.

Il présente un peu son école où il va en pensionnat. Il parle également de comment fonctionne son école. La boite à Nana où il  gardait ce qu’il voulait. Et les mères envoyaient des friandises toutes les semaines. Il dit dans le livre également qu’ils n’étaient pas très bien nourris, c’est pour cela que les mamans devaient envoyer des friandises. Je ne trouve pas cela très respectable surtout qu’ils ne le disaient pas aux mamans.

12 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 7 pages.

Il montre certaines lettres qu’il avait envoyées à sa mère. Il disait que le directeur lisait toutes les lettres pour s’assurer qu’ils ne disait pas de méchanceté sur l’école à ses parents.Cela n’est pas correcte selon moi.

13 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 10 pages.

Il parle de la surveillante de 28 ans, qui avait une énorme poitrine selon lui. Elle était très sévère et méchante. Il raconte aussi comment se déroule le soir juste avant « l’extinction des feux ». Les bêtises des élèves et les punitions qu’ils avaient. Les punitions étaient toutes les même, des coups de cannes. Je ne trouve toujours pas cela correcte et cela me choque.

14 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 8 pages.

Au début il jouait la comédie, il prétendait qu’il avait l’appendicite pour pouvoir rentrer chez lui. Cela n’était pas très bien mais vu comment cela se passait dans son école, je peux le comprendre. Sa sœur l’avait eue, il savait donc les effets.

15 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 11 pages.

Pour Noël il rentra chez lui et sa sœur conduit sa toute première voiture. Lors du trajet elle rentre dans une haie et le nez de Roald fut déchiré. Cela n’était pas très prudent de faire conduire sa sœur sur une grande route pour la première fois.

16 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 19 pages.

Il parle d’un maître qui s’appelait « Capitaine Hardcastle » qui était très sévère. Il parle de la fois où ce capitaine l’a puni parce qu’il croyait qu’il avait triché, alors qu’il avait juste demandé une plume à un camarade parce qu’il avait cassé la sienne, sa punition (les coups de canne par le directeur). La punition est très violente pour la cause. Je trouve que c’est disproportionné.

17 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 5 pages.


Il parle de la fois où il avait une grippe et il est allé à l’infirmerie .Un camarade à côté de lui avait un furoncle et le médecin le lui perça. Il raconte comment s’est déroulé ce moment car il voyait tout contrairement au garçon qui avait le furoncle. Je trouve cela dégouttant et répugnant.

18 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 8 pages.

Sa grande sœur s’était fiancée à un viril amoureux (c’est comme ça qu’il l’appelait). Il fumait la pipe, il ne l’enlevait jamais sauf pour manger et nager même pas pour parler. Il était donc impoli et cela énervait tout le monde saut les amoureux. Un jour lors de leur voyage en Norvège le viril amoureux avait préparé sa pipe et l’avait posée sur le rocher avant d’aller nager. Vint une idée à Roald, que toute sa famille approuva. Il a donc remplacé le tabac qu’il avait mis dans sa pipe par des crottes de chèvres. Car il y avait beaucoup de chèvres sur l’île où ils étaient. Et le viril amoureux n’a pas très bien réagi. Il a fait comme une suffocation. Ce n’est pas gentil de leur part,  il aurait pu avoir une réaction beaucoup plus grave.

19 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 7 pages.

Il parle de la tenue pour son nouveau collège privé qui était très complète selon moi.

20 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 3 pages.

Il parle du boazer (maitre) Williamson, il donnait également des coups de canne. Après les coups de canne l’élève allait dans une autre salle avec d’autre adultes. Il devait baisser son pantalon pour qu’ils puissent « admirer » le travail de M.Williamson.

21 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 4 pages.

Il parle des coups de canne qu’un camarade a lui avait reçu comme punition. Je me rends compte finalement que les coups de cannes étaient comme un « rituel » après chaque bêtise.

22 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 4 pages.

Il parle du fameux livre « Charlie et la chocolaterie » de son histoire et de son rêve de trouver un jour LE chocolat. C’est bien qu’il en parle et que l’on connaisse l’origine de ce livre.

23 Juillet. J’ai lu dans la voiture. J’ai lu 6 pages.

Il parle d’un garçon qui s’appelait Corkers et qui était extrêmement doué en Maths. Et il parle également de ses petits problèmes de digestions. Je ne comprend pas pourquoi il parle de ces deux histoires dans le même chapitre. Je suis un peu perdue.

24 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 8 pages.

Il parle des FAGS qui était les « esclaves » des boazers. Et il raconte certaines taches qu’ils devaient faire et de leur rituel.Comme par exemple le grand nettoyage de la turne (chambre du maître) et de son inspection complète après. Ou encore de la corvée de réchauffer les toilettes avant que le boazer n’y aille. Je trouve tout cela cruel.

25 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 7 pages.

IL parle, des jeux qu’il exerçait comme la pelote ou le squash, de la photographie dont il a gagné un prix à l’âge de 18ans. Ce qui l’a fait sortir du lot, c’est la photo de l’une des 7 merveilles du monde.

26 Juillet. J’ai lu dans ma chambre. J’ai lu 15 pages.

Après le collège, il fut accepté dans le travail qu’il voulait. Il n’y avait que sept postes pour 100 candidats. Son travail consistait à partir à l’étranger pour explorer des pays. Ce travail me paraît très intéressant. Après avoir refusé une demande il part pour l’Afrique pour un voyage de 3 ans. Mais son voyage dura plus longtemps que prévu car lorsqu’il était en Afrique, la 2nd guerre mondiale éclata. Il rentra chez lui après la guerre ce qui fait de lui un survivant de la guerre ,ce que je trouve bien et il en parle dans un autre livre.

SELON EUX JE NE MÉRITE PAS D’EXISTER

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Comme tous les jours, je me réveille dans cette étroite rue sombre. Des gens passent et repassent sans prêter attention à moi, sans me regarder. Certains qui me regardent  éprouvent de la haine, de la pitié et me donnent une petite pièce. Mais d’autres se moquent.

Avec le peu de pièces qu’on me donne, j’arrive à peine à m’acheter de quoi boire et manger. La nuit tout est différent. Le noir et la terreur envahissent la rue. Je suis terrifié. Je dors sur des morceaux de carton que j’ai trouvé dans des poubelles ,ils sont tout mouillés quand il pleut ainsi que toutes mes affaires. Des chats noirs me font sursauter quand je dors dans le froid. Je me sens seul dans cette rue sombre. Le matin je suis réveillé au premier rayon de soleil qui m’éblouit.

Je me souviens, nous habitions à côté de la mer, en plein été, les jours de marché. Tous les matins j’allait a ce marcher, de bonnes odeurs de mon pays se dégageaient. L’après-midi, j’allais me baigner dans la mer bleue. Des enfants s’amusaient. Avec ma famille et mes enfants nous étions comme les autres. Quand le vent commençait à arriver, nous rentrions chez nous pour se laver. Le midi et le soir nous mangions dehors avec les aliments d’été comme le melon, le maïs, l’aubergine, le poisson et les fruits de mer. De temps en temps le soir nous faisions la fête. Mais le reste du temps nous travaillons ma femme et moi. Quand nous ne partions pas à la mer après le travail, nous faisions des activités pour occuper les enfants. Quelques fois nous partions au restaurant, les enfants chez des amis.

Mais tout à coup une guerre civile éclate. Des bombardements tombaient sur la ville. Des coups de feu partaient d’ici et là. Tout le monde se sentait en danger de mort. Personne ne savait si demain, on serait toujours vivants. Donc à un moment j’ai décidé de partir, seul, vers l’Europe. Et si la vie était mieux là-bas ? J’abandonnai donc ma famille, cela fut dur. Une fois sur le bateau, nous étions contents d’avoir fuit notre pays, les autre réfugiés et moi. Mais les passeurs nous ont abandonnés. On a dû prendre les canots de sauvetage pour essayer tant bien que mal de rejoindre l’Europe. Au bout de plusieurs jours, on a réussi. La vie n’était pas très facile car j’étais seul, mais au moins il n’y avait pas la guerre ici.

J’aimerais que ma famille  arrive à me rejoindre. Que ma femme et moi trouvions du travail et que nous vivions dans la paix. J’espère également que nous puissions récupérer nos papiers d’identité et nos documents de nationalité pour ne plus pouvoir être expulsés de force et devoir revenir dans notre pays en guerre.

Lucie Lafforgue