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Enseignante en Lettres au collège Eugène Leroy

Idées lecture : amis, famille, réseaux / confrontation des valeurs

VIVRE EN SOCIÉTÉ, PARTICIPER A LA SOCIÉTÉ (cycle 4)

Voici une liste de lectures possibles sur le thème de l’amitié, la relation aux autres (famille, amis), les réseaux. A vous de piocher et de nous raconter vos lectures (voir fiche : comment rendre compte d’une lecture ?)

Parce que c’était lui, parce que c’était moi, anthologie Folio 2 euros.

– BILLET J., La Salle des pas perdus.

Depuis trois ans, Sarah vit en gare de Lyon. Ses jours sont rythmés par ses petites trouvailles, ses brins de causette avec la dame-pipi, ses combines et ses fouilles, ses moments partagés avec ses copains de galère et par le va-et-vient des gens de passage avec leur rituel et les bribes conversations qu’elle prend au vol. Un jour lorsqu’elle aperçoit une jeune fille égarée, la vieille devine toute suite que cette existence est en dérive et la recueille sans lui poser de questions. Simple présence au-delà des mots, ces deux existences se lient pour devenir inséparables. Salomé se met alors à déverser son histoire. Ce sont des mots durs à entendre, ceux d’une enfant détruite en apprenant le fin mot sur ses origines. Sarah quant à elle contient son histoire dans une boîte à sucre. Elle ne la raconte qu’à la fin lorsqu’elles savent qu’elles vont devoir se quitter. Julia Billet nous immisce sans sentimentalisme dans le monde des laissés pour compte et nous offre une rencontre tendre et touchante où l’entraide apparaît vitale et réparatrice.

– FINKG. et SHA’BAN M. A., Si tu veux être mon amie.

Mervet, treize ans, du camp palestinien de Dheisheh, et Galit, douze ans, de Jérusalem, commencent à s’écrire en 1988. Comment se parler alors qu’autour d’elles deux peuples se déchirent, se battent, se haïssent parfois ? «Je ne sais pas si tu veux être mon amie. À part ma famille, personne ne sait que je t’écris», s’interroge Mervet. «Quel sentiment étrange de savoir que j’écris à une Palestienne. C’est comme si c’était un rêve, un rêve heureux», lui répond Galit. Leur amitié naissante est sans cesse mise à l’épreuve par l’Intifada. Marquées par les préjugés de leur communauté, elles s’affrontent parfois ou tentent avec naïveté de trouver des solutions.

Ce livre n’est pas une fiction mais une histoire vraie. Il parle d’incompréhension et d’amour, il parle de l’histoire humaine.

– GRARD F., Claire obscure ( Gulf Stream éditeur ).

Alors qu’elle fait sa rentrée des classes en sixième dans un lycée parisien, Alice a une sorte de coup de foudre pour sa voisine, Claire. Une fascination qui n’est malheureusement pas réciproque. Si Claire accepte Alice auprès d’elle, c’est surtout parce qu’elle lui permet de recopier ses devoirs ou ses contrôles. Mais dans cette relation qui est plus une « association » qu’une vraie amitié, Alice s’entête. Surtout quand surgit au milieu d’elles Ophélia, aussi riche que Claire, et qui prend vite sa place auprès d’elle. Jalouse, Alice a du mal à encaisser le coup. Elle s’accroche éperdument à cette illusion d’amitié, jusqu’à en souffrir plus que de raison. Car elle a compris que Claire ne l’aime pas. Et ne l’a jamais aimée.

– LAMBERT J., Meilleur ami (Ecole des loisirs).

Le héros de cette histoire (dont on ignore le prénom) est un garçon de troisième, dont le meilleur ami, Nathan, est fou amoureux de Claire, une fille du collège. Nathan ne parle que d’elle, ne vit que pour elle. Le narrateur, lui, a décidé d’aider son « meilleur ami ». Il l’écoute, le suit partout, l’observe. Surtout, il lui consacre un cahier, où il note chaque étape dans la relation de Nathan avec celle qu’il aime. Plus le temps passe et plus il est absorbé par son ami, qui lui est absorbé par Claire. Il n’a pas l’air de réaliser lui-même que ce qu’il éprouve pour son ami est exactement ce que celui-ci éprouve pour Claire…

Il n’y a pas de malice méchante de la part de Jérôme Lambert, juste une façon très subtile de suggérer l’éveil de sentiments amoureux qui peinent à devenir conscients.

– LE CLEZIO J. M. G., Mondo et autres histoires

«Personne n’aurait pu dire d’où venait Mondo. Il était arrivé un jour, par hasard, ici dans notre ville, sans qu’on s’en aperçoive, et puis on s’était habitué à lui. C’était un garçon d’une dizaine d’années, avec un visage tout rond et tranquille, et de beaux yeux noirs un peu obliques. Mais c’était surtout ses cheveux qu’on remarquait, des cheveux brun cendré qui changeaient de couleur selon la lumière, et qui paraissaient presque gris à la tombée de la nuit.»

Enfants d’ici et d’ailleurs, ils s’appellent Mondo, Lullaby, Jon, Daniel Sindbad, Petite Croix… Ils illuminent de leur présence chacune de ces huit histoires, nous invitant à les suivre pour entrer dans leur monde et découvrir le chemin de la liberté.

– LUCIANI J-L., Deux Ailes dans le dos.

Sur un coup de tête, Jullien s’enfuit de chez lui, monte dans un train et débarque à Marseille, cette ville qui comporte 2 l dans son nom comme dans le prénom de Jullien – pour mieux s’envoler avait dit sa mère -. La ville se révèle vite hostile à ceux qui ne savent où aller. Un jeune marocain, Abdallah, le tire d’un mauvais pas et lui propose de partager son squat. Jullien découvre, à vivre dans la rue, ses règles de vie particulières : la discrétion, vitale pour éviter de se faire repérer, la précarité – le squat est sécurisé mais payant et les deux jeunes s’en verront éjectés le jour où ils ne pourront s’acquitter du loyer – et la violence toujours latente et prête à exploser. Ici c’est chacun pour soi et pour sa peau, et, dans cet univers de solitude, Abdallah et Jullien tirent leur force de leur amitié et des subsides procurés par les aubades musicales qu’ils donnent aux terrasses des cafés puisque Jullien a emporté sa flute traversière dans sa fugue.

– MARSDEN J., Lettres de l’intérieur,

Mandy répond à la petite annonce de Tracey pour entamer une correspondance. Aux deux bouts de l’Australie, les filles nouent peu à peu une amitié, se confient l’une à l’autre. Mandy parle de son frère dont elle a peur, violent et amateur d’armes ; Tracey raconte une vie aisée et facile. Un jour, Mandy donne une lettre à un ami qui est censé la remettre directement à Tracey… Mais Tracey n’est pas là où elle dit être. Mandy demande des explications, et sa correspondante avoue être en prison pour mineurs (on ne saura jamais pourquoi). Les lettres reprennent, Tracey va mieux, elle gagne même un concours de nouvelles littéraires.

Et puis, subitement, Mandy ne répond plus.

– MEYRAND E., Tu peux toujours courir ( Nathan Poche )

Le truc de Johnny, c’est de courir, et de courir vite, pour le reste… il est lent, rêveur, il bégaie, il ne trouve pas sa place. Et puis un jour, sur le trajet de l’école, il tombe sur une météorite, Daphné, une fille de son âge rapide comme l’éclair. Tellement rapide qu’elle ne va plus en classe. Intelligente quoi, pas comme lui. Joignant leurs deux solitudes, ces deux enfants vont emboîter le pas de Prévert et faire de leur amitié toute neuve un bouleversant poème.

– MONTARDRE H., Amies sans frontières, Rageot-Cascade.

Les lettres de deux adolescentes qui ne se sont jamais rencontrées.

C’est l’histoire de Laure, 12 ans, qui habite en ville dans un appartement et qui a une vie normale d’adolescente de son âge et de Moodame du même âge mais qui elle , habite en Thaïlande dans une hutte dans un petit village des montagnes du Nord. La correspondance se fait grâce à l’oncle de Laure, Robert  qui est parti en mission humanitaire en Thaïlande et qui leur écrit des lettres de temps en temps pour leur donner de ses nouvelles. Elles font peu à peu connaissance et découvrent qu’elles ont des point communs  malgré la distance qui les sépare, elles se racontent chacune leur vie, leurs problèmes et leurs modes de vie très différents. Un jour, alors que la correspondance se passe à merveille, Laure s’étonne de ne pas avoir reçu de lettre de Moodame depuis un certain temps, elle continue de lui écrire comme d’habitude mais en la questionnant sur le fait qu’elle ne réponde pas. Toujours aucune réponse de Moodame. Laure reçoit une lettre spécialement pour elle de son oncle qui est toujours en Thaïlande qui raconte qu’elle ne lui écrira plus, expliquant qu’elle à été enlevée dans son village ainsi que d’autres enfants pour être réduite en esclavage par des maîtres. Quand Laure apprend la nouvelle, elle est prise de tristesse et décide de continuer à lui écrire tous les jours, même si elle sait que Moodame ne recevra jamais ses lettres.

– SARDE M. et BLIN A., Le Livre de l’amitié (anthologie).

– SAUMONT A., Aldo mon ami et autres nouvelles

Un homme songe devant la plage à son enfance et aux humiliations qu’il a subies ; des enfants exercent leur cruauté sur l’un des leurs ; une jeune délinquante se retrouve devant le juge ; une amitié se trouve irrémédiablement soudée par un drame. Dans un univers où la détresse n’est jamais loin, Annie Saumont nous raconte des histoires de gens ordinaires, qui sont quelquefois un peu les nôtres.

– ULMANN F., L’Ami retrouvé.

le narrateur Hans Schwarz, fils d’un médecin juif, et Conrad von Hohenfels, jeune aristocrate, pendant la montée en puissance du régime nazi (en 1932) à Stuttgart. Hans invite son camarade plusieurs fois chez lui et s’étonne que Conrad ne fasse pas de même. Enfin, Conrad invite Hans mais à chaque fois sans la présence de ses parents. Hans, vexé, lui demande par la suite des explications. C’est alors que Conrad explique à Hans que sa mère déteste les Juifs.

– VAN DRAANEN W., Pacte de Sang ( Milan/Macadam).

Joey et Rusty sont les meilleurs amis du monde. Régulièrement, ils scellent leur amitié avec des « pactes de sang » où il s’entaillent légèrement le doigt. Ils accumulent les bêtises ensemble, jusqu’à la plus grosse, irréversible : voulant faire peur aux conducteurs de voitures, ils imitent un fantôme au bord d’une route la nuit et… le drame arrive

– ZENATTI V., Une Bouteille dans la mer de Gaza.

Tal, jeune Israëlienne habitante de Jérusalem, en a plus qu’assez de l’horreur banalisée des attentats. En désespoir de cause, elle écrit une lettre, la met dans une bouteille et demande à son frère, soldat, de l’abandonner quelque part à Gaza. La lettre doit lui permettre d’entamer une correspondance électronique avec un ou une Palestinien(ne). Tal veut ainsi se prouver que tout espoir de paix et d’entente n’est pas perdu. Un jeune homme, vindicatif et ironique, lui répond.

Après des débuts cahotiques, un échange s’instaure. Deux vies totalement différentes et pourtant si proches géographiquement sont mises en parallèle.

Témoin direct d’un attentat alors qu’elle filmait des rues de sa ville, Tal se remet doucement de son choc psychologique tandis que Naïm, le Palestinien part faire des études de médecine en Angleterre. Ils se donnent rendez-vous dans trois ans. Une amitié est née.

– BAMI E., Chère madame ma grand-mère.

Olivia a douze ans et demi. Elle habite seule avec sa mère et veut absolument en savoir plus sur sa naissance et sur son père, autour desquels règne le plus grand des secrets. Elle décide d’entamer une correspondance avec Madame Barrois, dont elle a trouvé le nom en fouillant dans les affaires de sa mère. Peut-être cette femme âgée, qui semble porter le même nom de famille que le père d’Olivia, en saura-t-elle un peu plus sur ses origines ? Commence alors un émouvant échange épistolaire entre une enfant qui cherche désépérement à connaître la vérité et une vieille dame qui aurait préféré l’oublier…

– DAHL R., Moi, boy.

Que se passe-t-il quand on attrape une ratite ? Et quand on simule une crise d’appendicite ? Avez-vous jamais fumé du tabac de chèvre ? Vous a-t-on déjà affublé d’un costume qui donne l’air d’un employé des pompes funèbres pour vous rendre à l’école ? Neuf, dix, onze ans… Les années passent : voici venu le temps de se demander ce que l’on fera après le collège…L’auteur évoque son enfance. On découvre avec bonheur un jeune garçon qui ressemble étonnamment aux héros de ses livres. Une vie aussi passionnante qu’un roman.

– DESARTHE A., Je ne t’aime pas, Paulus.

Julia se trouve moche. Aussi, quand on lui dit que Paulus Stern, le garçon le plus beau de la classe, est amoureux d’elle, elle refuse fermement d’y croire.Mais, vrai ou pas vrai, comment faire pour ne pas y penser à longueur de journée ?

– HASSAN Y., Momo petit prince des bleuets.

Pour Momo, l’été s’annonce interminable à la cité des Bleuets. Du jour où il s’inscrit à la bibliothèque, le cours de ses vacances change. Momo se met à lire avec passion et fait la connaissance de monsieur Édouard, un extravagant instituteur à la retraite. Ensemble, ils ont de grands projets…

– LENAIN T., Un pacte avec le diable.

Une fois ses parents divorcés, Roxanne a dû s’habituer à vivre avec sa mère et son beau-père. Un soir, après avoir reçu une gifle de son beau-père, elle décide de s’enfuir et de rejoindre son père. Pendant sa fugue, elle fait la connaissance de David, un jeune drogué, qui l’héberge quelques jours chez lui. Au travers de cette amitié, Roxanne découvre l’univers impitoyable de la drogue et prend conscience de la mort.

Thomas-la-honte,

A la suite du décès de son père dans un accident de voiture, Thomas culpabilise. Il devient lA risée de la classe et subit sans broncher les humiliations. Mais, sa rencontre avec un clochard va l’aider à surmonter cette épreuve et à s’affirmer.

HINCKEL Florence Secrets.com Rageot éditeur, 2013.

Mona, 12 ans, partage tout, de ses grands délires à ses petits soucis, avec sa bande de copines. Elle décide de créer, avec la documentaliste du CDI, un site où tous les collégiens pourront, de façon anonyme, faire des confidences et recevoir les conseils de ceux qui les lisent. De la peur du divorce aux bienfaits d’une crème anti-acné, les sujets sont variés et le site est de plus en plus fréquenté ! Mais bientôt la situation dérape et quelqu’un révèle un secret trop lourd à porter… Info ou intox ? De qui s’agit-il ? Comment l’aider ?

– LEYDIER M., Zohra, l’insoumise.

Zohra, 14 ans, vit dans un village au Maroc. Aînée d’une famille nombreuse, c’est à elle que revient les tâches ménagères. Son père et son frère la considèrent comme une domestique. Un jour, une vague tante française lui propose de venir en Europe. Elle se réjouit d’une autre vie, mais ce sera pire. Zohra va devenir une véritable esclave domestique. L’auteur aborde un thème difficile, peu traité dans le roman pour la jeunesse. Un petit dossier, en fin de volume, donne quelques informations et adresses de référence.

-OLLIVIER Mikael, Star-crossed lovers

Guillaume est le fils du patron d’une usine. Clara est la fille d’un délégué syndical. Tous deux s’aiment mais Guillaume ne peut avouer à Clara qui est son père de peur d’être rejeté. Le conflit des valeurs de leurs pères les séparera-t-il aussi ?

-CHARPENTIER Orianne, Mauvaise graine

A 15 ans, Jérémy est certain de décevoir ses parents par rapport à sa sœur, brillante étudiante. Il a également honte de sa famille : son père est ouvrier, sa mère est couturière et parle mal le français. Cependant lorsqu’il découvre que son père est malade, cela remet en question ses valeurs.

– MA YAN et HASKI P., Journal de Ma Yan : la vie quotidienne d’une écolière chinoise.

L’histoire vraie sous la forme d’un journal intime, d’une jeune fille, Ma Yan, issue d’une famille de paysans chinois très pauvres. Le lecteur pourra découvrir la vie quotidienne et les conditions de vie souvent difficiles (et notamment la vie dans un collège). Il partagera surtout les espoirs et les déceptions de cette jeune fille, qui apprend un beau jour de 2001 que sa famille n’a plus les moyens de l’envoyer à l’école. Ma Yan n’a que 13 ans et toute sa vie semble s’écrouler à l’annonce de cette nouvelle. Ma Yan début alors un difficile combat pour poursuivre sa scolarité et enfin espéré une vie meilleure. . La rencontre avec Pierre Haski, correspondant à Pékin pour le journal Libération permettra à la jeune fille de voir son vœu le plus cher enfin réalisé. Un témoignage est émouvant, enrichi de notes sur la Chine. Un beau manifeste pour le droit à l’éducation.

– MEBS G., L’enfant du dimanche.

Madame Ulla Fiedler vient chercher une petite fille de huit ans pour sa sortie hebdomadaire de l’orphelinat. Cette petite fille raconte la vie bien triste de l’orphelinat, surtout le dimanche. Ses moments d’attente, ses réflexions, ses espoirs. Mais heureusement cette « maman du dimanche », bien différente de ce qu’on peut imaginer d’une mère adoptive, lui redonne espoir. Elles vont apprendre à se connaître, à s’aimer et à résoudre ensemble leurs problèmes. Entre intimité et émotions, entre tendresse et préjugés, un roman très émouvant aux personnages très attachants.

– MORPURGO, Le royaume de Kensuké.

le 10 septembre 1987, Michael, onze ans, embarque avec ses parents et leur chienne, Stella, sur un voilier pour faire le tour du monde. Une nuit, alors qu’il est de quart, Michael tombe à la mer avec sa chienne. Accroché à son ballon de football, il sent ses forces l’abandonner. Lorsqu’il reprend connaissance, le jeune garçon se retrouve échoué, avec sa chienne, sur une île déserte perdue au milieu du Pacifique. Un matin, alors que l’épuisement le gagne, Michael trouve auprès de lui un peu de nourriture et d’eau douce. Il n’est pas seul…

Devenu adulte, Michael nous révèle une amitié secrète qui l’a lié, sur l’île, à un personnage inoubliable.

– MOURLEVAT J-C., La rivière à l’envers., tome1 : Tomek

Tomek, un jeune orphelin de 13 ans, tient la petite épicerie de son village. Un soir, une jeune fille entre dans sa boutique et lui demande s’il vend des sucres d’orge. Tomek lui donne alors un sucre d’orge qu’il prend dans un bocal qu’elle met dans sa poche puis lui demanda s’il a  » de l’eau de la rivière Qjar « . Ainsi commence, pour le garçon, un immense voyage qui va le conduire à la forêt de l’Oubli, au village des Parfumeurs, sur l’île Inexistante… Parviendra-t-il à retrouver Hannah, à l’autre bout du monde, là où coule, à l’envers, cette rivière fabuleuse?

– REYNAUD F., L’enfant-loup.

En Lozère, à la fin du XIXe siècle, trois frères capturent une étrange créature dans les bois : un enfant sauvage, élevé par les loups… Le docteur Roussinol le recueille chez lui mais le retour de l’enfant-loup parmis les humains n’est pas sans douleur… Soutenu par sa femme et par sa fille qui se prennent d’affection pour cet enfant, le docteur va alors entreprendre une éducation lente et difficile.

Mais cela suffira-t-il à effacer des années de vie sauvage ?

– TASMA S., Mon premier jour d’amour.

Que faire quand on a quatorze ans et un père qui vous interdit tout, dont les ordres tombent comme des couperets ? Jusqu’à présent, Paul pensait avoir trouvé une parade : il avait décidé qu’il n’aimait pas les fêtes, que les expéditions en bande le laissaient froid et que les filles ne l’intéressaient pas non plus. Mais on ne peut pas toujours se faire croire ce genre de chose. Cet été-là, alors que ses relations avec son père sont plus tendues que jamais, Paul fait la connaissance de Fanny, une fille incroyablement culottée, très séduisante, et un peu dangereuse. À cause d’elle, pour la première fois, Paul va désobéir à son père. Ensuite, il faudra qu’il apprenne à ne pas se laisser mener par le bout du nez…

– WEIR P., Le Cercle des poètes disparus (1989)

Il fut leur inspiration. Il a transformé leur vie à jamais.A Welton, un austère collège du Vermont, dans les années 60, la vie studieuse des pensionnaires est bouleversée par l’arrivée d’un nouveau professeur de lettres, M. Keating.Ce pédagogue peu orthodoxe va leur communiquer sa passion de la poésie, de la liberté, de l’anticonformisme, secouant la poussière des autorités parentales, académiques et sociales.

Même si le drame – le suicide d’un adolescent – déchire finalement cette expérience unique, même si Keating doit quitter le collège, il restera pour tous celui qui leur a fait découvrir le sens de la vie.

– VIGAN D., No et moi

Adolescente surdouée, Lou Bertignac rêve d’amour, observe les gens, collectionne les mots, multiplie les expériences domestiques et les théories fantaisistes. Jusqu’au jour où elle rencontre No, une jeune fille à peine plus âgée qu’elle. No, ses vêtements sales, son visage fatigué, No dont la solitude et l’errance questionnent le monde. Pour la sauver, Lou se lance alors dans une expérience de grande envergure menée contre le destin.Mais nul n’est à l’abri…

BAZIN H., Vipère au poing.

Le livre décrit l’enfance et l’adolescence du narrateur, Jean Rezeau, dit Brasse-Bouillon. Ce dernier décrit ses rapports avec sa famille, et notamment sa mère Paule Pluvignec, dite Folcoche, une véritable marâtre. Ce roman est un huis clos entre la mère indigne, les trois enfants martyrisés, le père démissionnaire et un précepteur changeant.Magnifique récit dans lequel l’auteur s’adresse à sa mère en racontant son histoire à la deuxième personne.

-MAUPASSANT.G, Le Papa de Simon

Parce qu’il vit seul avec sa maman, parce que sa famille ne ressemble pas à celles de ses camarades, un jeune garçon devient le souffre-douleur des autres enfants. Sa route va heureusement croiser celle de Philippe Remy, le forgeron du village.

– SCHMITT E.E.,*  Oscar et la dame rose.

Oscar a dix ans et il vit à l’hôpital. Même si personne n’ose le lui dire, il sait qu’il va mourir. La dame rose, qui le visite et « qui croit au ciel », lui propose d’écrire à Dieu pour qu’il se sente moins seul. A travers cette correspondance originale le récit aborde, du point de vue de l’enfance, des questions philosophiques et existentielles : la maladie, la souffrance et la mort, la rencontre avec l’autre et avec le mystère… Les nombreux passages de paroles rapportées permettront aux élèves de découvrir ou d’approfondir les techniques du dialogue argumentatif. L’appareil pédagogique est suivi d’une interview exclusive de l’auteur.

  • Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran

Paris, années soixante. Momo, un petit garçon juif de douze ans, devient l’ami du vieil épicier arabe de la rue Bleue. Mais les apparences sont trompeuses : Monsieur Ibrahim, l’épicier, n’est pas arabe, la rue Bleue n’est pas bleue et l’enfant n’est peut-être pas juif…

Isabelle ARSENAULT et Fanny BRITT, Jane, le renard et moi

Montréal, dans les années 80. La jeune Hélène est le canard boiteux de son établissement. Mise à l’écart, sujette aux moqueries et aux insultes, elle se réfugie dans la lecture de Jane Eyre d’Emily Brontë. Elle s’identifie à l’héroïne tout en se dévalorisant, persuadée d’être « une saucisse de Toulouse », « un bébé truie » ou « un coussin à fourchettes ». Et le pire est à venir. Une semaine en camp de vacances avec les 40 élèves de cinquième, prêts à la martyriser. Mais deux rencontres vont illuminer son quotidien. La première avec un magnifique renard roux au regard bouleversant. La seconde, avec une jeune fille qui devient son amie, illuminant son quotidien car « le monde, tout à coup, est rempli des mots de Géraldine ».

– VASCONCELOS J., Mon Bel Oranger

Zézé est un enfant de cinq ans, qui vit à Bangu, au Brésil. Il est doté d’une extraordinaire maturité et plénitude, usant de son intelligence avec laquelle il a déjà appris à lire seul . Il est vraiment très maigre et ne fait pas du tout cinq ans. Issu d’une famille pauvre, son père est sans emploi, sa mère travaille dans une fabrique pour un salaire de misère. À l’exception de sa sœur aînée Gloria et de son petit frère Luís, ses nombreux frères et sœurs le battent car il enchaîne les bêtises. Zézé s’invente un monde imaginaire et fantaisiste dans lequel un petit pied d’oranges douces est son confident (l’arbre lui parle…).

Révolté contre le monde des adultes, il noue petit à petit des liens avec un homme surnommé « Portugâ »,

,6Christine PALLUY, Le silence de Nélio ? Alice éditions, 2012.

Nélio a douze ans et mène une vie sans histoire entre sa famille, son meilleur ami, le collège et ses bandes dessinées. Mais le jour où il est abordé à la sortie du collège par deux adolescents menaçants qui lui demandent de l’argent, tout bascule. Nélio croit pouvoir régler cela tout seul, sans l’aide des adultes. Il vole de l’argent à ses parents et entre dans un cycle infernal : menaces, peur, chantage, mensonges, enfermement, absentéisme. Il ne se supporte plus et ne sait comment trouver une issue. Sa vie est devenue un enfer à cause du racket dont il est la victime.

– GOSCINNY et SEMPE, Le Petit Nicolas.

On n’est pas sérieux quand on a 15 ans de la collection Etonnants Classiques Flammarion sous le thème : « Parents, on vous hait » (textes de L. F. Céline, Hervé Bazin, Charlotte Brontë, Barbara Samson).

– ANDRIANT Franck, Je voudr@is que tu

Salomé, treize ans, aime chatter avec ses copains et ses copines. Avec Florine, sa meilleure amie, avec Saïd et Philippe, elle peut passer des heures à discuter de tout et de rien. Pour Salomé, Internet, c’est la vie réelle, la porte ouverte sur le monde et sur les autres qu’elle ne pourrait pas rencontrer autrement. Elle fait ainsi la connaissance de Michaël, seize ans, beau et bronzé, vivant à Tours, à quelques heures de chez elle en Bretagne. Ils apprennent à se connaître sans se rencontrer, à se dévoiler… Elle aime aussi chatter avec Coralie, fragile, solitaire. Coralie qui lui avoue qu’elle ne pourrait pas vivre sans ces échanges, Coralie qui lui demande de la rencontrer. Mais elle ira de surprise en surprise et découvrira que ceux avec qui elle chatte ne sont pas toujours ceux qu’elle croit…

-WITEK Joe, Mauvaise Connexion

Julie a quatorze ans et des paillettes plein la tête. Avec son amie Katia, elles jouent au mannequin, se photographient, font des défilés de mode. Julie s’inscrit un soir sur un site de tchat. Elle devient Marilou, se vieillit de 4 ans et y rencontre un certain Laurent, qui se dit photographe de mode. Le poisson est ferré et c’est l’engrenage. Julie tombe amoureuse de Laurent, perd ses amis, ment à sa mère, s’enferme et s’immerge totalement dans cette relation virtuelle, Ce roman de Jo Witek est très intéressant. L’auteure met en garde, à travers une adolescente naïve qui croit au prince charmant, sur les dangers de l’internet et des rencontres que l’on peut y faire. Car le net est aussi peuplé de loups qui rôdent… Elle montre parfaitement les processus mentaux qui se mettent en place alors, amenant la victime à s’enfermer dans une addiction

_F. De Guibert, L. Schaack, Trois ou quatre amies, tome 1

Trois meilleures amies se retrouvent face à un problème : la venue d’une quatrième dans la bande ! « Hier j’ai regardé les photomatons qu’on a faits l’été dernier, juste avant de rentrer chacune chez nous.On a l’air tellement bien ensemble ! Nous, les trois inséparables : Sol la lumineuse, Sand la volcanique, et moi, Mar, qui passe mon temps à rêver. Pourtant, sur notre réseau JustFriends, maintenant, c’est l’ère frigidaire. On ne se comprend plus. Je ne sais même pas si on sera encore amies aux prochaines vacances. Tout ça à cause d’Angela…»

Les plans de travail : comment ça marche ?

 

Principe du Plan de travail :plan de travail

« Support aux activités personnalisées dans la classe, à destination de chaque élève, le plan de travail est un document à partir duquel élève et enseignant s’entendent sur un parcours d’apprentissages résultant de la combinaison entre les choix de l’élève, ses capacités, les ressources de la classe, les obligations scolaires définies par l’enseignant. En fin de semaine, un bilan est effectué avec l’enseignant ; il détermine en partie le plan de travail suivant. »Sylvain CONNAC, Apprendre avec les pédagogies coopératives. Démarches et outils pour l’école, ESF, 2009.

Une séquence ( un chapitre) est organisée avec alternance de temps de réflexion et d’apprentissage collectifs et séances de travail en autonomie, guidé par un Plan de travail.

Lors de ces séances d’autonomie, les élèves reçoivent leur plan de travail qui comporte une partie commune (généralement une écriture) et une partie individualisée en fonction de leur niveau de maîtrise. Chacun, à son rythme, effectue les tâches demandées selon un ordre qu’il choisit. Les exercices reprennent des points du cours collectif avec des degrés variables de difficulté.

Le plan de travail est organisé par compétences ( réf. Sacoche).

Un délai est donné à la classe à l’issue duquel un bilan est dressé afin de souligner les avancées, les difficultés, les approfondissements nécessaires …

Les élèves sont autonomes, libres de consulter les fiches-outils, de demander de l’aide à un tuteur, de sauter un exercice pour y revenir plus tard. L’essentiel est que le Plan de travail , qui est un contrat, soit rempli à la fin du délai imparti.

Une séance d’autonomie dans le détail :

Lorsque les élèves arrivent en classe ils récupèrent leur plan de travail pour les 3 ou 4 séances à venir. Je signale le groupe de besoin qui travaillera avec moi sur un point précis ( les dyslexiques pour un point d’apprentissage / les élèves qui ne peuvent travailler à la maison/ les élèves qui n’ont pas compris un point du cours/ ceux qui ont raté une évaluation/ ceux qui doivent préparer un oral /ceux qui n’ont pas acquis un niveau de maîtrise …).

Chaque élève observe la partie individualisée qui le place dans un groupe : entrainement / remédiation / approfondissement.

Entrainement : des exercices permettent de s’entraîner pour une évaluation ( écriture, ceinture d’orthographe, évaluation de grammaire, de conjugaison). L’élève , lorsqu’il se sent prêt, peut demander à être évalué.

Remédiation : à la suite d’un devoir, ce qui n’a pas été compris est repris. Attention, il faut absolument passer par l’entrainement ,ensuite, avant de pouvoir demander l’évaluation. Généralement je suis présente auprès de l’élève lors des séances de remédiation.

Approfondissement : à la suite d’un devoir ou d’un cours l’élève peut aller plus loin.

La mission de l’enseignant :

Durant ces séances d’autonomie, je reste avec un petit groupe de besoin afin de mener un travail personnalisé de soutien. Les élèves qui rencontrent des difficultés dans leur travail autonome peuvent solliciter mon aide si je suis disponible. Sinon ils se tournent vers les élèves désignés tuteurs.

Je reste disponible pour lire une consigne à voix haute, aider à la reformulation.

Il m’arrive de passer sur les différentes tables de façon à voir l’avancée des Plans de travail. Je fais un pointage régulier à la fin de chaque séance sur les Plans de travail que les élèves ont laissés en classe.

Les tuteurs : 

Les élèves désignés tuteurs de séance effectuent leur plan de travail mais peuvent aider leurs camarades sur sollicitation. Ils sont identifiés en début d’heure.

Les règles sont strictes car il ne s’agit pas de perturber la classe:

  • Un tuteur ne doit pas faire le travail à la place du camarade.
  • Il doit l’aider à réfléchir à ce qui pose problème et l’orienter.
  • Il  peut refuser son aide s’il est sollicité, uniquement s’il a lui-même beaucoup de travail ou est en retard)
  • Cela se fait en silence.

L’auto-évaluation : 

Les exercices proposés sont auto-correctifs. Je demande cependant aux élèves de me montrer leurs travaux avant d’aller voir la correction. En cas d’erreur, l’élève peut refaire un exercice du même type.

Pour les exercices sans correction ( écriture) je corrige les plans de travail pour la séance suivante. Est alors proposée une réécriture pour certains.

Le tableau de bord :

Sur le tableau apparaissent les tâches du PDT. Les élèves qui ont terminé et ont réussi les exercices viennent s’inscrire dans  » je peux aider ». Ceux qui n’y parviennent pas s’inscrivent dans « j’ai besoin d’aide » en fin de séance si personne n’a pu répondre à leur demande. Chacun observe ce tableau régulièrement pour voir comment il peut se positionner, en aide ou en demandeur.

Des temps de bilan sont ménagés en fin de séance ou à l’issue du délai imparti.

Demande d’évaluation :

A l’issue du Plan de travail, un élève peut demander à être évalué s’il se sent prêt. Il doit cependant le faire sur un temps d’autonomie et non un temps de réflexion collective et de construction de cours. Généralement les PDT se font sur 4 séances consécutives. Les élèves utilisent ce temps pour effectuer une évaluation ou une réévaluation.

 

 

En route avec TARA !

Cette année nous allons suivre l’expédition de la goélette TARA. Un travail sera mené en EPI avec Mme CLARY ( professeur de SVT), Mme CARBONNEL ( professeur d’Histoire-géographie-EMC) , M MILLET ( professeur d’Arts plastiques ) et en Français.

La goélette scientifique Tara a quitté son port d’attache de Lorient le 28 mai 2016 pour sillonner l’océan Pacifique sur près de 100 000 km pendant plus de deux ans.

Avec à son bord une équipe scientifique interdisciplinaire coordonnée par le CNRS et le Centre Scientifique de Monaco (CSM), l’objectif est d’ausculter de manière inédite la biodiversité des récifs coralliens et leur évolution face au changement climatique et aux pressions anthropiques.

Ce sera l’occasion pour nous de travailler sur:

  • Les voyages : pourquoi aller vers l’inconnu ? Pour trouver quoi ?
  • Les grandes découvertes : TARA emprunte des routes connues des grandes expéditions
  • La faune et la flore
  • Les carnets de bords, carnets de voyages

Organisation de l’année

MON ANNÉE en Français

LE TRAVAIL COLLABORATIF

La salle de Français est organisée en îlots afin de favoriser le travail collaboratif. Toutefois,afin d’éviter les bavardages, certaines règles sont à respecter. Des rôles seront donc attribués dans les groupes (régulateur, rédacteur, orateur…). C’est l’enseignant qui désigne les membres du groupe, selon l’objectif de la séance et le niveau de maîtrise de chacun.

Quelques règles simples :

  • J’accepte tout camarade dans mon groupe.
  • Je peux choisir un rôle mais pas toujours le même.
  • Tout travail collaboratif commence par une discussion de groupe sur les objectifs de travail.
  • Le régulateur est maître du temps et de la consigne. Il veille à ce que chacun ait la parole.
  • Le rédacteur rédige la synthèse de groupe, les idées.
  • L’orateur présente le travail du groupe à la classe.
  • Chacun doit pouvoir exprimer ses idées sans être jugé ou rabaissé.
  • Chacun doit s’investir dans une tâche, participer au travail de groupe et doit pouvoir répondre aux questions de la classe, de l’enseignant.

LE TABLEAU DES INFRACTIONS

Sans titre

Arriver en retard, ne pas réviser, perturber le cours en bavardant ou en ayant un comportement dissipé, ne pas prendre soin du matériel, manquer de respect envers un camarade ou l’enseignant, sont autant d’infractions qui dérangent la classe. Vous aurez droit à deux avertissements avant la punition et le mot inscrit dans le carnet à l’attention des parents. Une récidive occasionnera un rendez-vous avec la famille. Dans la classe, chacun est responsable de ses actes, d’où le tableau des infractions qui, affiché, nous rappelle que nous sommes là pour travailler dans les meilleures conditions. Le tableau sera renouvelé chaque mois afin que chacun ait une chance de voir son nom disparaître.

LE TABLEAU DE MOTIVATION

motivation

Le Tableau de motivation est affiché en classe, chacun peut s’inscrire ou verra son nom surligné lors de participations efficaces, d’initiative, d’investissement. Pour montrer votre motivation, vous pouvez par exemple :

–  Réaliser un exposé, un compte-rendu de lecture, un compte-rendu de séance cinéma (/10)

-Demander un travail supplémentaire ou réécrire un travail pour l’améliorer (10)

-Prendre la parole en classe à chaque séance (/5 en fin de semaine)

-Faire des propositions pour le blog, le mot de la semaine (/5)

-Proposer un texte libre pour le blog (/10)

-Présenter l’actualité de la semaine écoulée (/10)

-Présenter un coup de cœur ou un coup de griffe (/10)

-Montrer que vous avez bien révisé en récapitulant le cours en fin et en début de séance (/5)

-Aider un camarade en rédigeant pour lui, en l’aidant lors d’exercice (rappel :aider = ce n’est pas « faire à la place de … »), en prêtant son classeur s’il est bien tenu et lisible (/5)

Les classeurs d’autonomie peuvent vous aider, consultez-les ! Selon la note attribuée, vous choisirez de la garder ou pas pour votre moyenne.

LES CLASSEURS D’ AUTONOMIE

Afin de vous  responsabiliser vis-à-vis de vos apprentissages, un classeur d’autonomie est à votre disposition dans la classe. Vous pouvez y trouver :

  • Des exercices supplémentaires pour approfondir une notion
  • Des devoirs facultatifs
  • Des sujets d’exposés ou d’articles pour le blog
  • Des activités diverses et ludiques pour vous entraîner ou patienter

Ces classeurs sont également utilisés dans le cadre des plans de travail. Une à trois heures, en début ou fin de chapitre – soit toutes les trois à quatre semaines – sont consacrées au travail en autonomie. Chaque élève reçoit un plan de travail selon son niveau de maîtrise et doit s’organiser afin de le mener à bien sur le temps imparti. Un plan de travail peut servir à la préparation d’une évaluation ou bien à la remédiation avec les classeurs d’autonomie, en fonction des compétences non maîtrisées.

A vous de jouer pour gagner des point bonus (voir tableau de motivation) !

Bienvenue sur le blog de la classe de Français

Ce blog est tenu par les élèves des classes de 5° E et 4° D du Collège Eugène Leroy de Bergerac, pour l’année 2016/2017.

Classe de 5° E : 

Atelier d’écriture

Le mot de la semaine

Capsules grammaticales

EPI étonnants voyageurs

Nos lectures

Écrits libres

Classe de 4° D :

Atelier d’écriture

Coup de cœur, coup de griffe

Capsules grammaticales

Nos lectures

Écrits libres

college

Vous y trouverez également les articles et déroulement de séances du Club Journal : Eugène l’Actu,

ainsi que des documents pédagogiques.

Belle visite, n’hésitez pas à commenter nos articles !