Category Archives: atelier d’écriture 5° 2016/2017

ateliers menés en classe à partir d’un texte d’auteur, d’une image …

Dialogue entre deux Comtes

         Dialogue de théâtre

 

COMTE DE VERSAILLES : ( En regardant M DELIR ) Regarde-le ce bourgeois avec ses manières exagérées et arrogantes.

 

COMTE DE PARIS :  De quelle manières parles-tu ?

 

COMTE DE VERSAILLES : Nous voyons tout deux que lorsqu’ il s adresse au roi il n’est pas naturel, avec ses grand gestes et ses paroles orgueilleuses.

 

COMTE DE PARIS : Tu as raison je ne me vois point vivre à la cour avec cet homme !

 

COMTE DE VERSAILLES : Moi non plus , j’aurais honte !

 

COMTE DE PARIS : ( En regardant M Delir, déambulant ) Cet homme est misérable il n’a même pas de mouche. La mode n’est pas son fort semble-t-il !

 

COMTE DE VERSAILLES : Quoi qu’il en soit, le roi ne laissera pas entrer un bourgeois à la cour.

 

COMTE DE PARIS : Tu as raison , si il le faut j’irai parler au roi.

 

COMTE DE VERSAILLES : De plus on naît noble on ne le devient pas .

 

COMTE DE PARIS : ( En regardant M Delir ) Vois comme il essaie de s’habiller comme nous.

 

 

COMTE DE VERSAILLES : Il a beau essayer il reste hideux avec sa perruque et sa robe à papillons .

 

COMTE DE PARIS : Je suis outré qu’il ose essayer d’entrer à la cour. On ne peut tolérer un homme si misérable parmi les gens de qualité.

 

COMTE DE VERSAILLES : Et moi dont, quand je l’ai appris je suis resté sans voix.

 

COMTE DE PARIS : ( En regardant M Delir ) Il se rapproche taisez-vous donc.

 

COMTE DE VERSAILLES : Prenez un air souriant, qu’il ne se doute de rien.

 

COMTE DE PARIS : Chut ! Brisez là !

 

 Enzo Padoan 5° E

 

Le Marquis de Arcy, Le Comte de Dorange et M.Marie

Le Marquis de Arcy et son ami le comte Dorange assistent à la promenade du roi dans les jardins de Versailles, lorsque se présente une bourgeoise.

Le MARQUIS DE ARCY-(étonné) Pouvez-vous me dire comment vous trouvez ses atours ?

Le COMTE DE DORANGE-(en colère) Je suis outré ! c’est une bouseuse ! Qui plus est ,venir ici travailler ? Pouvez-vous me dire comment elle s’appelle ?

Le MARQUIS DE ARCY-(en hésitant) Marie ! Elle s’appelle Madame Marie !

Le COMTE DE DORANGE- Je trouve que Mme.Marie ne sait guère se vêtir ! Elle met une robe verte et rose avec des sabots marrons, des rubans roses sur ses sabots et dans sa perruque blonde. Cela ne lui sied point.

Le MARQUIS DE ARCY-(en fronçant les sourcils) Vous exagérez un peu, elle est peut être arrogante et prétentieuse mais de de là à dire que c’est bouseuse…

Le COMTE DE DORANGE- Vous avez vu ses manières ? Elle ne sait guère se tenir. J’aurais voulu lui mettre un soufflet. Elle est fière comme un paon et puis quel accent à couper au couteau.

Le MARQUIS DE ARCY- Vous savez mon cher ami ,il ne faut point être arrogant dans la noblesse.

Le COMTE DE DORANGE -(en partant) De toute façon Mme .Marie ne sera jamais une personne de qualité comme nous. Elle n’est pas noble de naissance.

Le MARQUIS DE ARCY- (étonné) Mon amie revenez, nous n’avons point fini notre conversation !

Le COMTE DE DORANGE- (rancunier) Misérable je ne vous ai point permis de me traiter comme ceci !

Ophélie Boucaud 5E

Dialogue entre deux comtes

LE COMTE DE MICHLOT- (en s’étonnant) Mon cher, pourquoi avoir discuté avec ce paysan fier comme un paon.

LE COMTE DE DELCHET- Je ne veux point paraître discriminatif. Nous sommes dans le fameux jardin du roi. Il faut faire bonne impression envers notre supérieur.

LE COMTE DE MILCHOT- Oui, mais en voyant ses accumulations de rubans sur ses habits misérables de couleurs rouge et vert, on ne peut qu’être révulsé !

LE COMTE DE DELCHET- (en ricanant) C’est fort drôle de voir ce lourdeau de Monsieur Plachet passé de mode.

LE COMTE DE MICHLOT- Il est fort radin et arrogant.

LE COMTE DE DELCHET- Et ce qu’il est naïf !

LE COMTE DE MICHLOT- Cette personne me dégoute ! Oser se promener dans le jardin royal avec ces manières de bouseux.

LE COMTE DE DELCHET- voyez le, chaussé d’escarpins pour paraître plus grand.

LE COMTE DE MICHLOT- (en riant)  Il nuit à notre réputation !

LE COMTE DE DELCHET- Partons ! Nous n’avons plus rien à faire ici!

Quentin Penaud 5E

Monsieur Outrenon

Le Comte et la Comtesse du Bourgons discutent dans la cour du roi ,quand ils voient passer Monsieur Outrenon …

LE COMTE DU BOURGON- (choqué)- Voyez-vous cela ma chère, je suis outré de voir ce faquin à la cour venir flatter le roi

LA COMTESSE DU BOURGON- Ce monsieur Outrenon qui se pique d’être un noble n’est qu’un simple freluquet. Il pourrait nous eloigner du roi qui se desinteresserait de nous.

LE COMTE DU BOURGON – ses atours ne lui siéent point du tout. Voyez-vous ses hideux rubans ?

LA COMTESSE DU BOURGON– Quelle honte de se montrer ainsi à la cour en se prenant pour une personne de qualité.

LE COMTE DU BOURGON – peut-être a -t-il amassé une fortune , mais les bourgeois n’ont pas d’entrée à la cour.

LA COMTESSE DU BOURGON- J’ai entendu dire qu’il était têtu et boudeur.

LE COMTE DU BOURGON– Vous avez fort raison mon amie. Il mériterait un bon soufflet. Ce misérable personnage me révulse par ses manières honteuses.

LA COMTESSE DU BOURGON– Son accoutrement est hilarant et passé de mode .

LE COMTE DU BOURGON- Ce maraud devrait se retirer dans sa demeure avec son accoutrement vert et rose.

LA COMTESSE DU BOURGON– ses escarpins ne lui siéent point , et ces couleurs ! Diantre !

LE COMTE DU BOURGON– il est bien trop maniéré . Un noble comme nous n’a guère besoin de balancer ses bras ainsi.

LA COMTESSE DU BOURGON– venez mon ami, quittons ces lieux …

 

 

Alice Gubala 5E

Dialogue : M Macotta

 

La comtesse de Rizona et le marquis de Richeleux rentrent d’une promenade en calèche , quand tout à coup ils croisent un homme issu de la bourgeoisie qui leur parait ridicule .Ils commencene alors une discussion tout en critiquant Monsieur Macotta .

Le marquis de Richeleux : dites-moi ,chère comtesse de Rizona , que pensez-vous de ce fâcheux , maladroit et ridicule ?

La comtesse de Rizona : ( énervée ) comment osez-vous me demander cela alors que vous ridiculisez un homme qui à l’air si gentil et qui ne vous a rien demandé ? Je n’y comprends goutte .

Le marquis de Richeleux : ( riant ) Je vous en conjure, l’avez vous vu  ? Macotta est vêtu de son humble collant bleu marin .

La comtesse de Rizona : ( rire ) mais laissez-moi rire , si je peuxme permettre et avec tout le respect que je vous dois , c’est un collant bleu marine bien évidemment qui laisse à désirer . Cependant ,que dire de vos rubans roses sur vos diélettes ? Avant de critiquer les hommes qui ,eux, ont un cœur vous devriez vous regarder dans un miroir très cher .

Le marquis de Richeleux : je ne vous permets pas de dire cela à mon égard . Ne voyez -vous donc pas qu’il nous fait honte avec sa robe hideuse et sa main sur la hanche .

La comtesse de Rizona : taisez-vous donc ,le voilà qui arrive .  (Changeant d’expression ) Bonjour Monsieur Macotta ,que vous êtes élégant , j’en suis éblouie .

Le marquis de Richeleux : bonjour Monsieur le bourgeois , que vous êtes beau ! Vos souliers noirs qui brillent vous vont à merveille !

La comtesse de Rizona : ( à part ) vous êtes ignoble marquis !

Le marquis de Richeleux : oui je sais ! Mais j’étais exaspéré de le voir ainsi , têtu  et exécrable .

La comtesse de Rizona : ceci ne vous donnaig pas le droit de lui manquer de respect .

Le marquis de Richeleux : mais  ne voyez -vous donc pas qu’il veut  prendre notre place auprès du roi ? Que dire de son accent à couper au couteau …

La comtesse de Rizona : vous avez sûrement raison … Il est vrai qu’il m’a paru fier comme un paon à l’instant.

Le marquis de Richeleux : vous en avez mis du temps à comprendre  ! Sa manière d’être , désarticulé comme un pantin … Cela est flagrant : je suis sur qu’il est orgueilleux, voire même arrogant .

La comtesse de Rizona : allons-nous en , avant qu’il ne nous prenne notre place !

 

Océane stolf 5E

Portrait dialogué

LE COMTE DE TOULOUSE – (en chuchotant) Mon cher marquis, maintenant que M.Gronigot est parti, je vous prie de me dire ce que vous pensez de lui.

LE MARQUIS DE BERGERAC – (en colère) Je pense qu’il faut être méfiant, ce maraud pourrait prendre notre place à la cour, avec ses manières de flatteur auprès du roi !

CDT – Qu’appelez vous ses manières de flatteur ?

MDB – Ce que j’appelle ses manières de flatteur ? Le fait ,mon cher,qu’il aille voir le roi et qu’il lui rabâche qu’il est beau, plaisant à voir, généreux…

CDT – Je comprends… Il en est encore plus ridicule avec ses rubans accrochés des pieds jusqu’à la tête.

MDB – (très énervé) Quand il était là, j’aurais du souffleter ce paysan, avec son caractère têtu et ses atours passés de mode !

CDT – (étonné) Très cher, pourquoi le dites-vous têtu ? Vous en aurait-il fait la preuve ?

MDB – Oui, tout à l’heure, j’ai demandé à ce faquin ce qu’il faisait à la cour et il m’a répondu que c’était moi qui n’avait pas à fréquenter le roi et sa cour, quelle audace !

CDT – Dans ce cas je ne peux qu’approuver votre décision.

MDB – Alors nous sommes d’accord qu’il n’a point à faire dans notre milieu ?

CDT – Oui il faut donc aller voir le roi et lui faire part de notre avis sur ce vilain.

MDB – J’approuve votre décision et le roi l’approuvera sans doute aussi, il suffira d’argumenter.

CDT – (décidé) Allons-y donc de ce pas.

Corentin Fauverte 5E

La Sorcière et son frère

                    La sorcière et son frère

Une histoire imaginée par Lou Ann Faurie, 5° E

Il y a longtemps , vivait une sorcière ,avec son frère et sa mère.  
Son frère n’arrêtait pas de la narguer et cela l’agaçait.
 Un jour la jeune sorcière décida  de faire les magasins.Mais son frère venait l’embêter sans cesse et la suivait dans les boutiques. Alors sa sœur prit le livre de potion magique. Dans le magasin elle acheta tous les ingrédients puis ,arrivée à la maison, prépara la potion.
La jeune sorcière appela  alors son frère  et lui  dit qu’ elle avait fait un merveilleux jus d orange.
Dans la maison,leur mère entendit un gros « boum » .Elle accourru et vit son fils qui avait  explosé comme un ballon !
Quelques jours plus tard  ,la jeune sorcière  était triste sans son frère et elle prépara une potion pour le faire  revenir .

 

Cette histoire veut dire que tu ne peux pas vivre son ton frère ou ta sœur, même si c’est difficile parfois.

Mon amie pour la vie.

Ecrire à la manière de Saint Exupéry :

 

A elle seule, mon amie est plus importante que les autres puisque c’est elle que j’ai entendue quand elle n’était pas bien. Puisque c’est elle que j’ai apprivoisée. Puisque ensemble nous jouons, rions et pleurons. Puisque ce que j’ai apprécié chez elle c’est la bonté. Puisque c’est elle qui m’a écoutée quand je pleurais. Puisque c’est mon amie.

 

Afficher l'image d'origineCheymae

Une matinée avec mon père

C’était une matinée d’automne, début novembre je crois. Mon père était avec moi. Nous étions dans les campagnes de Conne de Labarde, dans les vignes, les bois, les friches.Les prés nous entouraient. On était à la chasse. Nous marchions dans les campagnes, entre vignes et bois. Je voyais le chien courir. On pouvait sentir l’odeur de la nature, de l’herbe fraîche. Nous entendions le bruit de la campagne, des coups de fusil et des chiens qui aboyaient. A un moment, j’ai vu le chien se mettre à l’arrêt et presque à l’instant, une bécasse prendre son envol. Papa a pris son fusil et a tiré. On a entendu l’oiseau tomber à terre. Je m’amusais car j’aime bien me promener dans la nature, lui aussi d’ailleurs. Nous étions contents de partager ce moment tous les deux. Je n’oublierai jamais ce souvenir. C’était la première fois que je partageais un si bon moment avec mon père. Je ne le revivrai plus.

Corentin

Ma meilleure amie sur qui je peux compter

A elle seule, mon amie est plus importante que les autres personnes puisqu’elle m’écoute attentivement quand on parle. Puisque c’est avec elle que je rigole le plus. Puisque c’est elle qui me comprend le mieux. Puisque c’est elle que j’ai consolée quand ça n’allait pas. Puisqu’ensemble nous partageons nos plus grands secrets et toutes les bêtises qu’on va faire. Puisque ce que j’apprécie chez elle c’est son dévouement envers ses ami(e)s. Puisque c’est elle que j’ai écoutée quand elle n’allait pas bien. Puisque c’est mon amie.

 

Samantha

Souvenir d’un séjour à Londres avec mes parents

Je me souviens en octobre 2015 quand je suis parti à Londres avec mes parents. J’avais un peu peur à l’idée de prendre l’avion pour la première fois. Finalement nous avons bien atterri à Londres. J’étais content , heureux , joyeux d’arriver dans une des plus belles villes du monde.

Le premier soir je me souviens que l’on a mangé dans un restaurant libanais qui servait des plats drôlement épicés. J’avais pris un poulet au curry que je n’avais pas fini car cela piquait énormément. Les jours suivants nous avons vu Big Ben , Tower Bridge , la relève de la garde , le British Muséum , le musée d’histoire naturelle et enfin mon endroit préféré ,Picadilis circus. Nous étions tous émerveillés par la beauté de cette ville. Nous avons aussi mangé dans des restaurants italiens et même, une fois ,dans un étoilé , c’était délicieux. Je me souviens aussi des métros qui étaient bondés de monde. J’étais émerveillé d’avoir vu de si belles choses avec mes parents. Eux aussi étaient contents d’avoir passé un séjour merveilleux avec moi. Nous nous apprêtions à partir à l’aéroport et j’étais triste de partir. J’aurais aimé rester. J’étais heureux.

 

Enzo

Mon amie pour la vie

Ninès est la meilleure amie qui soit puisque c’est elle qui m’a vue rire. Puisque c’est elle qui m’a vue pleurer ,.Puisque c’est elle que j’ai vue pleurer .Puisque je l’ai écoutée me parler, me raconter toutes ses histoires .Puisque c’est mon amie.

Dés notre première année d’école , nous étions inséparables comme les cinq doigts de la main. Puisque c’est elle que j’ai fait rire .Puisque c’est elle qui a toujours été là pour moi. Parfois de petits conflits , mais malgré cela, elle est unique à mes yeux. Des amies ,j’en ai d’autres mais jamais elles ne pourront prendre sa place. Nous nous adorons.De très bons souvenirs me viennent à l’esprit quand je suis avec elle . Puisque c’est ma meilleure amie.

 

Malak

Un vieil ami

A lui tout seul mon ami est plus important que tout le monde puisque nous nous connaissons depuis l’âge de trois ans. Puisque nous nous sommes disputés, puisque nous nous sommes réconciliés. Puisque ce que j’apprécie chez lui c’est son humour et sa gentillesse. Puisque c’est lui que j’ai aidé. Puisque c’est lui qui m’a aidé. Puisque ça continue. Puisque c’est mon ami.

Corentin 5°E

 

Mes vacances a biscarosse

Mes vacances a biscarosse

Avant d’aller chercher mon cousin à Bordeaux j’étais content à l’idée de le revoir. Le jour J, nous sommes passés le prendre.

Nous arrivons.dans la maison, nous posons les sacs et nous nous dirigeons vers la plage. Là, nous voyons un désert.Devant la mer , des milliers de gens qui se promènent.

Le lendemain vers midi une soudaine envie de manger apparut, donc nous sommes allés au restaurant le plus proche. Il y avait une odeur de frite, de steak, d’oignon grillé.

Mon cousin et moi observâmes un skater pendant quelques minutes.

Finalement nous décidâmes de louer un vélo.

On se donna rendez-vous au bord de la mer, sur la passerelle en bois.

Le lendemain fut le jour de la visite de la dune du pila.

Mon cousin et moi nous montions et nous la descendions à toute vitesse.

Mais ,depuis, nous avons grandi.

Tom K

ma meilleure amie

A elle seule, ma meilleure amie est plus importante que les autres personnes puisque c’est elle qui est là dans les bons comme les mauvais moments. Puisque c’est avec elle que je suis amie depuis la maternelle. Puisque c’est pour elle que je pourrais donner  ma vie. Puisque c’est elle que j’ai consolée quand elle pleurait. Puisqu’on se dit tout. Puisque des liens très forts nous unissent. Puisque je ne l’aime pas de tout mon cœur mais de toute mon âme car un jour mon cœur cessera de battre mais mon âme brulera et continuera  de l’aimer. Puisque c’est ma meilleure amie…

 

Justine 5 E

Ami de toujours

A lui seul, mon ami est plus important que les autres personnes puisqu’il était là dans les moments les plus difficiles. Puisque je le connais depuis tout petit. Puisqu’il est là quand j’ai besoin de lui. Puisqu’on fait tout ensemble. Puisque lorsqu’il va mal je vais mal aussi. Puisque je peux compter sur lui. Puisqu’il est toujours honnête avec moi. Puisqu’il ne me laisse jamais seul. Puisque c’est Jules, mon ami.

Quentin Penaud 5 E

L’ami de tout petit

Écrit à la manière de Saint Exupéry …

 

A lui seul mon ami est plus important que toutes les autres personnes puisque c’ est lui mon meilleur ami. Puisque c’est avec lui que je rigole le plus. Puisque c’est ensemble que nous faisons du vélo tous les dimanches à Monbazillac. Puisque ce que j’apprécie chez lui c’est son humour. Puisque c’est lui mon ami depuis tout petit. Puisque c’est lui qui est là quand ça ne va pas. Puisque c’est lui qui me manque quand je ne le vois pas. Puisque c’est Antoine, mon meilleur ami.

Enzo Padoan 5 E

Mon voyage avec mon frère.

Cinq ans auparavant c’était le grand départ avec mon frère, on allait au Futuroscope. J’avais entre cinq et six ans , on a pu tout faire. Le parc d’attraction était le mieux que j’avais visité. On s’entendait à merveille.

Le Futuroscope est un parc à sensations fortes. Quand nous sommes rentrés, mon frère et moi , dans l’attraction « danse avec les robots » , j’ai senti une odeur de fumée et puis Martinus et moi  avons vu un grand écran avec des jeux en guise de salle d’attente. Quand nous sommes rentrés nous avons vu dix robots qui dansaient dans tous les sens. Puis ce fut notre tour , avec mon frère on a commencé à avoir peur. Il avait quatre ans de plus que moi , ce n’est pas pour cela qu’il n’avait pas peur. Quand nous sommes à nouveau sortis, nous étions contents. J’étais content d’avoir passé ce week-end avec Martin.

Ce moment a été important pour nous car c’est la première fois qu’on y allait. J’avais hâte d’y revenir. Je n’étais pas content de partir.

 

C’est dommage.

 

Axel Delol