Mon souvenir

C’était Noel, ma maison était si belle. Mon grand père était rentré chez moi, avec dans la main, un paquet de bonbons. Mes sœurs et moi on était folles de joie, on sautait dans la maison. On s’assit dans le salon en attendant la famille. Papy nous distribuait à chacun des bonbons. On sortit après dans le jardin, il était sur la terrasse en train de fumer. Maintenant, je pleure car cette personne représentait beaucoup pour moi. C’est le seul souvenir qui me reste de lui. Il n’est plus là.

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Bibliographie sur le thème de l’immigration, l’exil

Lyuba ou la tête dans les étoiles , Valentine Goby

Un roman jeunesse de Valentine Goby et illustré par Ronan Badel sur la dure vie d’une jeune fille originaire de Roumanie qui chante dans le métro pour subvenir à ses besoins.

Lyuba et sa famille originaire du Nord-Ouest de la Roumanie, se sont installés à la périphérie de Paris dans des abris de fortune. Depuis quatre ans, la vie est rude et l’intégration difficile pour la jeune adolescente qui passe ses journées à chanter dans le RER ou à s’occuper de ses frères et sœurs. Au gré des expulsions et des changements de camps, elle rêve d’une nouvelle vie. Mais lorsqu’elle croise le chemin de Jocelyne, une infirmière passionnée d’astronomie qui lui propose de l’aide, elle décide de saisir sa chance…

Carole Saturno, Enfants d’ici, parents d’ailleurs

Plus d’un Français sur trois compte dans son arbre généalogique un ancêtre d’origine étrangère. Et la majorité des citadins ont des racines paysannes. Juifs, Russes, Arméniens, Polonais, Italiens, Espagnols, Portugais, Algériens, Marocains, Tunisiens, Turcs, Yougoslaves, Maliens, Chinois… mais aussi Bretons, Auvergnats, Savoyards: ils ont quitté leur pays pour fuir une guerre, une dictature, un génocide ou la misère dans l’espoir d’une vie meilleure. Dans les usines ou dans les mines, sur les champs de bataille, dans les campagnes et dans les villes, ils ont contribué à l’expansion économique, aux combats pour la démocratie, à l’enrichissement de notre culture. Leur histoire est notre histoire. Riche en illustrations et en photos, ce beau livre mêle récits d’enfants, témoignages, repères historiques, géographiques oui culturels sur l’exode rural et l’immigration de 1850 à nos jours. A partager en famille ou en classe, il suscite les questionnements et invite au dialogue pour mieux connaître et comprendre cette aventure collective méconnue : ici, là-bas, hier et aujourd’hui. Entre mémoire et histoire.

Charles Masson, Droit du sol

Quatorze personnes ont péri et 7 étaient portées disparues vendredi après le naufrage, au large de Mayotte, d’une barque chargée de clandestins venus chercher fortune sur l’île française de l’océan Indien. Les recherches se poursuivaient vendredi après-midi pour tenter de retrouver des victimes de ce drame survenu jeudi vers 20h locales, à 10 km au large de Mayotte. Un premier bilan faisait état de 4 morts, 17 disparus et 12 rescapés. La préfecture l’a révisé à 16h locales après avoir retrouvé 10 corps supplémentaires. Selon les témoignages des rescapés, le « kwassa », une barque de pêche traditionnelle, transportait 33 personnes, dont 7 enfants. Il a sans doute heurté un platier, c’est-à-dire un haut-fond de corail découvrant à marée basse. Un précédent naufrage de « kwassa », le 24 juillet, avait fait 6 morts et 16 disparus à 1 km à peine des côtes. Des milliers de Comoriens clandestins venus d’Anjouan tentent chaque année de s’installer à Mayotte, distante de seulement 70 km. L’île française, dont le produit intérieur brut est neuf fois supérieur à celui des Comores, représente pour eux un eldorado économique. Vendredi 21 nov. 2008, 10 h 26. MAMOUDZOU (AFP)

 

La Traversée, Jean Christophe Tixier

Jeune Africain, Sam voyage à bord d’un bateau de migrants vers l’Europe. Bientôt la mer grossit et la tempête éclate, provoquant le naufrage de l’embarcation. Sam, qui sait nager, échappe à la noyade et tente d’organiser la survie du groupe. Tandis que les minutes s’écoulent, les souvenirs de son passé remontent à la surface : son existence au village, son désir d’ailleurs, son départ, la belle Thiane au camp de réfugiés de Tripoli…

Mais la mer n’a pas dit son dernier mot…

Un roman engagé et documenté sur les migrants ; un récit puissant et sans pathos.

 

Moi, Dieu Merci, qui vis ici, Thierry Lenain

L’histoire de Dieu Merci qui a fui son pays, l’Angola, pour la France. Les douleurs de l’exil et l’espoir sont évoqués avec des mots et des images vraies et pudiques. Un album poétique et politique, sur le droit pour chacun de vivre en paix, ici ou ailleurs.

 

Eldorado, laurent Gaudé

À Catane, le commandant Salvatore Piracci travaille à la surveillance des frontières maritimes. Il sillonne la mer, de la Sicile à la petite île de Lampedusa, pour intercepter les bateaux chargés d’émigrés clandestins. Un jour, c’est justement une survivante de l’un de ces bateaux de la mort qui aborde le commandant, et cette rencontre va bouleverser sa vie. Ce roman de l’exil et de l’espoir illustre le destin de ceux qui iront, quoi qu’il arrive, au bout de leurs forces, tant il est vrai que « les hommes ne sont beaux que des décisions qu’ils prennent ».

Tahar Ben Jelloun, Partir

« La petite Malika, ouvrière dans une usine du port de Tanger, demanda à son voisin Azel, sans travail, de lui montrer ses diplômes.

– Et toi, lui dit-il, que veux-tu faire plus tard ?

– Partir.

– Partir… ce n’est pas un métier !

– Une fois partie, j’aurai un métier.

– Partir où ?

– Partir n’importe où, là-bas par exemple.

– L’Espagne ?

– Oui, l’Espagne, França, j’y habite déjà en rêve.

– Et tu t’y sens bien ?

– Cela dépend des nuits. »

 

Azouz Begag, Le gône du Chaaba

Le Chaâba ? Un bidonville près de Lyon… Un amas de baraques en bois, trop vite bâties par ces immigrants qui ont fui la misère algérienne. Les éclats de rire des enfants résonnent dès le lever du soleil. Les « gones » se lavent à l’eau du puits et font leurs devoirs à même la terre. Mais chaque matin, ils enfilent leurs souliers pour se rendre à l’école avec les autres… Là, de nouveaux horizons apparaissent: un monde de connaissances, de rêves et d’espoirs.

 

La Petite fille au kimono rouge, Kay Haugaard. Une petite japonaise, Myeko, quitte son pays le Japon pour s’installer aux Etats-Unis. Elle a bien du mal à s’habituer à sa nouvelle vie en Californie. Dans sa nouvelle école, elle est la plus petite de toute la classe, Harriet lui fait peur, Carole semble inaccessible. Tout semble se liguer contre elle et elle a le sentiment que les élèves de sa classe la rejettent. Une succession d’événements lui donnera cependant raison. Peu à peu, elle conquiert les autres élèves par sa gentillesse, son intelligence et la richesse de sa culture.

La ligne 12, Raymond Jean

Quelques  » moments  » de la vie d’un travailleur immigré. Medhi rentre chez lui après une journée de travail sur un chantier. Dans l’autobus qui le ramène, un incident survient, dont il est, scandaleusement, la victime. On le revoit ensuite dans le cadre lamentable de la  » cité de transit  » où il réside en compagnie d’autres manoeuvres nord-africains. On le retrouve enfin dans un prétoire où il est étrangement  » jugé  » par de curieux personnages.

 

L’ami l’iguane, Alex Cousseau.Alex Cousseau met en scène une aventure où il est question d’intolérance, de pensées moisies et d’à priori. Manola est née au Mexique et vit en France avec un iguane dans sa salle de bain. Ce qui embête particulièrement son voisin, M. Grinche, un monsieur aux idées préconçues et arrêtées. Qu’est-il arrivé au 10ème doigt de pied du fils Grinche ? L’iguane y est-il pour quelque chose ? C’est ce que veut faire croire le père Grinche. C’est sans compter sur le jeune Dimitri, narrateur de l’histoire et son père policier. Les voisins de Manola ont décidé de faire la lumière sur cette affaire. Un récit parfaitement cousu avec beaucoup d’images et de rebondissements pour évoquer les idées préconçues mais aussi le cas des personnes sans papier. Parfaite mise à distance puisque c’est ici l’iguane qui n’a plus de papier et qui doit fuir. Un petit roman qui invite à consolider le lien social et à réfléchir à idées moisies dont voici la définition : «Une idée moisie est une idée qui sent le renfermé, parce qu’elle reste dans la tête de quelqu’un de fermé, au lieu de prendre l’air avec les idées des autres » (p. 48)

Le naufrage d’un héros, Diane Bergeron. Cuba, 2008. Le cauchemar est revenu le hanter. Lucas a fait le même rêve trois fois cette semaine. Trois fois les vagues l’ont renversé dans les eaux froides du détroit de Floride. Trois fois elles ont emporté sa mère au fond de l’océan où elle est morte. Comme toujours, il s’est réveillé en sursaut, surpris de retrouver la quiétude, le soleil et la brise chaude de Cuba, tranchant avec le souvenir angoissant de sa tragique traversée vers les États-Unis, alors qu’il n’était qu’un gamin. Une traversée qui l’a transformé en héros aux yeux de tous, sauf de lui-même. Devenu adolescent, Lucas décide de ne plus craindre les secrets de la nuit et d’affronter ses démons. Une aventure au cours de laquelle il redécouvrira sa famille, ses amis et son pays tout en trouvant enfin son propre chemin dans la vie…

Comment peut-on être français, Chahdortt Djavann. Roxane arrive à Paris. Comme bagage, elle n’a que son enthousiasme, sa naïveté, son désir et sa rage d’apprendre le français. Elle veut devenir française par la langue. Mais la langue française se révèle implacable, une compagne infidèle.  » Quelle belle garce cette langue, la plus belle. Quelle belle grâce cette langue, la plus belle.  » Les bribes d’une enfance iranienne troublent son monde parisien. Les souvenirs murmurent tout bas. Elle se découvre un confident mythique : Montesquieu. Elle se raconte et raconte le monde d’aujourd’hui à l’inventeur des Lettres persanes. Dans une écriture où l’imaginaire se confond avec le réel, où la drôlerie et la fantaisie le disputent à la mélancolie et à l’amertume, la vie d’une jeune femme est mise en scène une femme qui connaît le prix à payer pour ne pas perdre pied face à la réalité. Ce roman, souvent proche du conte, impressionne par la légèreté, l’humour et la sobriété de ton. Un roman de formation.

Bekame, Jeff Fourquié. De nos jours, dans le Nord-Pas de Calais. Un passeur planque une dizaine d’immigrés clandestins dans un hangar abandonné. Parmi ceux-ci, un jeune garçon, Bilel, répondant aussi au nom de Bekame, en référence à David Beckham. Ne supportant plus l’enfermement, il s’enfuit, pour rejoindre un centre pour réfugiés. Mais la police est toujours à la recherche des clandestins et le quotidien de Bekame ressemble à une longue fuite. Il aimerait tant retrouver son frère, en France depuis près de deux ans. Confronté à l’hostilité des habitants du coin, Bekame se lie d’amitié à un punk à chien qui vit de débrouille et de petits larcins. Dans un squat, Bekame fait connaissance d’autres SDF. Après avoir joué au football avec d’autres jeunes de son âge, Bekame trouve refuge dans une famille d’origine immigrée. Bien accueilli au départ, il a vite l’impression de devenir un boulet pour cette famille nombreuse et précaire. Cependant, le père de famille fait tout son possible pour l’aider à retrouver son frère

Tous français d’ailleurs, Valentine Goby. Antonio a fui la dictature de Franco en Espagne; Leïla a rejoint son père venu d’Algérie pour travailler dans la construction automobile; Thien Ân a bravé les dangers de la mer pour échapper au régime vietnamien; la famille d’Adama est partie du Mali tandis que Lyuba a fui la misère en Roumanie. Reem, enfin, quitte la Syrie avec sa famille sur un bateau en Méditerranée.La France dans laquelle nous vivons reflète la multiplicité et la diversité de ces mouvements de population successifs. Aujourd’hui, comme l’Europe entière, notre pays est confronté à un immense défi : accueillir les milliers de réfugiés qui fuient la guerre en Syrie, la dictature en Erythrée ou la misère au Soudan. Tous avec l’espoir de trouver un refuge et de construire une vie meilleure. Cet ouvrage, rassemblant cinq romans de la collection « Français d’ailleurs » et un texte inédit, leur donne un nom, une voix, un visage.Ouverts sur le monde, solidaires et riches de nos différences, nous sommes tous Français d’ailleurs.

Baïti Baïtak, Alison Bernard. Malik débarque tout droit du Yémen, après la mort de sa mère, pour rejoindre sa tante Nour. Celle-ci dans ses lettres parlait de la France comme d’un paradis sur terre. C’est plutôt le contraire : il y fait froid, les gens dans la rue ne se parlent pas, ne se regardent pas, ne se touchent pas. Tout est gris, rétréci, pâle…

Malik trouve sa tante changée… molle, superficielle… Elle qui était professeur au Yémen, la voici humiliée par le directeur d’une usine de charcuterie artisanale, pour qui elle nettoie les bureaux et s’occupe du linge.Malik découvre des coutumes qu’il ne comprend pas, rencontre l’hostilité, la bêtise, le racisme insidieux. Il refuse de travailler à l’école, de s’intéresser aux cours, se bagarre pour un rien… se fige dans son refus des autres, provocateur et insolent.Des images de son pays le hantent.Et pourtant, alors que le rêve de Nour s’effrite, Malik ne renonce pas. Des visages amis finissent par s’imposer, un film muet de bons moments, de souvenirs « d’ici, aujourd’hui ».

Le passager clandestin, Domitile Delahaye. « – Nous avons beaucoup à perdre et pas grand-chose à gagner. Qu’arrivera-t-il si nous nous faisons prendre ? Étrangers et voleurs ! Et qu’arrivera-t-il si nous ne nous faisons pas prendre ? Une nouvelle télé, quelques bonnes bouteilles, de l’argent, jusqu’à quand ? Jusqu’à ce que tu recommences ? Jusqu’à ce que ça finisse mal ? Tu le sais bien, personne ne peut vivre longtemps comme ça !  »

Qui est le passager clandestin ? Marin, lycéen rêveur, plus à l’aise sur un voilier en pleine mer que dans une salle de classe, habité par l’idée que ses parents et lui sont trois étrangers contraints de vivre sous le même toit.Ou bien Imran, l’orphelin tchétchène à l’intelligence vive, élevé en France par un oncle brutal et fruste prêt à tout pour regagner un peu de son prestige perdu.

Entre les deux adolescents, quelques gestes, quelques mots suffisent à installer une complicité immédiate…

Marc Cantin, Moi Félix, 10 ans, sans papiers

Ils sont quatre, à se cacher à bord d’un cargo parti d’Abidjan, en route pour Brest. La mère, Moussa le frère aîné, Bayamé la petite sœur et puis Félix, 10 ans. Ils fuient la misère des champs de cacao pour une vie meilleure, une vie rêvée en France. D’abord clandestins chez l’oncle Massoudé, en attendant du travail, et une régularisation. Mais les choses tournent mal, la police intervient. Seul Félix échappe miraculeusement à l’expulsion. Mais il est seul.

 

Entre chien et lou Florence Thinard

Yuc est le chien de Lou. Lou est l’humaine de Yuc. Ils s’aiment, se parlent, se contredisent et se répondent, sans toujours s’entendre vraiment. L’un et l’autre portent un regard très personnel sur la nouvelle maison où ils viennent d’emménager, sur leur nouveau quartier, sur Aristide, le nouveau voisin, et sur la grosse chatte noire qui rôde dans le jardin… Dans son nouveau placard, Lou déchiffre deux noms d’enfants. Qui sont Mehdi et Dhouha ? Que sont-ils devenus ? Lou et Yuc se lancent à leurrecherche. Derrière une palissade de chantier, ilsdécouvrent une grande maison sinistre. Deux options s’offrent alors à Lou : écouter les avertissements de Yuc et rentrer dare-dare chez elle ou pousser la porte vermoulue…

 

Persepolis est une série de bande dessinée autobiographique en noir et blanc de Marjane Satrapi en 4 volumes. L’auteur y retrace les étapes marquantes qui ont rythmé sa vie, de son enfance à Téhéran pendant la révolution islamique à son entrée difficile dans la vie adulte en Europe.À la fois témoignage historique et réflexion sur l’identité et l’exil,

Crash d’un avion militaire Russe, aucun signe de survivant

Un avion militaire Russe a disparu des radars dans la matinée du dimanche 25 décembre 2016. Il transportait 92 personnes et s’est écrasé dans la mer noire,il n’y a aucun signe de survivant.

L’avion transportait 84 passagers dont des membres de l’armée rouge et 8 membres de l’équipage, il s’est écrasé dimanche matin dans la mer noire peu après son décollage. Quatre corps ont été repêchés, il n’y a aucun signe de survivant.

Le premier corps a été retrouvé à six kilomètres du littoral de Stochi.

L’avion était un tupolev TU-54. Il a décollé de la ville d’Adler à destination de la base aérienne russe de Hmeimim, dans le nord-ouest de la Syrie.

Les recherches continuent.

Manon Marrot

Vos journaux de lecture : le principe

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Tenir un journal de lecture c’est :

  • rédiger un court paragraphe chaque fois que je lis : exprimer mes ressentis ( sur les personnages, l’histoire), faire un court résumé.
  • penser à noter la date, le temps de lecture, le nombre de pages lues, pour suivre ma progression.
  • rédiger une conclusion générale pour dire ce que j’ai aimé dans la lecture et inviter mes camarades à lire ce livre.

Trucs et astuces :

  • coller des post-it au fil des pages si je n’ai pas le temps de tenir le journal
  • ne pas lire le livre d’un coup en pensant rédiger le journal plus tard : mauvaise idée car on oublie les ressentis

Un bon journal présente les personnages, exprime son opinion sur l’intrigue, l’histoire, fait des parallèles avec la vie réelle, ne raconte pas tout mais des éléments intéressants.

Attaque dans un marché de Noël à Berlin

Dans un marché de Noel à Berlin en Allemagne, lundi soir le 18 décembre 2016 un drame s’est produit !

Un camion s’est dirigé sur les stands et malheureusement cela a causé douze morts et 49 blessés. Ce drame  rappelle l’attentat du 14 juillet 2016 à Nice ,en France, le soir de la fête nationale.

La police a arrêté le chauffeur du camion, il semblerait que le coupable ait voulu déclencher un attentat. Malheureusement à l’heure où je rédige cet article il semble que la personne arrêtée ne soit pas la bonne. La police a d’ailleurs appelé les berlinois à rester chez eux, par précaution.

J’espère que cela ne  se reproduira plus.

 

Sarah Imbert

Mon amie pour la vie.

Ecrire à la manière de Saint Exupéry :

 

A elle seule, mon amie est plus importante que les autres puisque c’est elle que j’ai entendue quand elle n’était pas bien. Puisque c’est elle que j’ai apprivoisée. Puisque ensemble nous jouons, rions et pleurons. Puisque ce que j’ai apprécié chez elle c’est la bonté. Puisque c’est elle qui m’a écoutée quand je pleurais. Puisque c’est mon amie.

 

Afficher l'image d'origineCheymae

Mes voeux au Père Noel

Mon cher père noël,

Je voudrais changer de comportement.                                                                                    Je voudrais avoir une bonne moyenne.                                                                                    Je voudrais ne plus avoir d’observation.                                                                                  Je voudrais ne plus bavarder en cours.                                                                                     Je voudrais ne plus être virée du cours d’Anglais

                                                   Je voudrais ne plus avoir d’histoire avec les filles.                                                                    Je voudrais que l’année 2017 se passe bien.                                                                          Je voudrais réussir mes études.

Peux-tu m’aider ?

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Cheymae 5° E

Mon orientation : j’argumente pour mon métier.

Mon métier idéal serait de travailler dans la police, mais plus précisément dans  un groupe  d’intervention de la Police nationale (GIPN). Tout d’abord car mon père est policier et ce métier me plait énormément.

C’est un métier où il y a du suspense, de l’aventure et pleins d’autre choses intéressantes à découvrir. Je n’ai pas vraiment d’argument a donner car mon père est d’accord puisqu’il travaille dans ce domaine la. Ma mere a vécu avec mon père et a accepté son métier, donc je pense qu’elle est également d’accord.

Je peux dire néanmoins  que c’est un métier oû l’on gagne bien sa vie, que c’est un métier où il y a beaucoup d’action, du risque, et moi je suis tout à fait comme cela. Mais il faut aussi dire que si je me lance pour ce métier, c’est que mon père est un peu mon idole, depuis petit je veux devenir comme lui…

 

MESTRIAUX Dorian.

Une matinée avec mon père

C’était une matinée d’automne, début novembre je crois. Mon père était avec moi. Nous étions dans les campagnes de Conne de Labarde, dans les vignes, les bois, les friches.Les prés nous entouraient. On était à la chasse. Nous marchions dans les campagnes, entre vignes et bois. Je voyais le chien courir. On pouvait sentir l’odeur de la nature, de l’herbe fraîche. Nous entendions le bruit de la campagne, des coups de fusil et des chiens qui aboyaient. A un moment, j’ai vu le chien se mettre à l’arrêt et presque à l’instant, une bécasse prendre son envol. Papa a pris son fusil et a tiré. On a entendu l’oiseau tomber à terre. Je m’amusais car j’aime bien me promener dans la nature, lui aussi d’ailleurs. Nous étions contents de partager ce moment tous les deux. Je n’oublierai jamais ce souvenir. C’était la première fois que je partageais un si bon moment avec mon père. Je ne le revivrai plus.

Corentin

Ma meilleure amie sur qui je peux compter

A elle seule, mon amie est plus importante que les autres personnes puisqu’elle m’écoute attentivement quand on parle. Puisque c’est avec elle que je rigole le plus. Puisque c’est elle qui me comprend le mieux. Puisque c’est elle que j’ai consolée quand ça n’allait pas. Puisqu’ensemble nous partageons nos plus grands secrets et toutes les bêtises qu’on va faire. Puisque ce que j’apprécie chez elle c’est son dévouement envers ses ami(e)s. Puisque c’est elle que j’ai écoutée quand elle n’allait pas bien. Puisque c’est mon amie.

 

Samantha

Souvenir d’un séjour à Londres avec mes parents

Je me souviens en octobre 2015 quand je suis parti à Londres avec mes parents. J’avais un peu peur à l’idée de prendre l’avion pour la première fois. Finalement nous avons bien atterri à Londres. J’étais content , heureux , joyeux d’arriver dans une des plus belles villes du monde.

Le premier soir je me souviens que l’on a mangé dans un restaurant libanais qui servait des plats drôlement épicés. J’avais pris un poulet au curry que je n’avais pas fini car cela piquait énormément. Les jours suivants nous avons vu Big Ben , Tower Bridge , la relève de la garde , le British Muséum , le musée d’histoire naturelle et enfin mon endroit préféré ,Picadilis circus. Nous étions tous émerveillés par la beauté de cette ville. Nous avons aussi mangé dans des restaurants italiens et même, une fois ,dans un étoilé , c’était délicieux. Je me souviens aussi des métros qui étaient bondés de monde. J’étais émerveillé d’avoir vu de si belles choses avec mes parents. Eux aussi étaient contents d’avoir passé un séjour merveilleux avec moi. Nous nous apprêtions à partir à l’aéroport et j’étais triste de partir. J’aurais aimé rester. J’étais heureux.

 

Enzo

Mon amie pour la vie

Ninès est la meilleure amie qui soit puisque c’est elle qui m’a vue rire. Puisque c’est elle qui m’a vue pleurer ,.Puisque c’est elle que j’ai vue pleurer .Puisque je l’ai écoutée me parler, me raconter toutes ses histoires .Puisque c’est mon amie.

Dés notre première année d’école , nous étions inséparables comme les cinq doigts de la main. Puisque c’est elle que j’ai fait rire .Puisque c’est elle qui a toujours été là pour moi. Parfois de petits conflits , mais malgré cela, elle est unique à mes yeux. Des amies ,j’en ai d’autres mais jamais elles ne pourront prendre sa place. Nous nous adorons.De très bons souvenirs me viennent à l’esprit quand je suis avec elle . Puisque c’est ma meilleure amie.

 

Malak

Un vieil ami

A lui tout seul mon ami est plus important que tout le monde puisque nous nous connaissons depuis l’âge de trois ans. Puisque nous nous sommes disputés, puisque nous nous sommes réconciliés. Puisque ce que j’apprécie chez lui c’est son humour et sa gentillesse. Puisque c’est lui que j’ai aidé. Puisque c’est lui qui m’a aidé. Puisque ça continue. Puisque c’est mon ami.

Corentin 5°E

 

Mes vacances a biscarosse

Mes vacances a biscarosse

Avant d’aller chercher mon cousin à Bordeaux j’étais content à l’idée de le revoir. Le jour J, nous sommes passés le prendre.

Nous arrivons.dans la maison, nous posons les sacs et nous nous dirigeons vers la plage. Là, nous voyons un désert.Devant la mer , des milliers de gens qui se promènent.

Le lendemain vers midi une soudaine envie de manger apparut, donc nous sommes allés au restaurant le plus proche. Il y avait une odeur de frite, de steak, d’oignon grillé.

Mon cousin et moi observâmes un skater pendant quelques minutes.

Finalement nous décidâmes de louer un vélo.

On se donna rendez-vous au bord de la mer, sur la passerelle en bois.

Le lendemain fut le jour de la visite de la dune du pila.

Mon cousin et moi nous montions et nous la descendions à toute vitesse.

Mais ,depuis, nous avons grandi.

Tom K

ma meilleure amie

A elle seule, ma meilleure amie est plus importante que les autres personnes puisque c’est elle qui est là dans les bons comme les mauvais moments. Puisque c’est avec elle que je suis amie depuis la maternelle. Puisque c’est pour elle que je pourrais donner  ma vie. Puisque c’est elle que j’ai consolée quand elle pleurait. Puisqu’on se dit tout. Puisque des liens très forts nous unissent. Puisque je ne l’aime pas de tout mon cœur mais de toute mon âme car un jour mon cœur cessera de battre mais mon âme brulera et continuera  de l’aimer. Puisque c’est ma meilleure amie…

 

Justine 5 E

Ami de toujours

A lui seul, mon ami est plus important que les autres personnes puisqu’il était là dans les moments les plus difficiles. Puisque je le connais depuis tout petit. Puisqu’il est là quand j’ai besoin de lui. Puisqu’on fait tout ensemble. Puisque lorsqu’il va mal je vais mal aussi. Puisque je peux compter sur lui. Puisqu’il est toujours honnête avec moi. Puisqu’il ne me laisse jamais seul. Puisque c’est Jules, mon ami.

Quentin Penaud 5 E